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CORONAVIRUS
Auteur : Jengar  
1/157

Date :    20-03-2020 09:56:39


BONJOUR
A TOUS ET TOUTES VU LES SOUCIS IMPORTANT GRAVE DE SANTE IL EST BIEN SUR FORTEMENT CONSEILLER DE NE PAS sortir pour se proteger jusqu as nouvel ordre
suspendre

LES SORTIES ET ANNULATION

POUR EVITER LES BOULES ROUGES D OVS LOLLLL on efface rien mais on garde l espoir

en esperant intelligence ET SOLIDARITE et espérons que la France deviendra moins C.. MERCI A VS PRENNEZ SOIN DE VS ET VOTRE ENTOURAGE
Auteur : Napi  
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Date :    25-07-2023 21:01:01


"J'ai toujours été d'accord avec les déclarations de Didier Raoult, pas toujours sur la forme, mais sur le fond, il a raison, y compris sur la vaccination. Quand il a dit qu'elle ne protégeait pas de la transmission et qu'il fallait la réserver aux personnes à risque, il avait raison, et personne ne contredit cela maintenant. Actuellement, il y a de gros problèmes avec la vaccination dont personne ne parle. L'IHU n'a pas fait d'études mais il y a eu des embolies, des myocardites chez les jeunes. Et plus tard, on n'en sait rien, c'est une expérimentation en pratique. Comme pour tout
médicament, ce qui compte c'est le rapport bénéfice-risque. Or, pour les jeunes, il n'est pas favorable. Dès qu'on a vu que le vaccin n'empêchait pas la transmission, il aurait fallu le réserver aux gens à risque. À moins de 50 ans, on a eu zéro mort à l'AP-HM."
Professeur Philippe Brouqui, IHU M.I., le 23/07/2023


"C’est nous les gentils !
Comment imaginer que nous soyons insultés, menacés, poursuivis, diffamés par des gens qui s’improvisent experts, se ridiculisent dans des discours dont la trace est inscrite dans internet ?
Croyez-vous que les gens officiellement payés par l’industrie pharmaceutique soient plus crédibles que nous ?
Pourquoi les 35000 personnes traitées à l’IHU ne se plaignent pas ? Ni les 250000 qui se sont fait tester ? Ni les milliers qui s’y sont fait vacciner ?
Pourquoi F. Cremieux en réponse à ce fantastique effort permis par des centaines de bénévoles a-t-il voulu tout détruire du seul site international de Médecine de Marseille ?
Est-ce pour effacer l’échec de la gestion de Paris en 2020 ?
J’ai donné mon avis sur France Soir. https:// francesoir.fr/videos-les-debriefings/pr-raoult-contre-ministere-de-la-verite La justice est en marche et les plaintes contre lui s’accumulent !
Je vois depuis le début de cette crise le 5ème ministre de la santé, j’espère qu’il retrouvera le bon sens qui lui évitera les revers de l’histoire.
A mardi pour ma prochaine conférence !"
Professeur Didier Raoult, le 23/07/2023
youtu.be/IOKy7eG2_w0
Outils & Découvertes - Partie 1
25/07/2023 26 min.
Auteur : Napi  
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Date :    31-07-2023 21:13:45


lepointcritique.fr/2023/07/19/quand-pfizer-relayait-en-mars-2020-la-premiere-etude-dirigee-par-le-pr-raoult/
19/07/2023

Quand Pfizer relayait en mars 2020 la première étude dirigée par le Pr Raoult
Pfizer et Moderna ont été choisis en 2020 par l’administration américaine pour apposer leur label sur des vaccins développés par le Pentagone. On le sait aujourd’hui, ce fut l’argument utilisé par Pfizer lors de son procès contre l’auditrice Brook Jackson. Sur quel critère a-t-il été sélectionné ? Une réponse est suggérée avec la découverte de ce document qui révèle que le laboratoire qui détient le monopole de la production d’azithromycine savait en mars 2020 qu’elle était efficace contre le COVID lorsqu’elle est associée à l’hydroxychloroquine.

