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Les Français font confiance à Emmanuel MACRON
Auteur : Bigben  
481/506

Date :    10-11-2025 12:22:32


(en écho au post ci-dessus et pour prolonger un peu le clin d'œil fait par rapport au sujet du topic, mais de façon plus... optimiste :
www.youtube.com/watch?v=y6Xt3r5o2N8
ou encore :
www.youtube.com/watch?v=vK8CP2WHSlQ
et dans l'autre sens :
www.youtube.com/watch?v=zyDZc8QDlYY )
Auteur : Soaltruiste 
482/506

Date :    13-11-2025 13:12:08


"Les Responsables politiques n'en parlent pas, mais 80 % du trou de la Sécu, ce sont les allègements de cotisations patronales depuis 2017"

Caroline Michel-Aguirre Grand Reporter

Source : France 5, C dans l'air 27/05/2025
Auteur : Soaltruiste 
483/506

Date :    13-11-2025 22:44:07


Plus de HLM pour les narcotrafiquants : le ministre du Logement souhaite aller plus loin

Publié le 13/11/2025
La rédaction de La Dépêche du Midi

Le ministre du Logement affirme vouloir agir vigoureusement contre les trafiquants de drogue dans les logements sociaux. Vincent Jeanbrun déclare lors d’un point presse – duquel était convié Le Figaro le 7 novembre dernier – qu’un individu condamné pour narcotrafic ne devrait plus bénéficier de la solidarité nationale et qu’il était essentiel d’assurer la sécurité des quartiers populaires.

Pour lui, les locataires de HLM qui se livrent à de tels actes ne doivent plus être tolérés : il soutient la proposition, portée notamment par le Rassemblement National, qui prévoit d’exclure les narcotrafiquants, et à terme tous les délinquants, des logements sociaux pendant dix ans.

Un moyen de pression pour les mères

"C’est un argument que nous donnons aux mères pour qu’elles disent à leur enfant délinquant de cesser leur trafic, au risque de perdre leur logement", explique Vincent Jeanbrun à nos confrères.

Il souhaite également aller plus loin dans l’application de la "loi narcotrafic", entérinée cet été, en élargissant le champ des expulsions, incluant non seulement les trafiquants mais aussi les auteurs de violences conjugales ou d’autres formes de délinquance.

En cas de délinquant majeur au sein d’un foyer, il souhaite que celui-ci soit expulsé, et que la famille, si elle n’est pas complice, soit relogée dans un logement plus modeste. Il reconnaît toutefois que la situation est plus complexe quand l’auteur est mineur.

https://www.ladepeche.fr/2025/11/13/plus-de-hlm-pour-les-narcotrafiquants-le-ministre-du-logement-souhaite-aller-plus-loin-13049749.php
Auteur : Soaltruiste 
484/506

Date :    14-11-2025 18:25:41


Relevés téléphoniques et fichier des compagnies aériennes : le Sénat veut permettre à France Travail de surveiller la vie privée des chômeurs

Le Sénat a renforcé jeudi 13 novembre l’arsenal de lutte contre la fraude aux allocations chômage en donnant à France Travail des outils pour vérifier le lieu de résidence des allocataires. Un dispositif critiqué à gauche, comme d’autres mesures visant la formation et les prestations sociales.

Publié le 13 novembre 2025
La rédaction

Pour lutter contre la fraude, le Sénat veut permettre à France Travail de vérifier le lieu de résidence des allocataires, et tant pis pour la vie privée. Dans le cadre du projet de loi gouvernemental contre les fraudes sociales et fiscales, examiné depuis mercredi 12 novembre, les sénateurs se sont penchés jeudi 13 novembre sur les articles les plus irritants de ce texte : ceux qui visent directement les allocataires, les salariés et les assurés sociaux.

L’un des plus sensibles, introduit par le Sénat, offre à France Travail de nouveaux moyens d’enquête pour vérifier la résidence effective des allocataires. L’opérateur pourra ainsi consulter les relevés téléphoniques, ou encore interroger le fichier des compagnies aériennes. Cela ouvrirait alors la voie à une suspension conservatoire de toutes les allocations lorsque « plusieurs indices sérieux de manœuvres frauduleuses » sont observés.

« Surveillance généralisée »

Alors que la résidence en France est une obligation pour les bénéficiaires d’allocations chômage, la gauche s’est insurgée contre cette mesure qu’elle juge « particulièrement intrusive ». « C’est franchir une ligne rouge, c’est introduire une forme de surveillance généralisée des demandeurs d’emploi assimilés à des fraudeurs potentiels », a lancé le socialiste Jean-Luc Fichet. L’écologiste Raymonde Poncet Monge a craint un « précédent dangereux pour les libertés individuelles ».

