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CORONAVIRUS
Auteur : Napi  
49/138

Date :    23-04-2024 14:44:03



@Fabienne P.147


-Tu ne réponds pas à la question...
As-tu des arguments scientifiques en faveur des vaccins à ARN messager ?



-Peux-tu citer les noms des "médecins d'extrême droite" ?

Auteur : Bigben  
50/138

Date :    24-04-2024 03:00:06


@post 147 où Fabienne s'interroge en ces termes : " ... n'existe t'il pas de médecins et autres scientifiques sérieux, honnêtes, expérimentés, compétents (des cerveaux quoi !) appartenant à d'autres obédiences politiques (ou sans appartenance politique) ayant un avis et sur le vaccin à ARN messager, et sur l'Hydroxychloroquine, l'ivermectine etc. Sont ils tous débiles, indifférents, vendus ? " (sic)
--> ben, dis donc, quelle naïveté chez cette dame que de se contenter des "palabres" de "scientifiques" qui venaient, à longueur de journée, "prêcher l'évangile" sur les ondes et dans les chaumières ( = distribution répétitive d' "éléments de langage" émanant du gouvernement) ,
--> sans jamais daigner tendre l'oreille à d'autres sons de cloche,
--> au seul et unique prétexte qu'ils proviendraient de la... "droite de la droite" (et analysant ainsi les choses sous l'angle d'une bête réduction essentialiste... ) !!!
/
N.B. : car, perso, je n'ai guère (ou pas du tout) noté de franche contestation (ni même de moindres doutes) à propos de cette "mobilisation vaccinale" dans la bouche, ni sous la plume, d'intervenants connus pour leurs idées de "gauche de la gauche" (sic) -- comme, par exemple, un certain réputé docteur urgentiste ou les différents présidents successifs de "Médecins du monde" , sans parler de l'inénarrable BHL ...
--> au contraire, je n'ai pu constater de leur part, sur cette question, que conformisme, approbation, pour ne pas dire... soumission (aux recommandations gouvernementales -- ou plutôt aux diktats politiques -- et, par voie de conséquence, ... au courant majoritaire du capitalisme mondial et, plus précisément, aux intérêts économiques de Big Pharma -- avec tout le "ruissellement" de prébendes annexes qu'on peut supposer) !
/
P.-S. : sinon, qu'elle n'hésite pas (elle-même ou bien Rosalie ou encore Daligalette, sans oublier notre incurable brunobo) à me détromper (preuves à l'appui) ! ...
Auteur : Napi  
51/138

Date :    24-04-2024 13:23:49


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/covidfilessuisse-les-revelations-d-amele-debey-et-viviane-cuendet
23/04/2024 39 min.

#CovidFilesSuisse, les révélations d’Amèle Debey et Viviane Cuendet

Amèle Debey, journaliste et fondatrice de l'Impertinent a réussi à télécharger les 1661 pages des procès-verbaux de la "task force covid" de l'Office fédéral de la santé publique suisse. Elle s'est associée à Viviane Cuendet pour en faire l'analyse.

Dans un article très complet et détaillé (temps de lecture de 26 minutes), Amèle Debey s'est évertuée à relater les diverses découvertes qui comprennent de nombreuses incohérences entre ce que les autorités suisses savaient et ce qui était publié dans les médias.

Dans ce debriefing, elles viennent nous présenter leur enquête : de la cocasserie d'un caviardage raté aux conséquences dramatiques pour les patients.



www.nexus.fr/actualite/news/covid-rki/
22/04/2024

Covid-19 : des documents déclassifiés de l’Institut Robert-Koch font scandale en Allemagne

Un magazine allemand indépendant, Multipolar, a obtenu par la justice des documents classés secret défense retraçant les échanges entre l’Institut Robert-Koch (RKI) et le gouvernement allemand durant la première année de la crise sanitaire. Malgré plusieurs pages noircies, ces documents révèlent l’absence de fondement scientifique dans les décisions prises par le gouvernement et de possibles pressions sur le RKI.