Que fait un laboratoire lorsque émerge une pandémie contre laquelle l’un de ses produits est efficace ? Il se frotte les mains et en fait l’éloge. Que fait-il en revanche lorsqu’on lui propose de commercialiser à la place un « vaccin innovant » dont le prix de vente est sans commune mesure et dont – cerise sur le gâteau –, il n’a pas un centime à débourser pour son développement, son placement commercial et ses éventuels frais juridiques si par malheur ce produit s’avérait toxique ou mortel ? Il arrête de maintenir à jour les études démontrant qu’il est efficace, a fortiori si cette efficacité compromet la mise sur le marché précoce de ce vaccin.

Voici en substance l’histoire de l’azithromycine, commercialisée par Pfizer sous le nom de Zithromax®, racontée par deux documents diffusés par le laboratoire et par deux communiqués issus d’officines françaises dont l’indépendance est aujourd’hui remise en question : l’Agence nationale du médicament et des produits de santé (ANSM) et la Société française de pharmacologie et de thérapeutique (SFPT).

Mars 2020 : Pfizer annonce que l’association d’azithromycine et d’hydroxychloroquine est efficace et sûre contre le COVID-19
Le 25 mars 2020, le laboratoire publie un communiqué dans lequel il annonce les résultats d’un essai clinique [1] mené par une équipe de chercheurs français démontrant que l’azithromycine associée à l’hydroxychloroquine est efficace contre le COVID-19. Ça ne s’invente pas, l’étude en question, à laquelle Pfizer a offert un boulevard, est celle menée par l’IHU Méditerranée Infection et dirigée par le Pr Raoult. Elle est aujourd’hui à nouveau sous les feux des projecteurs, la SFPT et un groupe de médecins – dont le Pr Karine Lacombe et le Dr Jérôme Barrière – exigeant pour la énième fois sa rétractation au motif que cette étude aurait ouvert la voie au scepticisme à l’égard des vaccins et donc nui à la vaccination :

« Récemment, un groupe de chercheurs français a divulgué les résultats d’une étude indépendante en France explorant l’utilisation de l’hydroxychloroquine chez 20 patients pour le traitement potentiel de la maladie COVID-19 [2]. Parmi ces 20 patients, six ont également reçu le produit de Pfizer, l’azithromycine (Zithromax®). Dans cette étude, la proportion de patients avec une guérison virologique après 6 jours (comme indiqué par des tests PCR négatifs) était plus élevée chez les 20 patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine par rapport aux 16 témoins. Le taux de guérison le plus élevé a été observé chez ceux qui ont également reçu de l’azithromycine – ces six patients ont tous obtenu une guérison virologique. À la lumière de ces résultats préliminaires, et comme Pfizer interprète les données dans le contexte de recherches antérieures sur d’autres maladies infectieuses, la société souhaite partager des informations supplémentaires qui pourraient faciliter l’exploration plus approfondie de cette combinaison. »

Pfizer, 25/03/2020. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/news/ZithroComboStatement.pdf
Le document détaille également les résultats de deux études cliniques conduites par Pfizer visant à « explorer l’utilisation d’une combinaison à dose fixe d’azithromycine et de chloroquine dans des essais de traitement [3] et de prévention [4] du paludisme en Afrique ». Le laboratoire dit avoir observé :

