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politique gouvernementale sur les vaccins
Auteur : Napi  
25/310

Date :    20-02-2024 13:11:32


youtu.be/JlTucfITvUg?si=j65jmmtOgA5wSovJ
20/02/2024 22 min.

Les vaccins - Partie 1

Professeur Didier Raoult




infodujour.fr/sciences/73342-covid-19-les-degats-des-rappels-vaccinaux
19/02/2024

Covid-19 : Les dégâts des rappels vaccinaux

Une nouvelle étude suggère que les rappels vaccinaux anti Covid-19 fréquents chez les personnes immunodéprimées pourraient causer plus de dommages que de bénéfices.


Selon une étude scientifique publiée le 27 janvier 2024 dans Clinical and Experimental Medicine, et reprise par la revue Epoch Health, les injections vaccinales anti-Covid-19 répétées peuvent augmenter le risque d’être infecté par le virus SRAS-CoV-2 et provoquer ou aggraver d’autres pathologies. En outre, la réception de doses multiples chez les vaccinés peut entraîner des taux beaucoup plus élevés d’anticorps IgG4 et altérer l’activation des globules blancs (cellules du système immunitaire) qui aident à protéger l’organisme contre les infections microbiennes et le cancer.

« Pas d’efficacité prouvée »
Les immunoglobulines (IgG), ou anticorps, sont des protéines fabriquées par des globules blancs spécialisés appelés lymphocytes B. Bien que les anticorps IgG aient généralement un effet protecteur (à l’exception des anticorps « facilitants »), la production des anticorps de type IgG4, augmentée au fur et à mesure des injections vaccinales de rappels « anti-Covid-19 », est impliquée dans la tolérance immunitaire. De plus en plus de preuves montrent que des niveaux anormalement élevés de IgG4 dus à des injections vaccinales répétées peuvent provoquer des maladies liées aux IgG4 impliquant une inflammation multi-organique, des maladies auto-immunes, des cancers à apparition rapide et une myocardite auto-immune. Ces pathologies sont en fait directement induites par une suractivation du système rénine-angiotensine (SRA) et de son récepteur délétère AT1R qui est pro-inflammatoire, pro-angiogénique, et qui pilote l’immunité innée.

Des preuves de l’altération des lymphocytes
« Bien que des doses de rappel aient été recommandées pour renforcer et étendre l’immunité, en particulier face aux variants émergents (du SRAS-CoV-2), cette recommandation n’est pas basée sur une efficacité prouvée et les effets secondaires ont été négligés », écrit l’auteur de l’article, le chercheur Alberto Boretti. En revanche, il a trouvé des preuves que plusieurs rappels de vaccin à ARNm altèrent l’activation des lymphocytes T CD4+ auxiliaires et CD8+ cytotoxiques. Ces cellules immunitaires constituent la majorité des lymphocytes T qui protègent l’organisme humain en détruisant les agents pathogènes nocifs et en l’aidant à répondre aux infections, aux allergènes et aux tumeurs. Les lymphocytes T CD4+ auxiliaires sont particulièrement essentiels, car ils activent d’autres cellules immunitaires, coordonnent la réponse immunitaire contre les infections microbiennes et aident les lymphocytes B à produire des anticorps.

Les inquiétudes précoces de Jean-Marc Sabatier
Dans une interview de Marc Moustacakis pour le média Allemand Oval Media, enregistrée le 19 mai 2023, Jean-Marc Sabatier évoque déjà l’immunodéficience induite par les rappels vaccinaux.
Dans un article (censuré) intitulé « Covid-19 : Les dangers de la troisième dose du vaccin ! » publié le 11 août 2021 dans infodujour.fr et que l’on peut relire sur le site contre-pouvoir, Jean-Marc Sabatier rappelle qu’il existe des anticorps ‘’facilitants’’ qui, contrairement aux anticorps ‘’neutralisants’’, vont favoriser l’infection des cellules par le virus. Ce sont ces anticorps qu’il faut éviter de produire lors d’une vaccination, dit-il. Il existe aussi des anticorps « neutres ». Il mentionne que les anticorps « facilitants » se retrouvent avec les injections vaccinales contre le SRAS-CoV-2, d’où les dangers des rappels « vaccinaux ». En effet, « Si le phénomène ADE voire ERD (de facilitation de l’infection) existe dans le cas de la vaccination actuelle, il est probable que ces rappels vaccinaux (3ᵉ et 4ᵉ doses) augmentent la proportion d’anticorps « facilitants », ce qui conduirait à un effet potentiellement opposé à celui recherché. Le remède serait alors pire que le mal.

