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CORONAVIRUS
Auteur : Jengar  
1/139

Date :    20-03-2020 09:56:39


BONJOUR
A TOUS ET TOUTES VU LES SOUCIS IMPORTANT GRAVE DE SANTE IL EST BIEN SUR FORTEMENT CONSEILLER DE NE PAS sortir pour se proteger jusqu as nouvel ordre
suspendre

LES SORTIES ET ANNULATION

POUR EVITER LES BOULES ROUGES D OVS LOLLLL on efface rien mais on garde l espoir

en esperant intelligence ET SOLIDARITE et espérons que la France deviendra moins C.. MERCI A VS PRENNEZ SOIN DE VS ET VOTRE ENTOURAGE
Auteur : Napi  
3/139

Date :    22-01-2024 13:04:54


www.20min.ch/fr/story/ueli-maurer-la-pandemie-etait-une-hypnose-de-masse-103025138
21/01/2024

En Suisse


UELI MAURER:
«La pandémie était une hypnose de masse»
Les positions de l’ex-conseiller fédéral UDC sont toujours plus radicales, notamment sa critique de la gestion de la pandémie par Berne.


«Le combat politique du Zurichois ne connaît pas de retraite», constate la «NZZ am Sonntag» du jour. Cela sur la base de l’analyse de nombreuses apparitions publiques d’Ueli Maurer depuis son départ du Conseil fédéral. Le journal détaille notamment les déclarations d’Ueli Maurer au sujet de la gestion de la pandémie lors d’une interview à Hoch2.tv, fin décembre dernier: «La pandémie était une hypnose de masse» et une «hystérie» sciemment attisée, y dit-il ainsi.

«L’industrie pharmaceutique était derrière tout ça»
Le Zurichois affirme qu’«il était en réalité évident dès le début que cela ne pouvait pas être aussi grave que ce qui a été présenté». Et que «toute l'industrie pharmaceutique était derrière tout ça, ils ont gagné de l'argent avec ça» en exploitant la peur. Le Conseil fédéral, dont il faisait partie, aurait réagi de façon anxieuse et dépassé les bornes. «Nous avons fait croire que nous avions des vaccins absolument utiles», lance-t-il encore.

Incompréhension des responsables de la santé
Les déclarations d’Ueli Maurer, qui n’en est pas à son premier coup de griffe, ont suscité l’indignation des responsables de la politique de santé. La remise en question si radicale des décisions du gouvernement «est indigne d'un ex-conseiller fédéral», pour la conseillère nationale Barbara Gysi (PS/SG), présidente de la Commission de sécurité sociale et de la santé publique (CSSS). Lukas Engelberger (Le Centre/BS), qui préside la Conférence des directeurs de la santé (CDS), réfute l’idée de manipulation de la population et ajoute: «Les récents chiffres publiés par l'OMS indiquent que, rien qu'en Europe, la vaccination a sauvé 1,4 million de vies».

Comportement non usuel selon Pascal Couchepin
La façon dont Ueli Maurer critique ses ex-collègues du Conseil fédéral et place les décisions communes dans le royaume du complot est sans précédent, écrit le journal zurichois. Interviewé à ce propos, l’ancien conseiller fédéral Pascal Couchepin dit s’en étonner: «Des attaques directes d'une telle virulence ne correspondent pas à l'usage pour les anciens conseillers fédéraux», déplore-t-il.


Auteur : Napi  
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Date :    24-01-2024 21:09:46


tnc.news/2024/01/23/federal-court-declares-trudeaus-emergencies-act-unconstitutional/
23/01/2024

La Cour fédérale déclare inconstitutionnelle l’utilisation de la Loi sur les mesures d’urgence par Trudeau


Dans une décision très attendue, la Cour fédérale a statué que les mesures invoquées par le premier ministre Justin Trudeau en vertu de la Loi sur les mesures d’urgence étaient déraisonnables et inconstitutionnelles.

Cette décision fait suite à une demande de contrôle judiciaire déposée par la Canadian Constitution Foundation, l’Association canadienne des libertés civiles et plusieurs autres requérants en 2022 après que les mesures d’urgence ont été utilisées pour mettre fin aux manifestations du Convoi de la liberté à Ottawa.

Ces mesures controversées ont permis au gouvernement de geler les comptes bancaires des manifestants, d’enrôler des conducteurs de dépanneuse et d’arrêter des personnes pour avoir participé à des rassemblements jugés illégaux par le gouvernement.

La Cour a déclaré que la décision d’émettre la Proclamation et les règlements et ordonnances connexes était déraisonnable et dépassait la portée de la Loi sur les mesures d’urgence.