une bonne tolérance et une efficacité de l’azithromycine-chloroquine au moins équivalente à un autre traitement antiparasitaire (méfloquine), un antipaludique de synthèse mais aux multiples contre-indications en raison notamment d’effets secondaires majeurs d’ordre psychiatrique, hépatique ou néphrologique. La liste établie par le Vidal est vertigineuse et permet de comprendre pourquoi le laboratoire a cherché à évaluation une solution thérapeutique alternative : contre-indication absolue en cas d’antécédents hépatiques ou psychiatriques (convulsions, dépression, psychose, idées suicidaires, psychose, schizophrénie, trouble anxieux généralisé et plus généralement toute maladie psychiatrique), précautions dans plusieurs cas (insuffisance rénale, hépatique, diabète, épilepsie, autre vaccination concomitante…), notamment la grossesse et l’allaitement, mais également – c’est ennuyeux – lors de la prise d’un traitement préventif du paludisme ;
un profil de sécurité acceptable en prévention chez la femme enceinte, avec une posologie et de durée de traitement évaluée par le laboratoire. Autrement dit, l’hydroxychloroquine ne serait pas toxique selon Pfizer pour le fœtus qui la recommande chez la femme enceinte ou allaitante.
« De plus, une étude sur le traitement préventif de l’infection palustre chez la femme enceinte n’a pas atteint ses critères d’évaluation d’efficacité prédéfinis, mais l’association d’azithromycine 1 000 mg et de chloroquine 620 – mg par jour pendant 3 jours avait un profil de sécurité acceptable sur la base des données recueillies chez 1 446 femmes enceintes en Afrique subsaharienne. »

Pfizer, 25/03/2020. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/news/ZithroComboStatement.pdf
Le communiqué rapporte par ailleurs les résultats de deux essais cliniques randomisés de grande ampleur ayant confirmé l’absence de cardiotoxicité de la combinaison d’hydroxychloroquine et d’azithomycine chez des patients atteints de lourdes comorbidités dont le profil correspond à ceux des sujets à risque de COVID-19 :

« De plus, des patients âgés de sexe féminin et masculin présentant des comorbidités importantes ont été étudiés dans de grands essais randomisés pour la prévention des événements cardiovasculaires dans les études WIZARD [[v]] et ACES [5[vi]], et bien que le critère d’évaluation principal n’ait pas atteint l’efficacité préspécifiée, le profil de sécurité était conformément aux études antérieures plus petites publiées pour des indications approuvées dans une population avec un profil d’âge et des comorbidités similaires à la population atteinte de la maladie COVID-19 qui serait la plus à risque de résultats graves. »

Pfizer, 25/03/2020. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/news/ZithroComboStatement.pdf
Sur quelles bases se fondent donc aujourd’hui l’ANSM, la SFPT et l’ensemble des sociétés savantes qui accusent l’IHU Méditerrannée d’avoir conduit un essai thérapeutique sauvage, qu’elles accusent d’être à l’origine d’une mortalité que l’on ne retrouve nulle part dans les bases de pharmacovigilance, mais uniquement dans une étude douteuse sponsorisée par la SFPT, et jamais revue par les pairs ? Avant elles, sur quelles données le Lancet a-t-il maintenu une tribune produite par un professeur de l’AP-HP persistant à incriminer la cardiotoxicité de l’hydroxychloroquine malgré la divulgation de la fraude sur laquelle reposaient ces accusations et le démenti du laboratoire qui aurait probablement le plus à gagner que cette toxiicité soit avérée ?

Juin 2020 : Pfizer produit un second communiqué dans lequel il désavoue l’azithromycine
Oui mais, c’était avant… Trois mois plus tard, quelques semaines après le lancement des essais cliniques de son vaccin (23 avril 2020), Pfizer publie un nouveau communiqué dans lequel il confirme des tensions de production liées à l’explosion de la demande mondiale en Zithromax® et annonce le lancement d’un programme permettant de garantir l’approvisionnement des États. Il précise dans ce texte que son médicament ne dispose pas d’autorisation de mise sur le marché pour le traitement du COVID-19 et que ni l’efficacité ni l’innocuité de l’azithromycine n’ont été établies à ce jour dans cette indication :

« Le traitement empirique de la pneumonie par l’azithromycine est souvent indiqué pendant que le diagnostic de COVID-19 est en cours. Zithromax n’est pas approuvé pour traiter la COVID-19 ou d’autres infections virales, et l’innocuité et l’efficacité de l’azithromycine, seule ou en association avec d’autres traitements, n’ont pas encore été démontrées chez les patients atteints de COVID-19. »

Pfizer, 05/06/2020. https://www-pfizer-com.translate.goog/news/announcements/ready-respond-pfizers-zithromaxr-program-covid-19?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp
Que s’est-il passé entre-temps ? Pourquoi les études préliminaires n’ont-elles pas été jugées suffisantes par le laboratoire alors qu’elles représentent un nombre infiniment plus important de données que celles qui ont été collectées avant de libérer les vaccins ? Pfizer a-t-il poursuivi son évaluation de l’azithromycine comme il s’y était engagé ?

