« À force de tout voir, on finit par tout supporter… À force de tout supporter, on finit par tout tolérer… À force de tout tolérer, on finit par tout accepter… À force de tout accepter, on finit par tout approuver ».
On cherche le génie dans l'homme de guerre, pourquoi ne pas le chercher dans l'homme de paix ?
Pourquoi persister à vouloir enfermer la paix dans le cercle étroit et tant de fois parcouru de la routine ?
Pourquoi ne pas faire au hasard une aussi large part dans la paix que dans la guerre ?
Pourquoi la paix, comme la guerre, n'aurait-elle pas sa stratégie, ses éclairs, ses batailles, ses victoires ?
"On aime sa mère presque sans le savoir, sans le sentir, car cela est naturel comme de vivre ; et on ne s'aperçoit de toute la profondeur des racines de cet amour qu'au moment de la séparation dernière.
Aucune autre affection n'est comparable à celle-là, car toutes les autres sont de rencontre, et celle-là est de naissance ; toutes les autres nous sont apportées plus tard par les hasards de l'existence, et celle-là vit depuis notre premier jour dans notre sang même."