L’ordonnance du tribunal soulignait que les règlements du gouvernement avaient violé les droits garantis par la Charte, en particulier en empiétant sur la liberté de pensée, d’opinion et d’expression. De plus, il a été jugé que l’ordonnance rendue en vertu de la Loi sur les mesures d’urgence portait atteinte au droit à la sécurité contre les fouilles, les perquisitions ou les saisies abusives.

« Il est déclaré que la décision d’émettre la Proclamation et le Règlement et l’ordonnance de l’association était déraisonnable et ultra vires de la Loi sur les mesures d’urgence », a statué la Cour fédérale.

« Il est déclaré que la décision selon laquelle le Règlement a enfreint l’alinéa 2b) de la Charte et a déclaré que le décret contrevenait à l’article 8 de la Charte et qu’aucune des deux violations n’était justifiée en vertu de l’article 1. »

Le chef conservateur Pierre Poilievre s’exprime sur la décision rendue dans l’affaire X, accusant le premier ministre d’avoir enfreint « la plus haute loi du pays » en recourant aux pouvoirs d’urgence.

La Canadian Constitution Foundation avait entamé la révision judiciaire, exprimant ses préoccupations face à ce qu’elle considérait comme un exemple grave d’abus du gouvernement et de violations des libertés civiles pendant la pandémie.

« L’utilisation de cette loi extraordinaire par le gouvernement Trudeau est peut-être l’exemple le plus grave d’abus et de violations des libertés civiles qui a été observé pendant la pandémie », a déclaré Van Geyn à l’époque.

« L’utilisation de cette loi puissante n’était pas autorisée parce que le seuil légal pour utiliser la loi n’était pas atteint. La Loi sur les mesures d’urgence contient une disposition de dernier recours : elle ne peut être utilisée qu’en cas d’urgence nationale et qu’il n’existe aucune autre loi fédérale, provinciale ou municipale qui puisse remédier à la situation. Le Parlement ne peut pas se servir de la Loi sur les mesures d’urgence comme d’un outil de commodité, comme il l’a fait en l’espèce.

Dans sa décision, le juge Richard Mosley a souligné que la Loi sur les mesures d’urgence devrait être considérée comme un dernier recours, ne s’appliquant que lorsque toutes les autres options ont été épuisées. Il a conclu que la preuve indiquait que la plupart des provinces étaient en mesure de gérer la situation en utilisant les lois existantes, comme le Code criminel, comme l’a soutenu l’Alberta.

Le gouvernement a soutenu que les manifestations en cours avaient créé une crise nationale nécessitant l’adoption de la Loi sur les mesures d’urgence, affirmant que les lois alternatives étaient insuffisantes. Cependant, la Cour n’était pas d’accord, reconnaissant la gravité de la situation, mais soutenant que les lois existantes, telles qu’elles ont été démontrées en Alberta, auraient pu être efficaces

Essentiellement, la Cour a conclu que le gouvernement n’avait pas démontré l’absolue nécessité d’invoquer la Loi sur les mesures d’urgence, soulignant l’importance d’épuiser les autres outils disponibles avant d’y recourir.

Une partie de la décision portait également sur les mesures économiques spéciales prises par le gouvernement Trudeau pour geler les comptes bancaires des organisateurs du Convoi de la liberté et des manifestants. Le juge Mosley a rejeté l’allégation du gouvernement libéral selon laquelle le gel des comptes bancaires liés au Convoi de la liberté en vertu des mesures économiques constituait une atteinte minimale.

Bien qu’il ait reconnu l’objectif du gouvernement de disperser les barrages, le juge a fait valoir que le gel des comptes était loin d’avoir un impact minime sur les individus, même dans tout le pays, même dans les régions où il n’y avait pas de manifestations illégales.

Le juge a recommandé une portée plus restreinte pour les mesures dans la décision, exprimant des préoccupations quant à l’absence de normes claires pour cibler les individus et à l’absence d’un processus approprié pour contester de telles décisions. On a mis l’accent sur les conséquences imprévues des suspensions de comptes, qui touchent les titulaires de comptes conjoints et les membres de leur famille dont les cartes de crédit ont été émises.

En fin de compte, le juge a conclu que les violations des alinéas 2b) et 8 de la Charte ne portaient pas atteinte de façon minimale et n’étaient pas justifiées en vertu de l’article 1 de la Loi sur les mesures d’urgence.