Enfin, le 15 décembre 2021, dans un article intitulé « La troisième dose avant l’overdose », nous écrivions : « Le Dr Jean-Marc Sabatier, Directeur de recherches au CNRS et Docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, émet des doutes sur la vaccination obligatoire. Il précise que les effets secondaires de la troisième dose (voire la 4ᵉ dose probablement programmée) ne s’arrêtent pas aux effets indésirables immédiats. Il est fortement à craindre que les effets secondaires rapportés à ce jour ne représentent que la partie émergée de l’iceberg, dit-il.
Jean-Marc Sabatier poursuit : « En effet, l’impact réel des rappels multiples (outre les phénomènes ADE/ERD de facilitation de l’infection) pourrait mettre des mois ou des années à apparaître (notamment maladies auto-immunes ou cancers)…
Les autorités doivent tenir compte de ces dangers dans les décisions prises. »
Enfin, l’auto-immunité systémique semble être la conséquence inévitable de la sur-stimulation du « système » immunitaire de l’hôte par une immunisation répétée avec l’antigène, à des niveaux qui dépassent la criticité auto-organisée du système. Voir l’étude infodujour.fr/sciences/73342-covid-19-les-degats-des-rappels-vaccinaux
Auteur : Napi  
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Date :    21-02-2024 13:10:07


youtu.be/p0I2jWOSuGg?si=7hw9CEOwuLnL_Ek5
19/02/2024 16 min.

Marie Charlotte raconte son enfer à cause des EFFETS SECONDAIRES du vaccin !

Effets secondaires du vaccin : la vie de Marie-Charlotte est devenue un enfer, elle témoigne dans TPMP ! Ancienne sportive, elle relate l'impact négatif sur sa santé suite à la vaccination
Auteur : EBONYMAY 
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Date :    21-02-2024 16:29:34


Sur TPMP ?! difficile de croire quoi que ce soit !
Auteur : Napi  
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Date :    21-02-2024 17:20:00




Retrouvez ici tous les témoignages pour Verity-France :

www.verity-france.org/temoignages/

Auteur : Napi  
29/310

Date :    22-02-2024 13:25:27


michel.delorgeril.info/politique-de-sante/surmortalite-cardiovasculaire-au-royaume-uni-depuis-la-covid-19/
19/02/2024

Michel de Lorgeril – Docteur en Médecine, Chercheur au CNRS
Expert international en cardiologie et nutrition – Membre de la Société Européenne de Cardiologie


Surmortalité cardiovasculaire au Royaume-Uni depuis la Covid-19
19/02/2024 27 commentaires
Les chiffres parlaient d’eux-mêmes depuis un moment mais les autorités sanitaires britanniques ne voulaient pas y croire.

Mais la réalité est têtue et finalement le constat est évident : depuis 2019, il y a une surmortalité cardiovasculaire chez nos cousins British.

On avait déjà constaté la même chose aux USA mais, ne faisons pas les fiers, la même chose va nous arriver en France.

Quand ?

Quand des statistiques solides (certificats de décès vérifiés) seront publiées en France. Ça prend environ 2 ans de plus que chez nos voisins British…

Une fois les choses admises, on peut essayer de comprendre ; et essayer d’expliquer à des médias curieux.