◆ Un scandale passé sous silence en France

Avec le Covid, quand y en a plus, y en a encore. Alors que les Jeux olympiques de Paris sont le nouveau prétexte pour relancer la campagne de vaccination anti-Covid auprès des personnes dites les plus fragiles, en raison d’un soi-disant brassage de populations qui pourrait faire circuler le virus jusque dans les Ehpad (!), voici qu’on nous parle « en même temps » d’un nouveau variant baptisé XDK. Ce dernier-né de la famille Omicron n’a pourtant rien de préoccupant, nous dit-on. Alors pourquoi en parler ?

Pendant ce temps, pas un mot sur le « corona scandale » qui secoue l’Allemagne depuis environ un mois. En effet, le 18 mars dernier, un magazine allemand indépendant, Multipolar, a révélé les contenus des procès-verbaux des réunions qui ont eu lieu entre la cellule de crise de l’Institut Robert-Koch (RKI) et le gouvernement fédéral allemand, sur la période allant de janvier 2020 à fin avril 2021. Relayée par la presse grand public (notamment le magazine Bild, Die Welt ou le Berliner Zeitung), l’affaire fait grand bruit outre-Rhin, à tel point que plusieurs responsables politiques réclament une commission d’enquête à ce sujet.

◆ Un millier de pages en partie caviardées

L’Institut Robert-Koch est l’établissement de référence en Allemagne concernant la santé publique, la prévention, le contrôle des maladies et la lutte contre les épidémies. Autant dire qu’il a eu son importance au moment de la crise du Covid en Allemagne.

Multipolar a engagé une action en justice en 2021 pour obtenir les documents du RKI en vertu de la loi sur la liberté de l’information. Après une longue bataille judiciaire, le RKI a enfin transmis en avril 2023 ses protocoles internes, documents jusque-là classés secret défense. Plus d’un millier de pages ont été fournies, mais avec un grand nombre de passages noircis.

Multipolar poursuit donc toujours son action en justice pour obtenir le contenu des passages occultés. Une audience aura lieu à ce sujet le 6 mai prochain au tribunal administratif de Berlin. Elle pourrait aussi aboutir à la déclassification de pages supplémentaires.

◆ Le Covid pas plus sévère que la grippe, pour le RKI

Ce que révèlent néanmoins les documents remis est qu’un acteur, sans doute extérieur, mais anonymisé (son nom est noirci), est intervenu le 17 mars 2020 dans les échanges entre la cellule de crise du RKI et le gouvernement allemand, pour faire évoluer la classification du risque épidémique en Allemagne de « modéré » à « élevé », sans justification scientifique.

Au mois de février 2020, le RKI se bornait toujours à évaluer le risque épidémique pour la population allemande à un niveau « faible », en contradiction avec les propos alarmistes du ministre de la Santé de l’époque, Jens Spahn. Mais le 25 février 2020, relate Multipolar, l’OMS a exhorté les gouvernements du monde entier à se préparer à l’épidémie de coronavirus. Suite à quoi le RKI a modifié son évaluation pour la faire passer au niveau « faible à modéré », tout en restant peu inquiet : « Mon estimation serait que cela évolue en sévérité comme une épidémie de grippe forte à très forte », déclarait le vice-président du RKI, Lars Schaade, le 28 février à la presse.

◆ Un article catastrophiste de Bill Gates

Pas d’affolement donc du côté de l’institut allemand. Mais le même jour, Bill Gates publiait simultanément sur son blog et sur le site du très réputé New England Journal of Medicine un article catastrophiste intitulé « Comment répondre au Covid-19 ». Le milliardaire américain y incitait les gouvernements à injecter massivement des fonds publics dans le développement urgent de vaccins, après avoir dressé un tableau sombre de la maladie : « L’agent pathogène redouté que l’on ne rencontre qu’une fois par siècle », qui peut aussi « tuer des adultes en bonne santé », avec un « taux de mortalité plusieurs fois supérieur à celui de la grippe saisonnière » et un « taux de transmission exponentiel », même par des personnes « ne présentant pas encore de symptômes »…

◆ Une évaluation du risque épidémique qui augmente sans raison

Trois jours plus tard, le 2 mars 2020, l’évaluation publiée par le RKI est soudain passée à « risque épidémique modéré » mais, souligne Multipolar, les documents remis par l’institut sont presque entièrement noircis à cette date. Quels arguments ont-ils abouti à cette évolution ? Impossible de le savoir. Dans le même temps, le gouvernement allemand a renforcé sa campagne de communication sur l’épidémie.

