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Les Français font confiance à Emmanuel MACRON
Auteur : Bigben  
497/506

Date :    24-11-2025 17:55:06


@post ci-dessus : j'ignore à qui ce post s'adresse,
--> d'autant que je déteste être tutoyé
--> par une personne pour laquelle je n'ai aucune considération
--> et que, par ailleurs, je n'ai pas de... "maîtres" !
Auteur : Theatretmusik 
498/506

Date :    24-11-2025 20:08:02


SA MAJESTÉ PATRICKBIGBEN 502

Vous avez tout à fait raison, Monsieur PATRICKBIGBEN !
Le brillant "BAC plus 10 ++++++++" que vous déclarez être ne peut que se voir vouvoyé par les pitoyables "BAC moins 10" que sont, selon vos propres propos, vos contradicteurs.

Sachez quand même que les documents que poste ROSALIE s'avèrent bien plus interessants et enrichissants que vos propres réflexions, même si, de temps à autre, celles-ci peuvent être pertinentes et susciter la curiosité.

En tout cas, j'espère que vous vous remettrez vite d'avoir été tutoyé par le vil (à vos yeux!) ANDRÉ!
Oubliez au plus vite ce crime de lèse-majesté!
Et que cette impudence ne vous reste pas sur l'estomac, surtout avant Noël, d'autant que ça salive déjà sec sur le topic de la France d'un organe palpitant!
Auteur : Bigben  
499/506

Date :    24-11-2025 20:51:12


en guise de réponse au post ci-dessus (qui, encore une fois, fait méchamment fausse route) : quand j'accepte de converser avec quiconque,
--> peu m'importe son niveau intellectuel : ce qui compte pour moi, c'est son DEGRÉ DE SENSIBILITÉ (arguments) au sujet traité et sa FAÇON COURTOISE d'écouter, SANS A PRIORI PERSONNELS, ce que j'en ai à dire (chose que, naturellement, je fais de mon côté, à son égard)
Auteur : Soaltruiste 
500/506

Date :    24-11-2025 21:16:31


"À quand un impôt sur l'air qu'on respire?": cette nouvelle taxe votée par les députés exaspère

G.D.
Le 21/11/2025

Extraits :

Toujours à la recherche d'économies pour le budget 2026, les députés ont voté jeudi 21 novembre, contre l'avis du gouvernement, une hausse de la TVA sur un nouveau produit du quotidien: les bouteilles d'eau en plastique et les boissons non-alcoolisés, lait exclus. Une nouvelle taxe qui fait enrager les Grandes Gueules ce vendredi sur RMC.

C'est un domaine où la France ne souffre pas de la concurrence: les taxes et impôts. Toujours à la recherche de milliards d'euros pour le budget 2026, les députés viennent d'en voter une nouvelle! Cette fois, ce sont les petites bouteilles d'eau et de boissons non-alcoolisées qui sont visées.

C'est contre l'avis du gouvernement que l'Assemblée nationale vient d'adopter un amendement déposé par une députée macroniste qui réhausse la TVA de 5,5 à 20% sur ces bouteilles en plastique à usage unique. Une taxe de plus votée par tout le monde sauf le RN qui s'est abstenu.

"Je suis écœurée", déplore Anne-Sophie, fonctionnaire dans les Ardennes. "Je ne suis pas pour les bouteilles d'eau, j'ai des carafes qui filtrent l'eau du robinet. Je suis tombée enceinte et j'ai appris que l'eau du robinet était contaminée au Pfas. Je suis craintive, je ne veux pas que mon bébé ait des soucis, je dois donc acheter des bouteilles d'eau plastique pour limiter les dégâts".

"Ils (les députés, ndlr) s'imaginent qu'on achète des bouteilles d'eau par luxe mais ce n'est pas parce que je n'ai pas envie de boire l'eau du robinet, c'est parce que c'est pollué et que c'est dangereux pour la santé. Et quand on essaie de limiter la casse, on nous met une taxe. À quand une taxe sur l'air qu'on respire?", s'interroge-t-elle.

Même son de cloche pour Aurélien qui vit dans le Tarn-et-Garonne: "Ça devient ubuesque, l'eau c'est un besoin primaire notamment pour les parents obligés d'acheter de l'eau en bouteille pour les nouveau-nés qui vont dépenser encore plus. Les politiques cherchent à nous faire les poches", ajoute-t-il.