L’objectif du précédent communiqué était en effet parfaitement clair :

« Pfizer souhaite mettre en évidence ces études publiées pour faciliter les efforts de recherche supplémentaires visant à étudier l’azithromycine en combinaison avec d’autres agents pour atténuer la maladie COVID-19. La société a engagé des ressources pour qu’une équipe technique effectue une analyse des données pertinentes au sein de Pfizer et publiées dans la littérature évaluée par des pairs et prévoit de partager ces informations alors que nous explorons les prochaines étapes pour Pfizer et nos partenaires dans l’évaluation plus approfondie des thérapies combinées avec l’azithromycine. »

Pfizer, 25/03/2020. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/news/ZithroComboStatement.pdf
Chacun se doute de la réponse mais ce revirement à 180 °C soulève une autre question : est-ce parce que Pfizer savait parfaitement que l’azythromycine était sûre et efficace et qu’elle aurait pu changer le cours de la pandémie qu’il a pu bénéficier d’un contrat aussi lucratif et d’une immunité juridique totale en cas de dommages causés par les injections ? Est-ce pour cette raison que le Pentagone l’a choisi (le contrat a été formalisé en juillet 2020), et qu’il s’est plié à ses conditions ?

Quel laboratoire aurait en effet choisi de sacrifier un produit qu’il estime « essentiel », dans un contexte pandémique où son efficacité et son innocuité ont été démontrées pour se lancer dans le développement aléatoire d’un vaccin sans une contre-partie financière et juridique hors norme ?

Auteur : Napi  
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Date :    01-08-2023 20:14:01


www.oval.media/fr/sabatier_narrative_35/
27/07/2023 1h

DÉCOUVERTE RÉVOLUTIONNAIRE : COVID 19 ET SRA

Jean-Marc Sabatier et ses collaborateurs étaient les premiers chercheurs au monde à avoir décrit le mode d’action du virus SARS-CoV-2. Celui-ci repose sur le dérèglement du système rénine-angiotensine (SRA) et la suractivation de son récepteur délétère AT1R responsable des maladies Covid-19. Ses recherches sur l’impact du virus sur le corps humain l’ont conduit à mettre en évidence, pour la première fois, l’importance du SRA, mis en déroute par le virus. Une découverte qui bouleverse l’intelligibilité des pathologies liées au covid autant que leur traitement. Une découverte enfin, qui identifie de façon formelle les risques liés à la vaccination, elle aussi en capacité, en dépit des discours uniformément lénifiants des autorités politiques et sanitaires, de perturber ce système, si central pour l’équilibre du corps humain. ​​​Directeur de recherches au CNRS, docteur en micro-biologie et en biologie cellulaire, Jean-Marc Sabatier est un des spécialistes mondiaux en matière d’ingénierie des peptides et de toxines animales.
Auteur : Napi  
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Date :    11-08-2023 20:28:54


crowdbunker.com/v/WCw5NHJKma

31/07/2023 46 min.

Hervé Seligmann, PCR, principes scientifiques et distorsions des données du VAERS

Hervé Seligmann, biostatisticien et chercheur biomédical spécialiste en virologie, biologie moléculaire de l'ARN et biologie évolutive. Il nous fait part de ses dernières découvertes.
- les négations et oublis des principes médicaux et scientifiques de base.
- les résultats des vérifications des tests PCR
- la cause de l'excès de mortalité toutes causes en 2021
- les distorsions des informations publiées par le VAERS
- les conséquences en terme de pharmacovigilance
Auteur : Napi  
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Date :    12-08-2023 12:51:58


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/selon-la-loi-jarde-l-ihu-mediterranee-n-pas-fait-d-essai-clinique-sauvage