Auteur : Doune13 
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Date :    30-01-2024 17:24:27


Dans Càvous sur France5, comme ils n'ont plus grand monde à se mettre sous la dent, que le néphrologue est désavoué, ils ont invité une nouvelle fois le Molimard, champion de BigPharma, auquel DR vient de répondre une nouvelle fois:

"Hydroxychloroquine : distinguez réalité et propagande! C’est nous les gentils ! C’est simple à voir et à vérifier hors des plateaux télé et des ministères. Tous les livres de médecine et de maladies infectieuses (y compris l’ouvrage de référence des infectiologues français, le PILLY) recommandaient depuis des années l’hydroxychloroquine à 600 mg/j pendant plus d’un an pour 2 maladies bactérienne (la fièvre Q et la maladie de Whipple) que j’avais mis au point. La même prescription était recommandée pour les maladies rhumatismales fréquentes (lupus et polyarthrite rhumatoïde).
J’ai traité et publié les dosages et les résultats des milliers de patients traités dans ces conditions, je les ai examinés et traités moi-même, j’ai fait réaliser les dosages dans mon laboratoire, je n’ai jamais eu de complications autres que des intolérances digestives et musculaires. Ceci est connu et disponible.
Personne ne met en cause l’activité inhibitrice de l’hydroxychloroquine sur les premiers variants du Covid, ceci a été publié dans tous les journaux (dont Nature) qui ont rapporté son évaluation. Nous avons, en utilisant les doses connues, (et de nombreuses autres équipes utilisant des doses identiques (voir analyse de plus de 2000 traitements dans http://C19early.org) ont des résultats comparables (baisse de la mortalité de 70% dans les traitement avant hospitalisation et de 40% chez les patients hospitalisés). Réf: https://sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297523001075?via%3Dihub… Cette étude porte sur 30000 patients traités au CHU de Marseille, enregistrés dans ce CHU où les tests par PCR ont été réalisés et qui a fourni aux patients l’hydroxychloroquine prescrite par les praticiens du CHU. C’est bien le CHU et c’est lui qui est entièrement juridiquement responsable (l' IHU n’a pas de lits propres).
Ces données ont été vérifiées par un huissier et comparées à la mortalité rapportée par l’INSEE. Nous avons demandé à Mr Crémieux, directeur de l’APHM (du CHU) l’autorisation de publier ces données rétrospectives, ce qui a été accordé et signé. Ces données, rendues anonymes, ont été déposées dans des banques de données neutres. Nous les avons depuis analysées et ceci justifie un harcèlement des 4 signataires d’une publication qui ne fait qu’analyser des donnés du CHU de Marseille avec son autorisation . ref: https://sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297523001075?via%3Dihub…
Aucune des conclusions de l’enquête à charge de l’IGAS et de l’ANSM (9 personnes en 7 mois en 2022) n’a relevé de problèmes dans ses recommandations. Ainsi, le travail qui irrite tant par sa vérité est de la responsabilité du CHU mais on nous reproche de divulguer ces données ! ref : https://questions.assemblee-nationale.fr/q16/16-13547QE.htm… Pour donner du grain à moudre aux théoriciens de la pharmacologie qui ne connaissent rien de la réalité de l' hydroxychloroquine, nous venons de publier les taux sanguins d’hydroxychloroquine des patients traités pour Covid19 en 2020 avec des doses normales,réf : https://hindawi.com/journals/jcpt/2024/6500340/…
En tout, nous aurons dans notre expérience (enregistrée au CHU de Marseille et officielle) fait plus de 10000 dosages d’hydroxychloroquine et publié il y a quelques années la mise au point de techniques nouvelles de dosages (ref : https://sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S157002321730329X?via%3Dihub… ). Nous avons reçu des demandes de dosages de nombreux CHU français et d’hôpitaux étrangers car nous étions la référence mondiale de ces dosages. Nous sommes dans une réalité vérifiée (par huissier), toujours vérifiables nos données sont publiques, nous sommes les sachants ! Pour les risques cardiaques, tous nos malades traités au début ont été vus et validés par le professeur de cardiologie spécialiste en trouble du rythme de Marseille (Pr Deharo) qui a confirmé l’absence de danger de notre traitement et l’a publié. réf:https://mdpi.com/1648-9144/59/5/863….

