Auteur : Napi  

france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/yonne/temoignage-ludovic-44-ans-atteint-d-un-covid-long-une-descente-aux-enfers-permanente-3126136.html
22/03/2025

Ludovic, 44 ans, atteint d’un Covid long : « une descente aux enfers permanente »


Ludovic Kerbourch, 44 ans depuis quelques jours, était un homme "hyperactif", selon sa propre description. Cet habitant de Saint-Agnan, dans l’Yonne, était depuis plus de 20 ans pompier volontaire, en plus d’être professeur de karaté et directeur d’un cabinet comptable. Une boule d’énergie qui contraste avec l’homme d’aujourd’hui, qui répond à notre interview téléphonique « en position allongée », nous précise-t-il, pour mieux s’économiser.

Son état du moment : « catastrophique, avec une explosion de symptômes ». C’est, selon lui, le quotidien de ceux qui ont contracté un « Covid long », une maladie qui peine à être reconnue. Des symptômes « parfois fluctuants, parfois invalidants » qui font de sa vie de tous les jours une épreuve permanente.


"Après ma 3eme vaccination Pfizer, tout a basculé"

Les ennuis de Ludovic ont commencé en juillet 2021, quelques jours après qu’il a reçu sa seconde vaccination, avec le vaccin Pfizer. Pour mémoire, la vaccination contre la Covid-19 était alors obligatoire pour tous les pompiers et les personnels de santé. C’est lors d’un exercice physique ordinaire, lié à sa fonction de pompier volontaire, que Ludovic fait soudain un malaise. Il est rapidement transporté aux urgences pour des examens. Le diagnostic fait état d’un épisode intense de tachycardie : son cœur s’est emballé à un rythme anormalement élevé. On invoque chez lui un possible stress ou peut-être un surmenage.

Trois mois plus tard, après une troisième injection avec le même vaccin, Ludovic fait à nouveau un malaise. En janvier 2022, il est testé positif à la Covid-19 avant que tout ne bascule pour lui en juillet 2022 avec « une flambée des symptômes ». Il est atteint de douleurs neuropathiques accompagnées de symptômes cutanés, de douleurs digestives, de troubles de la vision et d’une fatigue « écrasante ».


"Chez moi, il y a une espèce de colère d’avoir dû me débrouiller tout seul."
Ludovic Kerbourch


Lourdement affecté, Ludovic ne trouve grâce auprès d’aucun médecin. Le corps médical lui attribue une fragilité liée au stress ou encore des troubles psychologiques. Il se fait accompagner, prend des médicaments mais rien ne s’améliore, bien au contraire. Sa vie, son couple, ses relations sociales vacillent. Tout chez Ludovic se fragilise, mais il tient bon.

Son Covid long rassemble 7 maladies, parmi lesquelles un syndrome de fatigue chronique

Désespéré et en totale déshérence médicale, Ludovic finit par envoyer son dossier médical à l’hôpital Saint-Antoine à Paris, en se disant « espérons qu’ils me répondent ». La chance lui sourit car il est orienté vers un professeur en gastro-entérologie. Enfin, le « bon diagnostic » lui est révélé. Le premier d’une longue liste : il est atteint d’un syndrome d’activation mastocytaire (SAMA, une maladie auto-immune). Un autre spécialiste lui découvre une encéphalomyélite myalgique (EM/SFC), autrement appelée « syndrome de fatigue chronique » et un syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS).
En tout, ce ne sont pas moins de 7 maladies qui sont diagnostiquées à Ludovic Kerbourch dont un syndrome anxio-dépressif secondaire lié à ses différentes pathologies.