Pourtant, aux dates des 3 et 6 mars 2020, il est noté dans les protocoles du RKI que les 80, puis 213 échantillons testés dans le cadre de la veille épidémiologique du réseau Sentinelles allemand ont tous été négatifs. Et le 12 mars, pas de nouveaux cas.

◆ Coup de pression de l’OMS et tout s’accélère

Ces données plates n’ont pas empêché le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, d’annoncer le 13 mars que l’Europe était devenue « l’épicentre de la pandémie ». Le lendemain, tous les lieux publics ont été fermés à Berlin et les rassemblements de plus de 50 personnes interdits. D’autres mesures sociales ont été appliquées dans la plupart des Länder.

Puis, le 17 mars, sur intervention de la mystérieuse personnalité citée plus haut, le niveau de risque évalué par le RKI est passé directement de « modéré » à « élevé », dernière étape avant les mesures de semi-confinement instaurées le 22 mars en Allemagne.

◆ Le RKI était défavorable à la plupart des mesures et aux vaccins

Cette étrange chronologie n’est pas la seule bizarrerie révélée par les documents déclassifiés de l’Institut Robert-Koch. Dans son article du 26 mars 2024, Multipolar rapporte ce que d’autres journaux ont trouvé en épluchant les protocoles. Le confinement, la fermeture des écoles, le port du masque FFP2 en population générale : toutes ces mesures ont d’abord été jugées inutiles, inefficaces, voire nocives par le RKI. De même, début 2021, de sérieux doutes ont été émis par les experts de l’institut sur l’efficacité et la sécurité des vaccins.

Selon le vice-président du Bundestag, Wolfgang Kubicki, membre du Parti libéral-démocrate allemand (FDP), « il devient de plus en plus clair que le RKI n’a servi que “de façade scientifique” à la politique du ministre de la Santé ». Ce que dément, bien sûr, l’actuel ministre de la Santé allemand, Karl Lauterbach, successeur de Jens Spahn, qui dit vouloir lui aussi plus de transparence sur les documents publiés, afin de stopper les « théories du complot ».

Article par Alexandra Joutel

Auteur : Bigben  
52/138

Date :    24-04-2024 18:09:06


Serge.
Auteur : Bigben  
53/138

Date :    24-04-2024 19:00:07


@post 147 où Fabienne s'interroge en ces termes : " ... n'existe t'il pas de médecins et autres scientifiques sérieux, honnêtes, expérimentés, compétents (des cerveaux quoi !) appartenant à d'autres obédiences politiques (ou sans appartenance politique) ayant un avis et sur le vaccin à ARN messager, et sur l'Hydroxychloroquine, l'ivermectine etc. Sont ils tous débiles, indifférents, vendus ? " (sic)
--> ben, dis donc, quelle naïveté chez cette dame que de se contenter des "palabres" de "scientifiques" qui venaient, à longueur de journée, "prêcher l'évangile" sur les ondes et dans les chaumières ( = distribution répétitive d' "éléments de langage" émanant du gouvernement) ,
--> sans jamais daigner tendre l'oreille à d'autres sons de cloche,
--> au seul et unique prétexte qu'ils proviendraient de la... "droite de la droite" (et analysant ainsi les choses sous l'angle d'une bête réduction d'ordre essentialiste... ) !!!
:
N.B. : car perso (tout comme Fabienne) , je n'ai guère (ou pas du tout) noté de franche contestation (ni même de moindres doutes) à propos de cette "mobilisation vaccinale" dans la bouche, ni sous la plume, d'intervenants connus pour leurs idées de "gauche de la gauche" (sic) -- comme, par exemple, un certain réputé docteur urgentiste ou les différents présidents successifs de "Médecins du monde" , sans parler de l'inénarrable BHL ...
--> au contraire, je n'ai pu constater de leur part, sur cette question, que conformisme, approbation, pour ne pas dire... soumission (aux recommandations gouvernementales -- ou plutôt aux diktats politiques -- et, par voie de conséquence, ... au courant majoritaire du capitalisme mondial et, plus précisément, aux intérêts économiques de Big Pharma -- avec tout le "ruissellement" de prébendes annexes qu'on peut supposer : ils ont vite acquiescé à ce type de vaccins, élaborés dans l'urgence et adoptés par les instances sanitaires avec insuffisamment de contrôles, sans tenir compte de nombreuses réserves émises par d'autres experts dans ce domaine -- voire en se raillant ouvertement de leur discours ! )
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P.-S. : sinon, n'hésite surtout pas, Fabienne (ou bien Rosalie ou encore Daligalette, sans oublier notre incurable brunobo) à me détromper !
(preuves, si possible, à l'appui)
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Auteur : Napi  
54/138