Les études de référence utilisées par l’OMS (Recovery en Angleterre, solidarity pour l’OMS, discovery en France) n’ont pas utilisé les doses recommandées depuis 30 ans mais soit des doses toxiques (pour les anglais, 4 fois la dose), soit des doses insuffisantes (les français 400mg/j), sans avoir dans certains cas (10% pour les anglais) de PCR disponible pour confirmer le diagnostic, ici on appelle cela « les médecins des poules ». Puis les modélisateurs et les prévisionnistes, souvent pétris de conflits d’intérêts, (rapports financiers avec l’industrie) s’en mêlent. Et, pour empêcher l’accès à une réalité vérifiable, (j’ai demandé au gouvernement depuis un an et demi de vérifier ces données du CHU), on promeut des études virtuelles et fausses et on nous harcèle, nous insulte, les menaces et les sanctions se multiplient sur ceux qui ne cèdent pas mais toujours pas de vrai procès contradictoire. Nous espérons qu’enfin le droit soit dit et public.
Peut-être demain grâce à la loi Darmanin anti complotiste, pourra-t-on nous punir d’avoir (comme nous le faisons depuis le début) de vraies données scientifiques qui contredisent les affirmations approximatives des ministres de passage qui croient avoir la science infuse, n’ayant aucune connaissance du domaine ? La loi punira-t-elle aussi ceux qui ont reconnu s’être trompés (comme le Pr Delfraissy) et véhiculaient les certitudes des politiques, quand nous avions déjà raison en doutant de leur validité ? J’aurai tout vu dans cette crise du pire et du meilleur, mais nous, les gentils, sommes les plus nombreux.
Bon courage !"
Auteur : Bigben  
7/139

Date :    31-01-2024 16:01:53


@post précédent : Jo,
--> et bravo au Pr Raoult,
--> pour sa compétence, son honnêteté et sa libre parole
--> dans son opiniâtre "croisade" pour révéler la VERITE !
Auteur : Napi  
8/139

Date :    01-02-2024 14:25:17


web.archive.org/web/20240201095205/https://infodujour.fr/societe/73127-japon-vire-de-son-universite-pour-avoir-publie-un-article-scientifique-sur-la-covid-19
01/02/2024

Japon : Viré de son université pour avoir publié un article scientifique sur la Covid-19

L’université de Kyoto n’a pas renouvelé le contrat du Pr Takayuki Miyazawa qui, quelques jours plus tôt, avait publié un article scientifique et accordé une interview à la télé, démontrant que le variant Omicron n’avait rien de naturel.

Sous le titre « Covid-19 : Une vidéo très dérangeante » nous avons publié l’interview du Pr Miyazawa qui affirme que le variant Omicron et ses sous-variants sont le fruit d’une ingénierie humaine. Autrement dit que le virus a été bidouillé !
La vidéo postée sur les réseaux sociaux a fait le tour du monde. Et de nombreux scientifiques, ont approuvé les résultats du Pr Miyazawa, comme Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie : « Personnellement, ayant longuement travaillé en recherche sur les études de gain de fonction des molécules, ses propos [du Pr Miyazawa] me paraissent 100 % exacts. »

La vérité scientifique n’est-elle pas bonne à dire ?
Une vidéo particulièrement dérangeante…



Scientifiquement, les explications du Prof. Miyazawa sont très valables.

Personnellement, ayant longuement travaillé en recherche sur les études de gain de fonction des molécules, ses propos me paraissent 100 % exacts.#Covid #spike pic.twitter.com/5UuEKhF5ln

— Sabatier Jean-Marc (@SabatierJeanMa1) January 28, 2024



Trois jours plus tard, le professeur de l’université de Kyoto a été remercié. On l’apprend par un post qu’il a rédigé lui-même en anglais sur X (ex-Twitter) et qui se traduit ainsi : « J’ai téléchargé le document imprimé sur un serveur priprint (zenodo). Mais je n’ai pas réussi à renouveler mon poste à l’université cette année. J’ai publié de nombreux articles scientifiques, mais je souhaite toujours poursuivre mes projets de recherche. Mais ma carrière de chercheur est terminée. »
En quoi les recherches du Pr Miyazawa sont-elles subversives ? Tout simplement parce que cet éminent scientifique fait son travail de chercheur. Il traque la vérité dans l’infiniment petit, à la lumière de son microscope. Mais la vérité n’est pas toujours bonne à dire. Surtout en matière scientifique et sanitaire lorsque celle-ci gêne les intérêts financiers de grands groupes pharmaceutiques relayés servilement par les autorités politiques et sanitaires de nombreux États.
Ce qui se passe au Japon, se passe ailleurs. Partout, la vérité qui touche à la Covid-19 et aux vaccins anti-Covid est bâillonnée.

« Honte à vous »
Les commentaires laissés à la suite du post du Pr Miyazawa sont édifiants ! « Honte à l’université de Kyoto » écrit un internaute. Takayuki Miyazawa était professeur au Laboratory of Virus-Host Coevolution, Institute for Life and Medical Sciences, Kyoto University, Sakyo-ku, Kyoto Japan.

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