Auteur : Napi  

www.lindependant.fr/2025/03/22/lenseignant-a-eu-deux-thromboses-vaccine-contre-le-covid-19-avec-astrazeneca-un-tribunal-reconnait-les-effets-secondaires-comme-un-accident-de-travail-12585214.php
22/03/2025

L’enseignant a eu deux thromboses : vacciné contre le Covid-19 avec AstraZeneca, un tribunal reconnaît les effets secondaires comme un accident de travail


Âgé de 50 ans, un homme nommé Pedro García a obtenu gain de cause auprès d’un tribunal de Barcelone (Catalogne), pour que les effets secondaires qui ont découlé de sa vaccination contre le Covid-19, le 24 février 2021, alors qu’il était enseignant, soient reconnus comme un accident de travail. Explications.


C’est une décision qui pourrait ouvrir la voie à d’autres réclamations. Selon les informations du média catalan 324cat, un enseignant de 50 ans nommé Pedro García, qui a exercé au lycée de Santa Coloma de Gramenet, est parvenu à faire reconnaître par un tribunal de Barcelone (Catalogne) les effets secondaires qui ont découlé de sa vaccination avec AstraZeneca, comme étant un accident de travail.

Auprès de nos confrères, ce dernier a expliqué s’être fait vacciner le 24 février 2021, car il était considéré comme un travailleur essentiel pendant la crise sanitaire. Cependant, quelques semaines après être passé sous l’aiguille, il a indiqué avoir été victime d’effets secondaires.

Il a alors été admis aux urgences en soins intensifs à l’hôpital del Mar de Barcelone où deux thromboses lui ont été détectées. Une au poumon et une autre au foie. "Cette même nuit, ils m’ont opéré en urgence et le lendemain, ils ont découvert une thrombose dans ma veine porte, qui est aujourd’hui la séquelle que j’ai, car cette thrombose ne peut pas être opérée […] Heureusement, mon foie, pour le moment, fonctionne bien", a-t-il confié.

Placé en arrêt-maladie pendant un et demi, Pedro García s’est également battu pendant près de quatre ans contre les thromboses, et a porté cette affaire devant les tribunaux.


[...]

Auteur : Napi  

bam.news/actions/manifestations/l-ansm-sait-l-ansm-se-terre
22/03/2025

Les victimes du "vaccin" covid veulent la vérité

L'ANSM sait, l'ANSM se terre

"Cette personne nous a révélé les deux consignes données par la direction de l’ANSM pour ce 13 mars:

-interdit de parler aux victimes rassemblées devant l’ANSM
-télétravail pour tous les cadres et experts, pour éviter de rencontrer les victimes.

Quel aveu !"



youtu.be/SshPuXKeW1g?si=N5PttwcWJ0boMPvv
23/03/2025 37 min.

Verity France : 5 ans après la crise, où en sont les victimes ?


"Frédéric Beltra, père de Maxime et cofondateur de Verity France, témoigne et répond sans langue de bois à mes questions.
On rappelle que tous les droits d'auteurs de mon livre (Victimes des vaccins covid 19) sont pour les associations de victimes."
Pierre Chaillot


"Dans une société normale, ces gens-là devraient être en prison depuis longtemps."
Frédéric Beltra

Auteur : Napi  

libre-media.com/articles/covid-long-et-si-le-vaccin-etait-en-cause
24/03/2025

«Covid long»: et si le vaccin était en cause ?


Et si une part importante du «covid long» était en réalité causée par la vaccination? Bernard Massie, expert en virologie, soulève ici une hypothèse troublante, étayée par des données ignorées du débat public.



france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/yonne/temoignage-ludovic-44-ans-atteint-d-un-covid-long-une-descente-aux-enfers-permanente-3126136.html
22/03/2025

Ludovic, 44 ans, atteint d’un Covid long : « une descente aux enfers permanente »


"Après ma 3eme vaccination Pfizer, tout a basculé"
Les ennuis de Ludovic ont commencé en juillet 2021, quelques jours après qu’il a reçu sa seconde vaccination, avec le vaccin Pfizer. Pour mémoire, la vaccination contre la Covid-19 était alors obligatoire pour tous les pompiers et les personnels de santé. C’est lors d’un exercice physique ordinaire, lié à sa fonction de pompier volontaire, que Ludovic fait soudain un malaise. Il est rapidement transporté aux urgences pour des examens. Le diagnostic fait état d’un épisode intense de tachycardie : son cœur s’est emballé à un rythme anormalement élevé. On invoque chez lui un possible stress ou peut-être un surmenage.