Date :    28-04-2024 13:41:32


www.covid-factuel.fr/2024/04/27/102e-etude-sur-livermectine-996-defficacite-en-ehpad/
27/04/2024

102e étude sur l’ivermectine, 99,6 % d’efficacité en ehpad.

Docteur Gérard Maudrux


La pandémie de covid a représenté un défi sans précédent pour les maisons de retraite, médicalisées ou non. Une 102e étude (colombienne) vient d’être publiée, intéressante car elle concerne la vraie population à risque qu’il convient de soigner en cas de covid : les personnes très âgées avec comorbidités. C’est là que l’on peut voir les vrais résultats significatifs, pas dans une population de 40-50 ans sans comorbidités comme on le voit dans toutes les études faites pour dénigrer les traitements précoces, donnant des résultats toujours positifs mais présentés comme « statistiquement non significatifs ».

En préambule rappelons une vaste étude aux USA sur la mortalité, covid et non-covid, selon la qualité des établissements. Les données de l’étude concernent 14 905 maisons de retraite ayant déclaré les causes de mortalité, 516 maisons ayant été éliminées pour rapports insuffisants ou incohérents (étude traduite ici).

Les auteurs américains relèvent, au 15 août 2021, 634 200 décès dus au covid aux USA dont 137 318 (21 %) en maison de retraite, avec un taux de 87 décès pour 100 000 hors maisons de retraite, contre 9 200 pour 100 000 dans ces établissements, soit 108 fois plus. En ne tenant compte que des plus de 65 ans, cela fait 23 fois plus. Dans certains États, 12 % des pensionnaires sont décédés, avec des variations entre États pouvant aller de 1 à 10 qu’ils n’expliquent pas. Fin 2020, 17 % des établissements ne signalaient aucun décès. Il est clair que certains devaient traiter, d’autres pas, seule explication crédible pour expliquer ces différences.

Les auteurs ont classé les établissements de seniors selon la qualité des prestations et soins, constatant qu’en début d’épidémie (au 13 septembre 2020), la mortalité covid était inférieure de 15 % dans les 5 étoiles, par rapport aux 1 étoile, certaines mesures ayant peut-être mieux empêché le covid d’entrer ou de se propager. Toutefois, ils constatent également que la mortalité non-covid dans les établissements haut de gamme était supérieure de 11,4 % au 13 septembre 2020 et de 15 % au 15 avril 2021. Ils attribuent cette surmortalité hors covid probablement aux mesures d’isolement et à la solitude, plus sévères dans ces établissements, comme le montrent nombre d’études citées dans l’article. Les auteurs n’éliminent pas non plus la possibilité que si les maisons de moindre qualité ont connu moins de décès non-covid, c’est sans doute que les résidents les plus fragiles sont morts du covid. Notons qu’il y a peu de chances de biais concernant les déclarations, car depuis le 8 mai 2020 la déclaration au CDC était obligatoire sous peine d’amende de 1 000 $ en cas de carence. Le tout était publié chaque semaine.

In fine, « dans cet article, nous montrons que les maisons de retraite de la plus haute qualité ont été témoins du plus grand nombre de décès pendant la pandémie. Entre le premier janvier 2020 et le 25 avril 2021, les foyers cinq étoiles ont connu 8,4 % de décès en plus que les foyers une étoile ». Comme quoi l’argent ne fait pas le bonheur, pas plus que l’application plus stricte des mesures préconisées par les autorités sanitaires ou politiques.