Les députés entendent aussi lutter contre l'impact carbone de l'eau en bouteille, avec 2.000 fois d'émissions de plus par litre que l'eau du robinet.

https://rmc.bfmtv.com/actualites/economie/a-quand-un-impot-sur-l-air-qu-on-respire-cette-nouvelle-taxe-votee-par-les-deputes-exaspere_AV-202511210479.html

La réalité, c'est que vous avez coulé la France par votre débilité en passant votre temps à faire des cadeaux depuis de nombreuses années !!!
Et vous raclez de partout sauf sur ceux sur qui, il faut taper !!!
LAMENTABLE !!!
GOUVERNEMENT A GERBER !!!
Auteur : Bigben  
501/506

Date :    24-11-2025 21:41:39


en guise de réponse au post 503 (qui, encore une fois, fait méchamment fausse route) : quand j'accepte de converser avec quiconque,
--> peu m'importe son niveau intellectuel : ce qui compte pour moi, c'est son DEGRÉ DE SENSIBILITÉ (autrement dit, ses arguments) au sujet traité et sa FAÇON COURTOISE d'écouter, SANS A PRIORI PERSONNELS, ce que j'en ai à dire (chose que, naturellement, je fais de mon côté, à son égard)
P.-S. : et quand ce forumeur épisodique écrit, en conclusion de son message : "d'autant que ça salive déjà sec sur le topic de la France d'un organe palpitant!" (sic) ,
--> j'avoue ne pas bien saisir le sens de cette remarque...
Auteur : Soaltruiste 
502/506

Date :    24-11-2025 23:20:26


Les thermostats programmables obligatoires dans tous les logements en 2027 : trois questions sur cette mesure

par I.N
Publié le 21 novembre 2025

Extraits :

n changement de réglementation auquel il va falloir s'habituer. Depuis un décret signé en juin 2023 par la Première ministre d'alors, Élisabeth Borne, le 1ᵉʳ janvier 2027 marquera l'entrée en vigueur d'une nouvelle règle : les logements devront être équipés d'un thermostat pour le chauffage ou la climatisation. Une mesure prise en pleine crise énergétique, mais toujours bien valable.

Il y a peu de chances que vous puissiez déroger à la règle : tous les logements, neufs comme anciens, sont concernés. Des "systèmes de régulation de la température" doivent ainsi être installés d'ici à cette date dans "les bâtiments, résidentiels comme non résidentiels, existants et neufs", peut-on lire sur le décret(nouvelle fenêtre). La température devra pouvoir être réglée selon les heures, et ce, dans toutes les pièces, "ou, si cela est justifié, par zone de chauffage".

Dans les faits, seules deux exceptions existent : "si le générateur de chaleur du système de chauffage est un appareil indépendant de chauffage pour lequel l'alimentation en combustible n'est pas automatisée", comme un poêle, ou si "l'installation de thermostat n'est pas techniquement et économiquement réalisable, par exemple si le temps de retour sur investissement est supérieur à dix ans", est-il expliqué sur le site d'Engie(nouvelle fenêtre).

Et il y a du pain sur la planche : d'après une enquête publiée en mai 2023 par le gestionnaire du réseau électrique RTE, moins de la moitié des Français disposent d'un système de chauffage qui indique précisément la température. Pour le financer, le gouvernement avait lancé quelques mois plus tard une aide. Ce "coup de pouce" variait, en fonction de la superficie chauffée, de 260 à 624 euros. Il a été supprimé en novembre 2024 "en raison d'une suspicion de fraude importante". L'aide Certificats d'économie d'énergie peut toutefois permettre de réduire la facture.

Pour l'heure, rien n'indique que les propriétaires ne se pliant pas à la nouvelle règle seront sanctionnés. Dans le décret de 2023, aucune sanction n'est abordée.

"Un logement sans thermostat programmable conforme pourrait être pénalisé dans le diagnostic de performance énergétique (DPE). Or, le DPE influence fortement la valeur d'un bien immobilier lors d'une vente ou d'une location", prévient-il. "Les bailleurs sociaux et les copropriétés pourraient également se voir contraints de mettre leurs installations en conformité lors de travaux de rénovation ou de contrôles réglementaires."

https://www.tf1info.fr/immobilier/les-thermostats-programmables-obligatoires-dans-tous-les-logements-en-2027-trois-questions-sur-cette-mesure-2408170.html?at_campaign=Facebook&at_medium=SMO_Nonli

Encore une, qui n'avait rien à faire !!!

Auteur : Soaltruiste 
503/506

Date :    25-11-2025 12:22:42


Guerre en Ukraine, « transformation du service national universel »… ce qu’il faut retenir des déclarations d’Emmanuel Macron

Au cours d’un entretien, ce mardi 25 novembre, au micro de RTL, Emmanuel Macron a longuement abordé les négociations de paix en Ukraine, en plaidant pour « ne pas se montrer faible face à la Russie ». Le chef de l’État a également évoqué « la transformation du service national universel vers une nouvelle forme », et a indiqué qu’il aurait « l’occasion de l’annoncer dans les jours à venir ».