Trois mois plus tard, après une troisième injection avec le même vaccin, Ludovic fait à nouveau un malaise. En janvier 2022, il est testé positif à la Covid-19 avant que tout ne bascule pour lui en juillet 2022 avec « une flambée des symptômes ». Il est atteint de douleurs neuropathiques accompagnées de symptômes cutanés, de douleurs digestives, de troubles de la vision et d’une fatigue « écrasante ».

Auteur : Napi  

youtu.be/k5wFbJp5ZkI?si=sUZ8oz1jxoJ-98oM
04/04/2025 58 sec.

Christine Kelly et les Vaccins - Extrait « LES VACCINS EN QUESTION »

Auteur : Napi  

www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/lien-avec-le-vaccin-covid-ce-finisterien-veut-savoir-ce-qui-a-declenche-sa-maladie-de-charcot-6792235.php
05/04/2025

Lien avec le vaccin Covid ? Ce Finistérien veut savoir ce qui a déclenché sa maladie de Charcot


Les premiers symptômes de la maladie de Charcot sont apparus après son second rappel de vaccin anti-Covid. Un lien entre les deux ? Difficile à dire, mais le Plougastel Sylvain Lago attend une réponse de l’État.

Sylvain Lago a effectué son second rappel de vaccin anti-Covid en décembre 2021. Trois semaines plus tard, le Finistérien a commencé à souffrir de troubles de l’élocution. La maladie de Charcot lui a été diagnostiquée en 2024. Il aimerait savoir s’il y a un lien.

« J’ai des problèmes d’élocution et de déglutition. Ma dernière visite chez le neurologue m’a appris que cela n’évolue pas au-delà. La vie continue, même si mon avenir n’est pas des plus roses ». Il en faut beaucoup pour anéantir le moral de Sylvain Lago. Le maintien de son activité d’officier sapeur-pompier professionnel à Brest où il garde la confiance de la grande majorité de ses collègues et de sa hiérarchie, tout comme le soutien de sa compagne et de ses enfants lui sont d’un immense secours dans son quotidien percuté par l’apparition de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), plus communément appelée maladie de Charcot.



www.youtube.com/live/yMOx1eRaQDs?si=t-OVjy5fxWFkAEt2
19/03/2025

Victimes des injections antiCovid - le temps de la reconnaissance est venu avec Dominique


Louis Fouché réalise cet entretien avec Dominique Baudinaud, papa de Karine, décédée des suites des injections, et qui a fondé VIAC-19 pour donner un espace de visibilité aux victimes, leur rendre hommage et permettre de faire avancer nos concitoyens du déni collectif vers la réconciliation et l’entraide mutuelle.
viac19.fr

Auteur : Napi  

www.20min.ch/fr/story/suisse-covid-13-milliard-de-francs-de-vaccins-partis-a-la-poubelle-103319321
06/04/2025

Suisse:
Covid: 1,3 milliard de francs de vaccins partis à la poubelle
La Suisse a détruit des vaccins Covid pour plus de 1,3 milliard de francs. Trois recours visent à lever le secret sur les contrats passés avec les fabricants.

Entre 2020 et 2023, la Suisse a acheté pour 2,3 milliards de francs de vaccins Covid, mais seule une dose sur quatre a été utilisée. La valeur des doses administrées s'est donc montée à «seulement» 567 millions de francs. Le reste des vaccins ainsi que du matériel pharmaceutique ont été détruits après péremption. Environ 20 millions de doses ont été directement éliminées par l’OFSP, et 16 millions sont restées inutilisées chez les acteurs de la vaccination, rapporte le «SonntagsZeitung». De son côté, Berne justifie ces pertes par l’urgence de la pandémie, qui imposait de sécuriser un maximum de doses.