IVERMECTINE EN EHPAD

Dans cette dernière étude de 2024 (traduite ici) : 1 mort sur 475 résidents traités dans deux Epadhs de la ville de Cali en Colombie, pour une mortalité en Ehpad évaluée par les auteurs à plus de 25% dans le pays (Colombie) chez les pensionnaires positifs. Le pensionnaire était très âgé, il est décédé au 21ejour d’infarctus. Rappelons que dans la publication française de Pierre Loué, la mortalité dans cette tranche d’âge était de 30% chez les non traités (5 décès sur 15).

Malgré cela, cette étude colombienne ne sera ni regardée, ni commentée par les « spécialistes », parce qu’elle n’est pas randomisée. Sur les 475 résidents, il aurait fallu en tirer au sort 237, les priver de traitement sans leur dire, et provoquer entre 60 et 70 décès, pour qu’elle soit recevable ! Ainsi va la médecine moderne, qui assassine et fustige ceux qui refusent d’assassiner.

Dans le même esprit j’ai encore une déclaration de Molimard pour rejeter l’étude de Charlotte Bernigaud qui montre 0 décès en prophylaxie en Ehpad (suite à un traitement pour la gale) : « elle n’est pas randomisée ». Pour ce monsieur, quand on traite la gale dans un Ehpad, il faut priver de traitement la moitié des pensionnaires, au cas où le hasard permettrait de faire une découverte (la sérendipité). En fait, à partir de maintenant, il ne faudrait plus traiter que la moitié des malades, quelle que soit la maladie, « au cas où », pour satisfaire le Dieu Random. Ce dieu fait perdre la raison à certains.

Revenons à notre étude colombienne concernant 475 pensionnaires de 2 Ehpads, moyenne d’âge 80 ans. Tous testés (87 positifs) et tous traités. Taux d’hospitalisations 2,7 %, aucun en soins intensifs. Le traitement a été un peu surprenant. Pour ce qui est de l’ivermectine, une seule dose de 600 µg/kg le premier jour, renouvelée le 7e jour. Un traitement de 5 jours aurait été préférable, mais au début de l’épidémie, ils sont restés sur le « protocole gale » (J1/J7) avec des doses plus fortes. L’ivermectine était associée à du nitazoxanide (500 mg pendant 6 jours) et de l’aspirine, déconseillée chez nous, comme quoi cela n’a pas fait de mal !

Qu’est-ce que ce nitazoxanide ? Je suis donc allé voir. C’est un autre antiparasitaire agissant sur les protozoaires (animaux à une seule cellule, type amibes) digestifs, mais aussi également connu pour être actif in vitro sur nombre de virus (grippe, hépatite B et C, norovirus, rotavirus, Ebola, Mers-Cov et Sars-Cov-2, cf. document ANSM). Surprenant, je découvre que le laboratoire commercialisant le Rizverti avait discrètement déposé auprès de l’ANSM une demande d’ ” Autorisation d’accès précoce ” pour le traitement covid-19. Demande refusée. Personne n’en a entendu parler.

La réponse de l’ANSM est surprenante : « L’ANSM ne peut attester de la forte présomption d’efficacité ». S’il n’y a pas forte présomption, on peut supposer qu’il y a déjà présomption. L’ivermectine n’a pas eu autant de considération puisqu’il n’était pas signalé le moindre soupçon de présomption d’efficacité tant en curatif qu’en prophylaxie. J’ai aussi relevé que le nitazoxanide commercialisé en France sous le nom de Alinia, bénéficiait d’une ATU = autorisation temporaire depuis… 2003, c’est à dire 20 ans. On a l’habitude du temporaire qui dure en France. Le dossier présenté à l’ANSM n’était, il faut le reconnaître, pas terrible (une seule étude, moyenne d’âge 40 ans, 378 patients positifs sur 1 092 !), mais cela n’a pas empêché l’ANSM de dire qu’avec 2 patients sur 184 traités ayant évolué vers une forme grave, contre 7 sur 195 dans le groupe placebo, « la différence statistique n’était pas significative ».