11/08/2023

Bioéthique : selon la loi Jardé, l'IHU-Méditerranée n'a pas fait "d'essai clinique sauvage". "Nous, on a soigné nos malades." Entretien avec le Professeur Philippe Brouqui

Le 28 mai 2023, Le Monde publiait une tribune intitulée "Recherche clinique à l’IHU de Marseille : 'En l’absence de réaction des institutions, les graves manquements constatés pourraient devenir la norme'. Co-signée notamment par les professeurs Mathieu Molimard (Société française de pharmacologie et de thérapeutique), Alain Fischer (président de l’Académie des sciences) et l'épidémiologiste Dominique Costagliola, celle-ci soutenait l'opinion que "certains essais cliniques menés pendant la pandémie de Covid-19 par l’IHU Méditerranée Infection n’ont pas respecté le cadre juridique" en la matière et appelait "les pouvoirs publics à réagir". Selon cette tribune et ses signataires, un "grand essai thérapeutique sauvage" se serait déroulé à l'IHU.

Mais est-ce vrai ? Le professeur Philippe Brouqui, praticien hospitalier et chef du pôle Maladies Infectieuses et Tropicales à l'Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille (APHM) répond par la négative. Après avoir publié cette semaine un communiqué (repris à la fin de cet article, ndlr) titré "La cohorte des 30.000 patients Covid-19 n'est pas de la recherche sur la personne humaine", le professeur explique avec clarté et pédagogie dans ce Débriefing pour France-Soir, pourquoi cette accusation relayée par Le Monde n'est pas recevable, ni sur le plan du droit, ni sur le plan intellectuel, scientifique et médical.


"La cohorte des 30.000 patients Covid-19" correspond aux 30.000 patients pris en charge par l'IHU-Méditerranée et les équipes du professeur Raoult, dans le cadre de l'exercice d'une médecine d'urgence, comme elle a pu être précisée par la déclaration d'Helsinki, qui détaille ses principes éthiques. Alors que la pandémie commençait, un traitement ayant montré des signes d'efficacité contre le Sars-Cov-2, réduisant notamment la charge virale du virus, a été proposé aux malades qui souhaitaient le recevoir.

Non, il n'y a pas eu d'essai sauvage à Marseille, mais avant tout du soin : "Ce n'est pas une recherche sur l'homme" qui a été menée et "il faut bien connaître la réglementation" avant d'accuser un établissement public de la recherche et de médecine dont la seule "intention est de soigner", rappelle le professeur Brouqui. Au cœur du débat apparaît l'interprétation de la loi Jardé.

Relire la loi Jardé
Il s'agit de la loi qui encadre la Recherche impliquant la Personne Humaine (RIPH), auparavant appelée "loi bioéthique". Elle définit ce qui est ou non de la recherche. Et l'un de ses alinéas, le n°3, est très précis : "Ne sont pas des recherches impliquant la personne humaine au sens du présent titre les recherches ayant une finalité d'intérêt public de recherche, d'étude ou d'évaluation dans le domaine de la santé conduites exclusivement à partir de l'exploitation de traitement de données à caractère personnel (...)"

Par conséquent, il s'agit bien d'une étude sur des données collectées au cours du soin des patients et non pas d'une recherche impliquant la personne humaine telle que prévue par cet alinéa n°3 de l'article R1121-1 de la loi Jardé. Ces données ont été par la suite anonymisées et compilées sous le contrôle d'un huissier, puis disposées sur deux serveurs internationaux de façon transparente (l'un aux États-Unis, l'autre en Chine). Des téléchargements ont déjà eu lieu de la part d'autres chercheurs et scientifiques : ces résultats sont étudiés.

Si cette attaque rejoint le bataillon des attaques et critiques infondées portées contre l'IHU-Méditerranée, qui n'ont pas vu leur propos résister à l'examen des faits, celle-ci est portée à tort au sein de l'opinion publique. De fait, elle nuit à l'image de la recherche publique française. Le professeur Philippe Brouqui lance sans équivoque à ce sujet : "Qu'on nous fiche la paix, qu'on arrête de nous harceler et qu'on nous laisse faire notre travail. Nous, on a soigné nos malades. Ces derniers sont reconnaissants et leur témoignage nous est important."