Mais la gestion de cette campagne soulève aussi une question de transparence. Le montant versé aux laboratoires américains Moderna, Pfizer et Novavax reste secret. Malgré une recommandation de l’autorité fédérale à la transparence, l’OFSP refuse de publier les détails de ces contrats. Trois recours, un visant chaque laboratoire américain, sont en cours devant le Tribunal administratif fédéral. Malaise: deux des avocats de Novavax sont des anciens employés de Swissmedic, l’autorité suisse d’autorisation et de contrôle des médicaments.



www.krone.at/3749543
07/04/2025

La vaccination contre le coronavirus a déclenché la fin de la carrière du skieur Philip Hoffmann, à seulement 22 ans

Philip Hoffmann était l’un des plus grands talents du ski autrichien. En 2020, il a remporté l’or en slalom géant aux Jeux Olympiques de la Jeunesse. Il y a d’abord eu des comparaisons avec Marcel Hirscher, puis il y a eu Corona. La troisième vaccination a causé de gros problèmes et a amorcé la fin de sa carrière.

Hoffmann raconte : « Je n’ai rien ressenti du tout lors des deux premières vaccinations. Mais après la troisième vaccination, je me sentais vraiment mal. Il m’a fallu neuf mois pour me remettre en forme. »

Les conséquences ont été dramatiques : une perte de poids importante de 16 kilos et un manque d’énergie permanent lui ont causé des problèmes. « Le plus gros problème, c’est que je ne pouvais presque plus rien manger », poursuit Hoffmann. La tentative de retour au ski quotidien a trop rapidement aggravé la situation.

Auteur : Napi  

france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/saone-et-loire/vaccin-anti-covid-le-medecin-suspendu-voit-son-pourvoi-en-cassation-rejete-c-est-lamentable-3136321.html
10/04/2025

Vaccin anti-covid : le médecin suspendu voit son pourvoi en cassation rejeté, "c'est lamentable"


Le docteur Silaire, médecin généraliste à Autun (Saône-et-Loire), avait été suspendu en janvier 2025 pour avoir refusé de vacciner contre la Covid-19 certains de ses patients. Son pourvoi en cassation a été rejeté, il est suspendu jusqu'en juillet 2025.

Le docteur François Silaire est sous le coup d'une suspension depuis le mois de janvier par l'Ordre des Médecins. Le médecin installé à Autun (Saône-et-Loire) fustigeait l’acharnement de ses confrères depuis la crise sanitaire et contestait la décision.

Pourvoi rejeté
Le Docteur Silaire s'est donc pourvu en cassation pour contester la décision de l'Ordre des médecins, sa procédure a été rejetée. Selon lui, "l'arrêt de la Cour de Justice de l'Union Européenne (CJUE) qui répondait au Pr Frajese n'a pas été pris en compte."

Dans un mail adressé à France 3 Bourgogne, le médecin rappelle qu'il résultait de cet arrêt de la CJUE : "-la nécessité d'une ordonnance pour la vaccination anti-Covid, la notion de responsabilité en cas d'effets indésirables, et le caractère facultatif de cette vaccination"

Le rejet de son pourvoi est commenté de façon acerbe par le médecin : "le Conseil d'État a balayé tout cela d'un revers de main, c'est lamentable."

Lorsque nous avions rencontré le docteur Silaire en février 2025, d’après les comptes-rendus d’audience des instances départementales et régionales qui l’ont condamné, il lui était notamment reproché de ne pas avoir protégé trois de ses patients âgés souffrant déjà de graves pathologies.

Le docteur se défendait : "C'est une procédure qui a été intentée contre moi, à partir de signalements anonymes, de deux médecins de l'hôpital d'Autun. Ils ont fait un amalgame. Pour eux, je suis antivax. Antivax, c'est très péjoratif. Non je ne suis pas antivax. Je suis simplement médecin. Et comme médecin, je suis critique par rapport à ces injections."