L’étude colombienne montre, une fois de plus, que l’ivermectine a protégé des formes graves des personnes pourtant à haut risque, et protégé de la contamination les personnes non encore touchées. Comparons les 2,7 % d’hospitalisations et un seul décès (0,2 %) sur 475 résidents, avec les chiffres publiés par Charlotte Bernigaud, qui a relevé ce qui se passait dans les Ehpads de son département (Seine et Marne), avec 4,9 % de mortalité répertoriée dans 45 Ehpads. Les auteurs ont également calculé la mortalité attendue sans traitement. Avec les taux de mortalité covid de Cali (ville de l’étude) et de Colombie, ils attendaient 12 décès, Soit 12 fois plus. En comparant la littérature concernant les personnes en Ehpad ils pouvaient attendre de 21 à 39 décès selon les études. Si on se réfère aux taux relevés en Seine et Marne, 5% des pensionnaires d’Ehpads qui décèdent, cela aurait donné 25 décès attendus, suivant les normes françaises anti-traitements.

Si au vu de toutes les publications sur l’ivermectine prenant pour critère principal les décès, on peut évoquer une réduction de ces décès dans la population générale de 75 % (voire de 80 %, chiffre donné par l’OMS). Au vu des études de Colombie, de Bernigaud et de Loué, c’est plus de 95 % des décès qui auraient pu être évités en additionnant prophylaxie et curatif chez les personnes fragiles, 80-90 ans avec comorbidités multiples. Il n’existe à ma connaissance aucune étude avec traitement prophylactique ou curatif en Ehpad qui montre le contraire, et ceux qui font en sorte qu’on le cache et que l’on n’utilise pas ce traitement (et d’autres), portent une lourde responsabilité et devraient être poursuivis au titre de l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires, la peine maximale me paraissant très insuffisante eu égard au nombre de décès constatés en Ehpad chez les pensionnaires que l’on a empêché de traiter.

Auteur : Bigben  
55/138

Date :    28-04-2024 20:26:13


@post 146 où Fabienne s'interroge en ces termes : " ... n'existe t'il pas de médecins et autres scientifiques sérieux, honnêtes, expérimentés, compétents (des cerveaux quoi !) appartenant à d'autres obédiences politiques (ou sans appartenance politique) ayant un avis et sur le vaccin à ARN messager, et sur l'Hydroxychloroquine, l'ivermectine etc. Sont ils tous débiles, indifférents, vendus ? " (sic)
--> ben, dis donc, quelle naïveté chez cette dame que de se contenter des "palabres" de "scientifiques" qui venaient, à longueur de journée, "prêcher l'évangile" sur les ondes et dans les chaumières ( = distribution répétitive d' "éléments de langage" émanant du gouvernement) ,
--> sans jamais daigner tendre l'oreille à d'autres sons de cloche,
--> au seul et unique prétexte qu'ils proviendraient de la... "droite de la droite" (et analysant ainsi les choses sous l'angle d'une bête réduction d'ordre essentialiste... ) !!!
/
N.B. : car perso (tout comme Fabienne) , je n'ai guère (ou pas du tout) noté de franche contestation (ni même de moindres doutes) à propos de cette "mobilisation vaccinale" dans la bouche, ni sous la plume, d'intervenants connus pour leurs idées de "gauche de la gauche" (sic) -- comme, par exemple, un certain réputé docteur urgentiste ou les différents présidents successifs de "Médecins du monde" , sans parler de l'inénarrable BHL ...
--> au contraire, je n'ai pu constater de leur part, sur cette question, que conformisme, approbation, pour ne pas dire... soumission (aux recommandations gouvernementales -- ou plutôt aux diktats politiques -- et, par voie de conséquence, ... au courant majoritaire du capitalisme mondial et, plus précisément, aux intérêts économiques de Big Pharma -- avec tout le "ruissellement" de prébendes annexes qu'on peut supposer : ils ont vite acquiescé à ce type de vaccins, élaborés dans l'urgence et adoptés par les instances sanitaires avec insuffisamment de contrôles, sans tenir compte de nombreuses réserves émises par d'autres experts dans ce domaine -- voire en se raillant ouvertement de leur discours ! )
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P.-S. : sinon, n'hésite surtout pas, Fabienne (ou bien Rosalie ou encore Daligalette, sans oublier notre incurable brunobo) à me détromper !
(preuves, si possible, à l'appui)
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Auteur : Napi  
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Date :    29-04-2024 14:29:29


