Dans un avenir dystopique, la mémoire collective a été effacée, emportant avec elle la trace du spectacle vivant. Seuls quelques témoins du passé demeurent et s’agitent sur une scène ceinte de grands pans de tissu… Sous le couvercle de cette capsule temporelle, les danseurs et danseuses inscrivent leur empreinte pour les générations à venir, porté•es par une question essentielle : quels mouvements préserver, quels gestes transmettre ?
À l’image d’un palimpseste en perpétuelle réécriture, chacun•e explore son style, affine ses postures, puisant aussi bien dans la danse contemporaine que dans les figures du break et Dans un avenir dystopique, la mémoire collective a été effacée, emportant avec elle la trace du spectacle vivant. Seuls quelques témoins du passé demeurent et s’agitent sur une scène ceinte de grands pans de tissu… Sous le couvercle de cette capsule temporelle, les danseurs et danseuses inscrivent leur empreinte pour les générations à venir, porté•es par une question essentielle : quels mouvements préserver, quels gestes transmettre ?
À l’image d’un palimpseste en perpétuelle réécriture, chacun•e explore son style, affine ses postures, puisant aussi bien dans la danse contemporaine que dans les figures du break et du hip-hop. Dans Dividus, les corps deviennent des explorateurs et le plateau, un laboratoire où l’acte artistique est décomposé pour en extraire l’essence : une ultime trace, vouée à traverser le temps... Avec la compagnie Ayaghma, Nacim Battou orchestre une pièce chorale et chorégraphique fascinante, où nos certitudes vacillent au rythme des gestes virtuoses des interprètes.