« France Travail nous demande des outils. On lui donne des outils pour pouvoir contrôler », a rétorqué la sénatrice Les Républicains Frédérique Puissat, à l’origine de la mesure qui permettra selon elle de s’attaquer au « premier motif de fraude » détecté par France Travail, sur un montant global de 136 millions d’euros en 2024. Le ministre du Travail Jean-Pierre Farandou s’en est remis à la « sagesse » du Sénat, doutant toutefois du « caractère licite de l’accès à ces données ».

Le vote final prévu mardi

Un autre article, adopté lui aussi malgré des critiques, vise à conditionner le versement de l’indemnisation chômage à la domiciliation des comptes bancaires en France ou dans l’Union européenne.

Les sénateurs ont par ailleurs adopté une mesure visant à obliger le titulaire du compte personnel de formation (CPF) à se présenter aux épreuves de certification sauf « motif légitime », sans quoi sa formation ne pourra plus être prise en charge par le CPF. Un dispositif de « responsabilisation » des bénéficiaires, selon le gouvernement et la droite sénatoriale.

Autres dispositifs critiqués à gauche : la possibilité de suspendre temporairement le tiers payant pour les assurés sociaux condamnés pour fraude, et la suspension possible du versement d’une prestation sociale dans le cas d’un « doute sérieux de manœuvre frauduleuse ». Le gouvernement s’opposait également à cette dernière mesure.

Le Sénat a également adopté le volet du projet de loi relatif au travail dissimulé, avec entre autres mesures une majoration du taux de CSG des revenus issus d’activités illicites, ou encore la création d’un dispositif de « flagrance sociale » permettant de saisir à titre conservatoire les actifs de sociétés suspectées de travail dissimulé.

Pour rappel, ce qu’on appelle la fraude sociale, c’est-à-dire la fraude aux cotisations sociales, aux prestations sociales et aux remboursements maladie, représentaient en 2021 entre 9,6 et 11,7 milliards d’euros en 2021. En comparaison, la fraude fiscale, celle qui concerne les plus riches et les grandes entreprises, représentait entre 80 et 100 milliards d’euros, soit environ dix fois plus. Pourtant, la droite et l’extrême droite ne parlent toujours que de la première, celle qui concerne les plus précaires, et font tout pour épargner les grandes fortunes. Auraient-ils des intérêts communs ?

https://www.humanite.fr/politique/france-travail/releves-telephoniques-et-fichier-des-compagnies-aeriennes-le-senat-veut-permettre-a-france-travail-de-surveiller-la-vie-privee-des-chomeurs
Auteur : Napi  
485/506

Date :    15-11-2025 18:13:09


youtu.be/qjRSDHmFJ48?si=3uYW5Vwd7tjPWX7z
12/11/2025 14 min.

MACRON et l'ISF : la grande triche

🔎 Lors de son ascension politique, Emmanuel Macron a minimisé la valeur de son patrimoine immobilier, ce qui lui a permis d'échapper à l'ISF, et donc de ne pas paraître "riche", afin de ne pas choquer l'électorat de gauche. Il a finalement fait l'objet d'un redressement fiscal.

Auteur : Napi  
486/506

Date :    17-11-2025 21:30:08



« Je pense que ce qu’on a fait depuis huit ans fonctionne.
On a augmenté le taux d’activité, baissé le chômage des jeunes.
On a endigué, stoppé douze ans de désindustrialisation et on commence à remonter.
Nous sommes une démocratie, ce qui est une bonne chose. »

Emmanuel Macron, le 16/11/2025



->Réaction du sénateur Alain Houpert :

"Il se de définit comme un progressiste, accordons-lui, que pour une fois, il a raison.
Avec lui, le chômage progresse, la misère progresse, l’insécurité progresse, la dette progresse, la corruption progresse
Il est effectivement un progressiste !"

Auteur : Soaltruiste 
487/506

Date :    18-11-2025 22:08:22


Logement social «à vie» : le ministre de la Ville Vincent Jeanbrun veut mettre fin à ce principe

Par CNEWS avec AFP
Publié le 16/11/2025

Extraits :

Le ministre de la Ville et du Logement a réaffirmé ce dimanche son souhait de mettre fin au logement social «à vie», une mesure phare de son «plan banlieues» présenté en juin dernier. Vincent Jeanbrun envisage également de faciliter l'expulsion des locataires délinquants.

Vincent Jeanbrun s’attaque au logement social «à vie». Ce dimanche, le ministre de la Ville et du Logement a affirmé vouloir mettre fin à ce principe. Pour lui, «moins de 8% de rotation dans le logement social en 2023, c’est beaucoup trop peu». Mais cette mesure est vivement contestée par le mouvement HLM.