Clémentine Eveno
Publié le 25/11/2025

Extraits :

Près de quatre ans après l’invasion russe de l’Ukraine, en février 2022, le chef de l’État s’est exprimé, au micro de RTL, ce mardi 25 novembre, au sujet des négociations de paix entre les deux pays. Le chef de l’État s’est aussi défendu de vouloir « envoyer nos jeunes en Ukraine », tout en maintenant en creux un discours pro-guerre. L’Humanité vous résume ce qu’il faut retenir de ses propos, en quelques points.

« Nous voulons la paix, mais pas une capitulation »

Interrogé sur le plan soumis à l’Ukraine par l’administration Trump, Emmanuel Macron a concédé qu’il s’agissait d’une « démarche qui va dans le bon sens : la paix ». Il a toutefois rappelé que cette initiative états-unienne avait été menée « après des discussions avec les Russes », ce qui, selon lui, « donne une idée de ce qui est acceptable pour les Russes ».

« Si nous sommes faibles en Ukraine, vous donnez un signal de faiblesse à la Russie, elle va continuer d’avancer », a ensuite affirmé le chef de l’État. Et d’insister reprenant la rhétorique européenne des derniers jours : « Nous voulons la paix, mais pas une capitulation ». Emmanuel Macron a ainsi plaidé pour des garanties de sécurité « robustes », à la fois pour l’Ukraine et pour les Européens, reposant sur deux piliers selon lui. D’abord, « la régénération de l’armée ukrainienne », que la France contribuerait à « piloter » en « matière de formation, d’équipement et de capacité opérationnelle sur les mois et les années qui viennent ».

Quant au second pilier, il s’agit, pour le chef de l’État, de la mise en place de forces de réassurance dans des zones éloignées du front, le jour où un accord de paix serait signé. « On met en place des forces de réassurances, avec des soldats britanniques, français, turques », a-t-il expliqué, tout en précisant qu’il ne fallait pas « paniquer les Français, qui disent qu’on va tout de suite envoyer des troupes ». Le chef de l’État s’est ensuite autofélicité : « Les choix que nous prenons en Ukraine sont les bons. »

Selon le chef de l’État, la Russie « produit des sous-marins, des missiles, des tanks et elle finance des armées chez les tiers pour les envoyer sur le front ukrainien ou demain pour nous menacer si nous sommes faibles ». « Elle a toute une batterie d’équipements et nous sommes à portée de ces équipements », a-t-il indiqué. Avant de poursuivre : « Les missiles interbalistiques, nous sommes tous exposés à ces derniers. Donc voilà la réalité de la menace. (…) Si nous voulons nous protéger, nous, Français, (…), nous devons montrer que nous ne sommes pas faibles avec la puissance qui nous menace le plus. »

Vers une « transformation du service national universel » ?

Emmanuel Macron a refusé de confirmer la création d’un service militaire volontaire. Il a toutefois évoqué la nécessité « que les compatriotes comprennent l’armée, et participent à la réserve ». Il a ainsi mentionné « la transformation du service national universel vers une nouvelle forme », sans préciser davantage, annonçant qu’il « aurait l’occasion de le détailler dans les jours à venir ». « Il faut supprimer toute idée confuse qui consisterait à dire qu’on va envoyer nos jeunes en Ukraine, ce n’est pas le sens de cette affaire », a-t-il également précisé.

Interrogé sur les propos, mardi 18 novembre, du chef d’état-major des Armées, Fabien Mandon, qui avait estimé que les citoyens français devaient « accepter de perdre (leurs) enfants », Emmanuel Macron a pris sa défense : « Son propos a été déformé, il a été sorti de son contexte, il a pu le clarifier. (…) Tout soldat fait sacrifice, mais il ne faut pas expliquer à tous les Français qu’on va les sacrifier, ça n’a aucun sens. Et ce n’est pas ce qu’il a dit ».

Pourtant, samedi 22 novembre, en marge du G20 à Johannesburg, le président affirmait déjà : « Dans le monde où nous vivons fait d’incertitudes, d’une montée des tensions, si nous voulons véritablement être en sécurité, il faut dissuader l’autre de venir (…) La France doit continuer d’être une nation forte avec une armée forte mais avec aussi une capacité de sursaut collectif. »

Ce n’est pas la première fois que l’idée d’un retour du service militaire apparaît. Emmanuel Macron avait introduit ce projet le 13 juillet, devant un parterre de hauts gradés. Face à une Europe « mise en danger » par la « menace durable » de la Russie, « il faut une nation capable de tenir, d’être mobilisée », avait-il estimé.

