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Date : 12-05-2025 13:23:55
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11/05/2025 28 min.
Victime des vaccins Covid-19 : la vie de Laure a basculé en 2021. Elle partage son histoire.
Laure, 41 ans, mère de trois enfants, a commencé à ressentir des douleurs et une fatigue intense. Le repos ne parvint pas à soulager son épuisement. Elle s’est dit qu’elle faisait trop d’exercice et qu’elle ralentissait. D’autres symptômes sont apparus, tels que des acouphènes, une perte auditive, des troubles neurologiques et neuropathiques, et même une arythmie cardiaque.
Les errances médicales de Laure ont commencé en décembre 2021. Les médecins ont suspecté la sclérose en plaques ou le syndrome de la queue de cheval (un trouble neurologique causé par des lésions dans les vertèbres lombaires). Aucun d’entre eux n’a mis en cause le vaccin contre le Covid-19, que Laure avait reçu deux mois avant l’apparition de ses symptômes. Pour poursuivre l’enquête et trouver une cause à sa maladie, Laure a même été contrainte de recevoir une troisième dose du vaccin en janvier 2022, comme l’exigeait son certificat de vaccination. Trois semaines plus tard, elle ne pouvait plus marcher.
En novembre 2023, un interniste et un médecin ORL lui ont diagnostiqué une encéphalomyélite myalgique. Une maladie neurologique qui la prive d’énergie. Même parler ou marcher peut l’épuiser. Une TEP/IRM a confirmé l’hypométabolisme dans certaines zones de son cerveau. Laure souffre également du syndrome d’activation des mastocytes (MCAS). Son système immunitaire est complètement perturbé, provoquant une inflammation et des réactions allergiques incontrôlables. Ses acouphènes n’ont pas diminué et sont maintenant accompagnés de bourdonnements. Elle a dû être équipée d’appareils auditifs dans les deux oreilles.
En juillet 2023, l’agence de pharmacovigilance a reconnu le rôle de la vaccination dans le déclenchement de ces événements. Il s’agissait d’un signe d’alerte tardif. Laure ne peut plus travailler et a dû renoncer à la plupart des activités qu’elle aimait. Elle est reconnue invalide à plus de 50 %. À la quarantaine, elle ne se déplace plus qu’avec une canne ou un fauteuil roulant.
www.francesoir.fr/societe-sante/les-vaccins-arnm-la-fertilite-feminine-et-la-baisse-de-la-natalite-une-crise
10/05/2025
Les vaccins à ARNm, la fertilité féminine et la baisse de la natalité – Une crise émergente pour la France et le monde
Une étude récente publiée dans Vaccines (MDPI) intitulée « Impact des vaccins à ARNm et inactivés contre la COVID-19 sur la réserve ovarienne » a révélé des résultats alarmants sur l’impact des vaccins à ARNm contre le COVID-19 sur la fertilité féminine, montrant une destruction de plus de 60 % des follicules primordiaux chez des rates. Ces résultats, relayés par Nicolas Hulscher, MPH, sur X, s’ajoutent à des préoccupations croissantes sur les effets des vaccins sur la santé reproductive, notamment des troubles menstruels signalés dès 2021. Parallèlement, la baisse de la natalité en France et dans d’autres pays développés, documentée par des études et des articles récents, amplifie l’urgence de ce problème. Quelles leçons la France doit-elle tirer de cette crise émergente ?
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Face à cette crise, la France doit agir sur plusieurs fronts :
-Suspension des vaccins à ARNm pour les femmes en âge de procréer : une suspension immédiate est nécessaire en attendant des études approfondies sur les effets à long terme des vaccins à ARNm sur la fertilité humaine.
-Recherches indépendantes : des études longitudinales sur les femmes vaccinées doivent être lancées pour confirmer ou infirmer ces effets, en examinant également les troubles menstruels comme indicateur précoce.
-Transparence et communication : les autorités sanitaires doivent informer clairement les femmes des risques potentiels, comme le demandait déjà France-Soir en 2021, pour permettre des choix éclairés.
-Réévaluation des politiques vaccinales : le calendrier vaccinal français, qui inclut encore trois doses de vaccin à ARNm pour les bébés avant 9 mois, doit être réexaminé, surtout dans un contexte où le COVID-19 est maîtrisé.
-Soutien aux femmes et aux couples : des programmes de soutien à la fertilité et un accompagnement psychologique sont nécessaires.
-Politiques natalistes renforcées : Face à la baisse de la natalité, des aides financières, des congés parentaux prolongés et des services de garde d’enfants abordables sont essentiels pour encourager les naissances.
Conclusion - il y a urgence
L’étude de Karaman et al., combinée aux rapports sur les troubles menstruels, la baisse de la natalité et de la fertilité dans le monde, constitue les signaux d’alarme d’une crise systémique d’une ampleur sans précédent. Pourtant, les priorités des autorités sanitaires françaises semblent décalées. Le ministre de la Santé, Yannick Neuder, a récemment mis l’accent sur la communication en organisant une réunion sur la désinformation en santé, comme en témoigne sa visite à l’usine EUROAPI en janvier 2025, où il a souligné l’importance de la transparence pour restaurer la confiance. Si cette démarche est louable, elle occulte les problèmes structurels et humains bien plus urgents : une possible infertilité de masse, une natalité en chute libre et un modèle de retraites menacé. Comme lors de la crise du COVID-19, où la communication a souvent pris le pas sur les véritables enjeux – coordination des soins, prévention, et effets secondaires des vaccins –, l’usage exacerbé de la communication semble aujourd’hui détourner l’attention des réels problèmes de santé publique auxquels les Français sont confrontés. Il est temps de recentrer les efforts sur des solutions concrètes pour protéger la santé reproductive, soutenir la démographie et garantir la pérennité des systèmes sociaux.
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