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Date : 08-12-2024 09:40:12
@Patrick P.310
"Silence assourdissant sur le rapport final du sous-comité spécial sur le Covid-19 publié aux États-Unis.
Il confirme pourtant les dommages causés par des mesures qui ne reposaient pas sur la science comme les confinements, les fermetures d’écoles ou les obligations vaccinales."
Docteur Guillaume Barucq, le 04/12/2024
@Rosalie P.309
Quel beau résumé ! Objectif et Complet !...
www.journaldemontreal.com/2024/12/06/covid-19-revelations-troublantes
06/12/2024
COVID-19: révélations troublantes
«Le mensonge donne des fleurs, mais ne donne jamais de fruits.»
Cette maxime prend tout son sens à la lumière d’un rapport explosif de 520 pages sur la pandémie de COVID-19 rendu public mercredi par un sous-comité spécial du Congrès américain dirigé par des élus républicains, mais auquel participaient également des démocrates.
Vérité
Après deux ans d’enquête, ce que certains voulaient taire ou maquiller a finalement éclaté au grand jour. Le rapport nous apprend entre autres que:
Le virus a probablement été le résultat d’un accident de laboratoire à Wuhan dans le cadre de recherches sur le gain de fonction financées par l’État américain.
Les gouvernements américains et chinois, le Dr Fauci et des membres de la communauté scientifique ont tenté de cacher ces faits.
L’obligation vaccinale a causé d’importants dommages collatéraux.
La recommandation des «6 pieds» de distanciation sociale ne reposait sur aucune base scientifique.
Aucune preuve scientifique n’a permis de démontrer que les masques avaient été efficaces pour contrôler la propagation du virus.
L’OMS a relayé la propagande du gouvernement chinois.
Les confinements ont causé plus de tort que de bien en nuisant à l’économie, en causant des troubles de santé mentale chez les adultes, et en perturbant le développement des enfants et des jeunes adultes.
Le gouvernement a mésinformé ses citoyens, notamment en qualifiant la théorie de la fuite de laboratoire de «théorie du complot».
Le pouvoir du vaccin a été exagéré.
Le vaccin a entraîné chez certains des effets indésirables qui doivent faire l’objet d’une enquête approfondie.
«Complotistes»
Encore récemment, ceux qui tenaient de pareils propos étaient dénigrés, ostracisés et qualifiés de «complotistes». Or, ce rapport nous apprend qu’ils voyaient clair à bien des égards... Mais ne comptons pas sur leurs accusateurs pour leur présenter des excuses !
Chose certaine, la confiance entre les institutions et les citoyens a été brisée.
Or, comme l’indique très justement le rapport, «la confiance se mérite. La responsabilité, la transparence, l’honnêteté et l’intégrité permettront de regagner cette confiance».
À bon entendeur, salut !
nypost.com/2024/12/04/us-news/biden-white-house-mulls-pre-emptive-pardons-for-fauci-schiff-and-cheney-report/
04/12/2024
La Maison-Blanche de Joe Biden envisage une grâce préventive pour Anthony Fauci, Adam Schiff et Liz Cheney
Les principaux conseillers du président Biden seraient en train d’envisager l’idée d’accorder des grâces préventives aux responsables gouvernementaux actuels et anciens avant l’investiture du président élu Donald Trump le mois prochain.
L’ancienne représentante Liz Cheney (R-Wyo.), le sénateur élu Adam Schiff (D-Calif.) et le Dr Anthony Fauci font partie de ceux qui pourraient avoir besoin d’une grâce avant que Trump n’entre en fonction, selon Politico.
Fauci a été accusé par les républicains et les groupes de surveillance d’avoir menti au Congrès sur les origines du COVID-19 et sur son utilisation d’un compte de messagerie privé pour mener des affaires gouvernementales.
www.rtbf.be/article/le-belge-qui-a-porte-plainte-contre-von-der-leyen-suite-au-pfizergate-demande-son-renvoi-en-correctionnelle-11474334
07/12/2024
Le Belge qui a porté plainte contre Von der Leyen suite au 'Pfizergate' demande son renvoi en correctionnelle
Le Belge qui a déposé plainte contre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé samedi matin demander son renvoi en correctionnelle. L’homme a par ailleurs demandé le renvoi en correctionnelle du directeur général de Pfizer, Albert Bourla, et des sociétés Pfizer et BioNTech.
La chambre du conseil de Liège a examiné vendredi l’affaire concernant une plainte déposée en 2023 par le Belge auprès du parquet de Liège à l’encontre de Mme Von der Leyen pour "usurpation de fonctions et de titre", "destruction de documents publics" et "prise illégale d’intérêts et corruption".
L’affaire a fait l’objet d’une remise sine die en raison d’un problème de procédure.
Le plaignant, Frédéric Baldan, reproche à la présidente de la Commission européenne d’avoir refusé de rendre publics des SMS échangés avec le patron de Pfizer, Albert Bourla, lors de la négociation d’un contrat qui portait sur l’achat de doses de vaccin contre le Covid-19.
L’homme estime que Mme Von der Leyen s’est substituée au gouvernement belge dans la négociation de ces vaccins et la soupçonne d’avoir obtenu des avantages dans la négociation. Il lui reproche en outre d’avoir supprimé lesdits SMS échangés avec le CEO de Pfizer et estime donc que ses droits fondamentaux ont été violés.
À ce jour, près d’un millier de plaignants ont rejoint l’action : diverses ONG, des associations de victimes des effets secondaires des vaccins, des parents, des personnalités politiques à qui on a refusé l’accès à des documents et deux États membres (la Pologne et la Hongrie).
Au-delà des bords politiques et sanitaires
"Les victimes auraient pu effectuer des choix différents si elles avaient été mises au courant des divers éléments de ce dossier", relève l’avocate Diane Protat, qui pointe un manque flagrant de transparence et de l’irresponsabilité. "C’est un procès qui va au-delà des bords politiques et sanitaires", a-t-elle ajouté. C’est sur ce dossier que la chambre du conseil s’est penchée vendredi, avant de décider de sa remise.
Le juge d’instruction a en effet refusé de se présenter, "car il a compris que les débats n’auraient pas lieu, l’affaire ayant été entravée par le parquet européen qui n’a volontairement pas effectué une série de démarches", a indiqué samedi Frédéric Baldan, qui pointe toutefois un élément positif : "Au moins, cette audience aura permis aux victimes d’avoir accès au dossier d’instruction, nous donnant des compléments d’information".
Le 6 janvier 2025, le dossier passera devant la chambre des mises en accusation, où un contrôle de l’instruction sera réalisé. Frédéric Baldan et Diane Protat considèrent pour l’heure que les infractions sont constituées et qu’ils possèdent les éléments matériels suffisants à charge pour démontrer que ces infractions ont bien été commises par les parties en cause.
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