«Pour restaurer plus de fluidité, je serais favorable au passage à un bail "trois-six-neuf", avec une réévaluation régulière par les bailleurs sociaux qui permettrait de s'adapter à la taille du foyer ou à des mutations professionnelles, et avec une meilleure mobilité d'une commune à l'autre», a-t-il expliqué dans un entretien au JDD. Au total, 2,87 millions de ménages sont en attente d’un logement social en France.

«Des fausses bonnes idées»

Mais pour le mouvement HLM, ce principe de logement social «à vie» n’existe pas. À savoir, les bailleurs adressent chaque année aux locataires de logements sociaux une «enquête ressources». En cas de hausse des revenus, ces derniers peuvent être contraints de payer un surloyer.

Au bout de deux années de dépassement, ils peuvent même se trouver dans l’obligation de quitter leur logement dans un délai de dix-huit mois. En revanche, des exceptions existent selon le lieu où se situe le logement ou la situation personnelle de la personne, notamment son âge.

Le mouvement HLM et les associations de défense des locataires s’opposent donc à la mesure de Vincent Jeanbrun. Pour eux, le problème n’est pas le maintien d’un locataire dans un logement social mais l’absence de solutions de sortie.

«Des fausses bonnes idées qui démontrent une méconnaissance des besoins du logement social», avait commenté à la mi-octobre Inaki Echaniz, député PS des Pyrénées-Atlantiques.

https://www.cnews.fr/france/2025-11-16/logement-social-vie-le-ministre-de-la-ville-vincent-jeanbrun-veut-mettre-fin-ce
Auteur : Soaltruiste 
488/506

Date :    18-11-2025 22:17:40


Violences policières: derrière l'IGPN, l'opacité des enquêtes locales dénoncée par une ONG

Paris. Paris - Dénonçant un système où "ce sont les potes" qui enquêtent sur leurs propres collègues, Vanessa Langard, le visage brisé par un tir de LBD, incarne l'opacité des "trous noirs" administratifs épinglés mardi par Flagrant déni: selon cette ONG, la majorité des dossiers échappent à la "police des polices".

Par AFP
Publié le 18/11/2025

Extraits :
attention médiatique et politique se focalise souvent sur l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). Pourtant, selon ce rapport basé sur des données inédites, l'inspection nationale ne traite qu'environ 10% des enquêtes pénales visant des policiers.

Ces 90% restants atterrissent sur les bureaux de services de police judiciaire classiques ou de cellules de déontologie départementales. Ces structures, dont l'appellation varie d'une ville à l'autre, sont décrites par l'ONG comme des objets administratifs non identifiés.

Le problème soulevé n'est pas seulement l'opacité, mais la hiérarchie. Ces cellules sont placées sous l'autorité directe des Directeurs départementaux de la police nationale (DDPN).

Sur le plan vertical, le supérieur hiérarchique du policier qui fait l'enquête est aussi le supérieur du policier mis en cause, dénonce Lionel Perrin, soulignant une situation interdite par la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'Homme.

Cette proximité organique entre enquêteurs et enquêtés a des conséquences judiciaires lourdes, selon les acteurs de terrain.

C'est une machine à valider, à justifier, à blanchir les policiers, tranche Me Mohamed Jaite, président de la section parisienne du Syndicat des avocats de France (SAF).

Pour l'avocat, si l'enquête initiale est biaisée, la suite est compromise : Le juge, par la suite, ne fait que valider ce qui a été fait par les policiers.

Le rapport établit une corrélation entre cette organisation et l'efficacité des investigations. Alors que le nombre d'affaires de violences impliquant des dépositaires de l'autorité publique a augmenté de 59% depuis 2016, le taux d'élucidation a chuté de 25%.

L'autorité judiciaire est deux fois moins capable de retrouver les auteurs quand il s'agit de policiers que pour d'autres types de délinquance, pointe Lionel Perrin.

Pour les victimes, la réalité des chiffres se traduit par un parcours du combattant. Mélanie N'goye-Gaham, blessée en 2019 lors d'une manifestation, déplore pour sa part une enquête IGPN qui a donné zéro, alors qu'une juge a par la suite identifié deux tireurs dans le même dossier.

Recevoir un classement sans suite, c'est un deuxième coup, témoigne-t-elle.

La balle est dans le camp parlementaire, conclut Lionel Perrin, qui appelle à une commission d'enquête pour aboutir à une loi créant un organe de contrôle totalement indépendant.

Présent dans la salle, le député LFI Abdelkader Lahmar a salué cette libération de la parole sur un sujet où les victimes étaient complètement invisibles il y a 40 ans, se disant prêt à creuser la piste législative.

https://www.lexpress.fr/societe/violences-policieres-derriere-ligpn-lopacite-des-enquetes-locales-denoncee-par-une-ong-X6SBWFACZBG25DVDDCWFCLYGII/?cmp_redirect=true

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