Vidéo 30 min.
+
Communiqué du Pr Philippe Brouqui
Auteur : Napi  
8/157

Date :    13-08-2023 20:45:04


www.covid-factuel.fr/2023/08/12/ivermectine-mea-culpa-surrealiste-de-la-fda/

Ivermectine : mea culpa surréaliste de la FDA
12 août 2023
Docteur Gérard Maudrux

Tout comme nous l’avons fait avec notre agence du médicament l’ANSM, d’autres ont tenté de convaincre la FDA, agence américaine, de la possibilité de traitement du Sars-Cov-2 par l’ivermectine. Le 26 février 2021, Tess Lawrie envoyait un gros dossier à la FDA. L’ivermectine devait représenter un danger pour les ambitions, car huit jours plus tard, le 5 mars 2021, la FDA barrait le chemin de l’ivermectine, en mettant en garde contre son utilisation : » La FDA n’a pas autorisé ou approuvé l’ivermectine pour une utilisation dans la prévention ou le traitement du COVID-19 chez les humains ou les animaux. L’ivermectine est approuvée pour un usage humain pour traiter les infections causées par certains vers parasites et les poux de tête et les affections cutanées comme la rosacée. Les données actuellement disponibles ne montrent pas que l’ivermectine est efficace contre le COVID-19. » À l’époque, le travail d’Andrew Hill pour Unitaid et l’OMS montrait pourtant une réduction de 80% de la mortalité dans les 7 études les plus sérieuses qu’il a sélectionnées sur une cinquantaine. Effectivement un grand danger financier pour les milliards de retombées d’une campagne massive de vaccinations qui pouvait tomber à l’eau.

Par la suite la FDA a émis le 21 août un tweet qui a marqué les esprits, et dont elle était très fière comme le montrent des documents (courriels internes) obtenus via une demande de Freedom of Information Act.

Alors que le tweet de la FDA le plus consulté à l’époque était un tweet où l’agence recommandait une pause « temporaire » dans l’administration des vaccins Johnson et Johnson en raison de rapports faisant état de caillots sanguins « rares mais graves ». Le tweet critiquant l’Ivermectine « Vous n’êtes pas un cheval. Vous n’êtes pas une vache. Sérieusement, vous tous. Arrêtez », a effacé celui sur les dangers du vaccin, avec 23 millions de vues et 11 000 nouveaux abonnés. Son auteur (félicité par la hiérarchie), Brad Kimberly, (directeur des médias sociaux du Bureau des affaires extérieures de l’agence), écrivait le 23 août à Erica Jefferson, commissaire associée aux affaires extérieures de la FDA : “Pour le moment, c’est le message le plus populaire que nous n’ayons jamais eu sur Twitter. Je dis” maintenant “parce que l’approbation vax est sur ses talons … un peu comme une course de chevaux.” Cette dernière écrivait dans un autre mail : “Je suis reconnaissante que l’équipe de l’OEA soutienne avec enthousiasme cette objectif et en particulier, je tiens à remercier Brad, Chris et Sandy, pour s’être mobilisé s rapidement vendredi soir et samedi matin pour créer un moment viral unique à un moment aussi critique pour l’image de la FDA et dans notre lutte contre le Covid-19. ”


Des médecins ont porté plainte contre ce tweet et les entraves à la prescription d’ivermectine, qui aurait pu sauver des vies. Ce procès historique a été intenté contre la FDA par trois médecins, Mary Talley Bowden, Paul Marik et Robert Apter, et est passé en Cour d’appel le 8 août 2023. Une partie de ce procès contre la FDA était spécifique aux allégations frauduleuses et illicites faites par l’agence à l’encontre de l’Ivermectine.

La défense des avocats de la FDA est époustouflante, la FDA se débine en prétendant qu’elle n’a jamais interdit la prescription d’ivermectine, et que les médecins étaient libres de prescrire. Effectivement recommandation n’a pas force de loi, mais elle a exercé une pression considérable sur l’ensemble du corps médical et des pharmaciens pour qu’ils ne prescrivent ce médicament sous aucun prétexte. Cela a entraîné toute une chaîne d’actions anti ivermectine et de poursuites contre les prescripteurs.