www.nexus.fr/actualite/news/covid-files-suisse/
28/04/2024

Après les « RKI Files » en Allemagne, les « Covid Files » en Suisse

Après la révélation en Allemagne de documents déclassifiés de l’Institut Robert-Koch (RKI) sur la gestion de la crise Covid, c’est au tour de la Suisse d’avoir ses « Covid Files ». Des documents publiés début avril par l’Office fédéral de la santé publique suisse révèlent une gestion de crise hésitante, soumise à différentes opinions, avec des décisions souvent incohérentes et arbitraires.


◆ 1 661 pages de procès-verbaux

Suite aux « RKI Files » en Allemagne et pour répondre à plusieurs demandes qui lui auraient été adressées, l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) suisse a mis en ligne le 4 avril dernier 1 661 pages de procès-verbaux des réunions de la Task Force Covid durant la crise sanitaire. Des documents que le média indépendant L’Impertinent a pris le temps de traduire (ils ont été publiés en allemand) et d’analyser dans un long article paru le 21 avril.

Comme le soulignent les deux auteures de cet article dans leur conclusion, « la Suisse ayant été un peu plus modérée que la plupart de ses voisins durant cette crise, notamment en restant plus pragmatique, les révélations de ces documents semblent moins percutantes qu’en Allemagne, à première vue ». D’autant plus qu’il ne s’agit que des procès-verbaux de la Task Force Covid de l’OFSP et non ceux de la Swiss National Covid-19 Science Task Force (STF), qui auraient sans doute été beaucoup plus intéressants à éplucher. Ce sont d’ailleurs ceux-là que L’Impertinent a d’abord cherché à se procurer, mais on leur a répondu qu’ils n’existaient pas !

◆ Un caviardage déroutant

Chose amusante dans les documents mis en ligne : le cafouillage dans le caviardage. L’OFSP avait pris soin avant publication de noircir quelques passages, souvent des noms ou des chiffres, mais avec un procédé peu efficace et facile à déjouer, comme l’a démontré le média Essentiel News. Les fichiers ont donc été republiés le 12 avril avec un caviardage plus sécurisé, mais semblant parfois aléatoire et « difficilement compréhensible », note avec ironie L’Impertinent, sans toutefois oser parler d’amateurisme, bien que ça y ressemble…

Sur le fond, ce qui ressort au fil des pages est une gestion de crise un peu du même acabit. D’une semaine sur l’autre, on a l’impression que les groupes de travail pataugent régulièrement sur les mesures à prendre, pris entre certaines données épidémiologiques ou cliniques qui leur arrivent, les recommandations de l’OMS, ce que font les pays voisins, l’opinion publique ou celle des syndicats, la pression médiatique et parfois les contingences matérielles. Avec, au final, assez peu d’arguments scientifiques et des choix souvent arbitraires.


◆ Les vaccinés infectés reconnus aussi contagieux que les non-vaccinés

Deux points ont en particulier retenu l’attention des deux auteures de l’article, pour leurs « éventuelles conséquences juridiques ». D’abord, « l’introduction politique du certificat Covid [ou pass sanitaire, NDLR] qui a entraîné la discrimination des non-vaccinés, alors qu’il ressort de ces procès-verbaux qu’ils savaient pertinemment que la contamination pourrait alors venir des vaccinés ».