Voyons comment les chose sont présentées par la British Heart Foundation (BHF, ci-dessous), les autorités sanitaires britanniques n’ayant pas encore eu le courage d’admettre les faits et encore moins de les commenter.

Ils disent « early deaths » car les chiffres concernent les moins de 75 ans. On dit aussi en français « mortalité prématurée ».

C’est encore pire chez les plus âgés mais on a une explication toute trouvée : c’est la faute au virus !

Les moins de 75 ans étant – nul ne le conteste – résistants au virus, il faut trouver autre chose. Ils cherchent !

A mon avis, la surmortalité cardiovasculaire chez les plus de 75 ans s’explique de la même manière que chez les moins de 75 ans : après la 1ère année (2020), le virus est innocent !

Bref, la BHF parle de la pire crise « cardiovasculaire de mémoire d’homme ».

C’est idiot, j’ai connu pire, mais ça donne une idée de degré de panique…

[...]

C’est dans ce graphique que gît la panique des autorités, au point de rester muettes.

Depuis 2004 (et bien avant), la mortalité cardiovasculaire diminuait en Angleterre avec certes une atténuation de la pente de la courbe depuis environ 2013.

Ce n’est pas inattendu, toutes les courbes sanitaires optimistes ont une fin.

La flèche rouge oblique (elle est de moi) indique un brusque changement de tendance au moment de la Covid-19.

En 2019, ça diminue encore et brusquement en 2020, la tendance s’inverse.

On a d’abord (en 2020) accusé le virus car on a vite compris que la fameuse Protéine Spike (bras armé du virus) provoquait des crise cardiaques et des AVC.

Et bien sûr, on se disait que grâce aux vaccins on allait maitriser la situation.

Patatras, lors de l’année de vaccination massive (2021), la tendance ne s’est pas inversée mais au contraire aggravée : 2021 est pire que 2020 !

Les plus fins d’entre nous ont immédiatement conclu que ce n’était plus le virus le coupable.

D’autant plus que si le virus avait tué prématurément certains d’entre nous, on aurait dû constater un rattrapage l’année suivante – c’est une règle épidémiologique classique – quand le virus est neutralisé grâce aux vaccins. En effet, ceux qui sont morts prématurément en 2020 ne sont plus là pour mourir en 2021 et les statistiques se corrigent ! Facile à comprendre.

Il se passe donc quelque chose d’étrange en 2021 !

Mais voilà encore pire (d’où l’affolement de la BHF) : la surmortalité cardiovasculaire s’aggrave encore plus en 2022 qui est pire que 2021 !

Ainsi s’explique le commentaire de la BHF : la pire crise de mémoire d’homme !

Les idiots convenus ont vite expliqué ce phénomène par des supposées diminutions de la prise des médicaments protecteurs (pour abaisser le cholestérol, la pression artérielle ou la glycémie) pendant la Covid-19 par les victimes de crise cardiaque ou d’AVC. C’est bien fait pour eux, ils n’avaient qu’à suivre nos bienfaitrices prescriptions.

Cette explication ne repose sur rien : on n’a pas constaté une diminution de la consommation de ces médicaments pendant la Covid.

D’autres plus sérieux ont évoqué la crise du système sanitaire qui est aussi terrible au Royaume-Uni que chez nous. Certes les urgences sont (étaient) encombrées mais, à mon avis, les suspicions d’infarctus et d’AVC sont restées des priorités dans tous les services d’urgence.

Il faut trouver autre chose.

Cette autre chose est évidente mais inadmissible ! Inadmissible pour les vaccinateurs comme pour les dizaines de millions de vaccinés.

Si on accuse la Protéine Spike du virus pour expliquer la surmortalité cardiovasculaire en 2020, que penser de la Protéine Spike vaccinale en 2021 et 2022 ?

Les vaccins antiCovid (ceux à base d’ARN messager notamment) sont conçus pour apprendre aux cellules des vaccinés à fabriquer de la Protéine Spike avec l’intention de stimuler la production d’anticorps dirigés contre cette Protéine Spike.