Nous avons un peu la même situation en France, avec l’ANSM qui affirme que l’ivermectine ne fait strictement rien, tant en curatif qu’en prophylaxie, même quand 100% des 18 publications mondiales en prophylaxie prouvent le contraire. Les CPAM, les ARS, l’Ordre s’appuient sur ces affirmations très discutables, aidées par une partie de la communauté scientifique qui a réalisé des études douteuses : hors indication (traitements non précoces), et avec des populations jeunes, sans risque, qui guérissent sans traitement pour constater le peu de différences, contrairement à des études sur de vrais patients à risques comme celles de Pierre Loué ou de Charlotte Bernigaud. Le tout publié dans des revues “à comité de lecture”, financées par l’industrie pharmaceutique, qui se sont empressées de les publier dans le cadre d’un effort coordonné visant à discréditer l’ivermectine. L’ANSM s’est protégée en écrivant contrairement à la FDA : « vous pouvez prescrire », ce qu’ignore ceux qui poursuivent avec acharnement les prescripteurs, encore mi-2023.

Non seulement la FDA dit maintenant « ce n’est pas moi, c’est eux qui n’ont pas voulu prescrire », mais son avocate affirme qu’elle ne peut être tenue pour responsable de ses recommandations, jouissant d’une “immunité souveraine” et ne peut être tenue pour responsable de déclarations si elles sont mal interprétées, mais aussi si elles sont trompeuses !

Dans les interventions (que l’on peut trouver ici) devant la Cour d’Ashley Cheung Honold, avocate de la FDA , dans l’extrait 4 on apprend que même si les déclarations de la FDA sur l’ivermectine étaient partiellement trompeuses, l’agence n’est pas responsable de la perte du non emploi par les médecins.

Dans l’extrait 5 on apprend que la FDA a à sa tête des responsables politiques, tenus de rendre des comptes, et donc qu’elle peut prendre des décisions politiques et non scientifiques, et que ce n’est pas le rôle des tribunaux de vérifier les déclarations scientifiques de la FDA !

Dans l’extrait 3, quand la juge demande si les opinions peuvent êtres scientifiques ou pas du tout, la réponse est : “Il n’y a rien dans les multiples sources d’autorité que j’ai citées qui exige que la FDA passe par une quelconque procédure formelle”. Nous avons eu la même attitude avec l’ANSM, quand elle était censée donner un avis sur une autorisation. Nous avons demandé comme la loi l’exige le compte rendu des réunions ayant conduit à un refus, on nous a répondu qu’il n’y avait pas eu de réunion. On ne sait pas qui a décidé, ni en fonction de quels critères. Il s’agit donc simplement de l’opinion de l’ANSM, sans savoir de qui, médecin ou politique. La transparence voulue par la loi à la création de l’ANSM, suite au scandale du Médiator, n’a pas été respectée. Et pour cause, il ne fallait pas que l’on puis discuter de leurs arguments, sans doute parce qu’ils sont… discutables.

Après s’être félicité de l’efficacité de la campagne de dénigrement, devant le risque de condamnation pour perte de chance des malades, dire « vous auriez pu prescrire et ne pas nous écouter, s’il y a des conséquences vous êtes responsables, pas nous », est inacceptable quand des millions de morts étaient en jeu. Ces propos, qui sont un aveu, devraient conduire à la dissolution de ces organismes qui ont fait le contraire de ce pourquoi ils ont été créés : protéger les populations. L’AFSSAPS a été dissoute pour les mêmes raisons, la création de l’ANSM n’a rien changé, face à la puissance financière de l’industrie pharmaceutique, dont la survie et le bien-être passe avant celui des patients.

PS : Suite à la mise en ligne du billet, Pierre Jean Guillausseau m’envoie le « même billet », traduit ici, dans le même esprit, fait par un américain.

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