En effet, dès le 4 août 2021, il est reconnu que la vaccination n’empêche ni l’infection ni la contamination : « Les nouvelles données en provenance des États-Unis, selon lesquelles les personnes vaccinées sont également contagieuses en cas d’infection, ont également été abordées. Dans ce cas, elles sont aussi contagieuses que les personnes non vaccinées […]. Cependant, il est rare que les personnes vaccinées soient infectées. Si ces résultats sont confirmés, des questions juridiques se poseront concernant le certificat Covid. »

◆ Avec le pass, les vaccinés contamineront davantage de non-vaccinés

Il est à noter que le pass sanitaire est entré en application en France le 9 août 2021 (suite à l’adoption de la loi du 5 août 2021), soit quelques jours plus tard. Or, si la Suisse savait le 4 août que les personnes vaccinées étaient contagieuses en cas d’infection, la France le savait aussi…

Le procès-verbal du 29 septembre 2021 révèle même la crainte « que l’obligation de certificat entraîne plus (et non moins) d’hospitalisations ». La Task Force de l’OFSP prévoit que « les personnes vaccinées contamineront désormais davantage de personnes non vaccinées dans les restaurants, les cinémas et les grandes manifestations, puisque les distances et l’obligation de porter un masque ne s’y appliquent plus ». Renversant.

◆ Vacciner les enfants « pour désengorger les hôpitaux »

Les enfants ont été victimes du même genre d’aberration. Le 15 septembre 2021, il est indiqué que « par rapport aux adultes, les enfants sont moins susceptibles d’être très gravement malades et, en cas d’hospitalisation, la ventilation et l’ECMO [technique d’oxygénation, NDLR] sont beaucoup moins fréquentes ». Pourtant, le 29 décembre, il sera question d’augmenter notamment la vaccination des enfants de moins de 12 ans « pour désengorger les hôpitaux ».

En octobre 2021, un médecin cantonal intervient pour dire qu’il faut « lutter contre les fausses informations. Les effets secondaires de la vaccination sont rares et le vaccin Covid n’est pas une affaire pour les fournisseurs. » Ceci alors que « la Suède et le Danemark stoppent provisoirement l’utilisation de Moderna chez les plus jeunes (en raison d’effets secondaires) ».



◆ La liberté de prescrire reconnue…

Le second point pouvant avoir « d’éventuelles conséquences juridiques » selon L’Impertinent est la question de l’« off-label use », c’est-à-dire la prescription d’un médicament en dehors de ses indications officielles (on parle en France de prescription hors autorisation de mise sur le marché). En Suisse comme en France, cette possibilité relève de la liberté de prescrire du médecin.

Cette liberté est bien soulignée dans les procès-verbaux de l’OFSP : « Il n’est pas de la compétence de l’Office fédéral de la santé publique d’émettre des recommandations de traitement […]. Cette tâche incombe aux sociétés médicales suisses […], qui publient des directives. […] Les médecins sont libres d’appliquer ou de respecter ces recommandations. »

◆ … mais bafouée

À la date du 27 janvier 2021, il est noté : « En principe, chaque médecin est libre d’administrer un médicament en dehors des indications ou des recommandations d’utilisation mentionnées dans l’information professionnelle. Cette utilisation hors étiquette (Off-Label Use) relève de la seule responsabilité du médecin. Si un médicament n’est pas autorisé en Suisse, les médecins sont également autorisés à l’importer en petites quantités pour certains patients. »

Or, rappelle L’Impertinent, un hôpital suisse a fait interdire l’hydroxychloroquine en janvier 2021 et l’ivermectine subira ensuite le même sort. Ces deux traitements étaient par ailleurs désapprouvés par les médecins et pharmaciens cantonaux. « Des médecins qui en prescrivaient à l’époque étaient dénoncés aux autorités et les pharmaciens refusaient bien souvent tout simplement d’honorer les ordonnances. » Ce « comportement abusif » a poussé de nombreux médecins à renoncer à soigner leurs patients, ce qui a pu avoir des conséquences lourdes, voire entraîner des décès.

◆ « Tâtonnement constant » et influence des médias

L’Impertinent souligne encore « l’évolution constante des positions, notamment sur le port du masque, la fermeture des écoles… Un tâtonnement constant, souvent influencé par les nombreuses revues de presse. Si bien qu’on en arrive parfois à se demander qui informe qui, les autorités ou les médias ? »

L’impression générale est en tout cas celle d’une gestion de crise faite un peu au doigt mouillé, globalement incohérente, avec des mesures souvent non justifiées d’un point de vue purement sanitaire.

Article par Alexandra Joutel



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