La défense, une nouvelle fois, de son choix de dissoudre l’Assemblée

Enfin, interrogé sur la possibilité d’avoir un budget avant Noël, Emmanuel Macron a renvoyé la balle : « C’est le gouvernement et le Parlement qui ont cela à faire ». Puis il a défendu une nouvelle fois son choix de dissoudre l’Assemblée après les élections européennes de juin 2024. « Moi, j’ai fait un choix en conscience, face à une situation politique qui était bloquée et des gens qui annonçaient la censure », a-t-il plaidé.

Selon lui, les Français ont depuis « pris leurs responsabilités » en se rendant « massivement » aux urnes et en élisant une Assemblée « légitime mais fragmentée ». Le président rappelle ensuite que la suite dépend désormais des parlementaires : « Maintenant, les responsables politiques qui sont à l’Assemblée, ils ont une responsabilité. »

https://www.humanite.fr/politique/donald-trump/negociations-de-paix-transformation-du-service-national-universel-ce-quil-faut-retenir-des-declarations-demmanuel-macron
Auteur : Soaltruiste 
504/506

Date :    25-11-2025 19:26:57


Les seniors bientôt rappelés dans l'armée française ? Voici l'âge limite pour être appelé sous les drapeaux

Article de Gary A
25/11/2025

Extraits :

Le retour du service militaire obligatoire est-il à l'ordre du jour ? Jusqu'à quel âge un citoyen français peut-il être appelé sous les drapeaux alors que les tensions en Europe s'intensifient ?

Les tensions géopolitiques et le spectre du retour du service militaire obligatoire flotte à nouveau sur l’Europe. Alors que la guerre en Ukraine et les tensions géopolitiques en Europe ravivent les inquiétudes sécuritaires, notamment suite à la prise de parole décriée du général français Fabien Mandon, la France se penche sur l’avenir de ses effectifs militaires.

Doit-on relever l’âge limite du service dans l’armée ? En France, si la conscription reste un sujet sensible, le gouvernement mise plutôt sur le renforcement des réservistes. On fait le point.

Avec la menace grandissante en Europe, notamment en Ukraine, plusieurs pays envisagent de rétablir le service militaire obligatoire. L’Allemagne, où la conscription a été suspendue en 2011, pourrait rappeler les premiers appelés dès 2025, selon un projet soutenu par des députés conservateurs. En Belgique et au Royaume-Uni, l’idée fait également son chemin.

En France, le service national a été supprimé en 1997, sous la présidence de Jacques Chirac, pour laisser place à une armée entièrement professionnelle. Aujourd’hui, l’Hexagone dispose d’environ 200 000 militaires actifs, ainsi que de 41 000 réservistes, ce qui en fait la deuxième puissance militaire d’Europe derrière la Pologne.

Plutôt qu’un retour du service militaire, le gouvernement français souhaite accroître le nombre de réservistes. Sébastien Lecornu a insisté sur ce point : "Nous n’avons pas assez de réservistes, nous devons accélérer sur le durcissement de nos réserves". L'armée française s’appuie sur trois catégories principales de recrutement dont voici les âges limites :

- Soldats non-officiers : accessibles dès 17 ans, avec une limite d’âge de 32 ans pour un engagement initial.
- Officiers : recrutés via concours à partir de 21 ans, jusqu’à 35 ans.
- Réservistes opérationnels : accessibles dès 18 ans, jusqu’à 65 ans pour certaines spécialités.

L'armée française a récemment revu à la hausse l'âge maximal pour servir en tant que réserviste : désormais, il est fixé à 70 ans pour la majorité des réservistes opérationnels et peut aller jusqu'à 72 ans pour certaines fonctions spécialisées, notamment les officiers généraux ou les experts dans des domaines stratégiques comme la santé ou les technologies.

Cette extension, introduite par la Loi de programmation militaire (LPM) en 2023 sous l'impulsion du ministre des Armées Sébastien Lecornu, avait pour objectif à renforcer les effectifs de la réserve et à atteindre l’ambitieux objectif de doubler leur nombre d’ici 2030. Auparavant, cette limite était comprise entre 62 et 65 ans, selon les cas.

Toutefois, pour rejoindre la réserve opérationnelle en tant que nouveau candidat, notamment sans expérience militaire préalable, des restrictions d'âge plus strictes s'appliquent dès le recrutement ou la formation initiale. Ces limites varient généralement entre 40 et 45 ans selon l'armée concernée (Terre, Air, Marine) ou la Gendarmerie.

Une fois intégré, un réserviste peut continuer à servir jusqu'à l'âge maximal autorisé, à condition de remplir les critères d’aptitude physique et médicale.

https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/shopping/les-seniors-bient%C3%B4t-rappel%C3%A9s-dans-l-arm%C3%A9e-fran%C3%A7aise-voici-l-%C3%A2ge-limite-pour-%C3%AAtre-appel%C3%A9-sous-les-drapeaux/ar-AA1Atdcf

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