Ces vaccins sont conçus pour que le modèle (l’ARN messager) soit protégé et robuste ; et ainsi survive le plus longtemps possible chez les vaccinés de façon à produire le plus possible de Protéine Spike le plus longtemps possible et ainsi stimule le plus longtemps possible le système immunitaire des vaccinés.

Mieux que le virus chez certains d’entre nous, mais dangereux !!

Conséquence inévitable : certains vaccinés vont être victimes de la Protéine Spike qu’ils fabriquent eux-mêmes. C’est l’arroseur arrosé…

Dans mon prochain livre (en librairie cet été), j’apporte tous les arguments utiles pour défendre cette théorie.

Auteur : Rosalie1334 
30/310

Date :    22-02-2024 13:45:57


"Dans mon prochain livre (en librairie cet été), j’apporte tous les arguments utiles pour défendre cette théorie. "

Ben voyons !
Auteur : Napi  
31/310

Date :    22-02-2024 18:52:34


www.nexus.fr/actualite/entretien/sages-femmes-vierzon/
22/02/2024

Entretien avec deux sages-femmes sur les troubles menstruels et de grossesse, post-Covid et post-vaccins

Le 3 février 2024, Nexus était présent lors des Rencontres citoyennes autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins organisées par l’association Cher Atout Cœur. Plusieurs dizaines de collectifs, associations et intervenants étaient présents. Parmi eux, deux sages-femmes libérales, Mathilde Revolon et Marie Terrasson, qui ont témoigné de l’augmentation des troubles menstruels et pendant la grossesse qu’elles ont pu constater chez leurs patientes suite à la crise Covid et à ses injections. Des actions juridiques sont en cours, notamment pour que soit rendu possible l’accès à des données fiables aux soignants.

◆ Des constats en cabinet flagrants mais pas assez reconnus

Marie commence l’entretien en partageant avec nous son expérience en cabinet, où elle a répertorié en un an et demi, « sur à peu près 800 femmes, 60 cas d’effets indésirables potentiellement liés aux vaccins », ce qui est supérieur aux risques qui étaient annoncés par les pouvoirs publics pour ces injections. Parmi ces cas, des « troubles des règles de tous types » dont « certains ne sont pas résolutifs et persistent dans le temps » : « absence de règles, règles hémorragiques, douleurs de règles, modifications dans les profils de saignements. J’avais remarqué aussi plusieurs phlébites, embolies pulmonaires, des gros caillots dans les vaisseaux qui étaient assez atypiques suite aux injections. Ça m’a très vite posé question. » Elle a également noté des déclenchements d’endométriose et d’adénomyose « qui abîment le muscle utérin pour toujours », et des douleurs pouvant aller jusqu’à une hystérectomie ainsi que des risques de maladies inflammatoires, comme des scléroses en plaques.

Même si à l’heure actuelle on ne peut rien prouver et même s’il existe des sages-femmes qui pensent différemment, elles imaginent donc que le vaccin peut avoir une incidence sur la fertilité des femmes.

◆ Légitime de vacciner les femmes enceintes ?

Elles se sont également beaucoup questionnées au sujet de la vaccination des femmes enceintes, notamment en début de grossesse, avec « un produit expérimental » comme le souligne Marie, qui n’est justifiée par aucune donnée fiable. Elle rapporte aussi que des collègues ont observé des bébés prématurés de plus petite taille, ainsi que des retards de croissance. Pour elle, le résumé de la situation est clair : le vaccin anti-Covid est toujours recommandé aux femmes enceintes en l’absence de données sérieuses. Les pouvoirs publics se sont basés sur les premières études réalisées en 2021 qui sont incomplètes dont les résultats de fins d’étude n’ont jamais été publiés.

◆ Des études peu sérieuses

Mathilde nous explique qu’au départ de la vaccination, « ce sont toujours les mêmes études qui ont été citées et recitées en boucle dans les communications officielles ». « Des études sorties très tôt, comme celle de Shimabukuro, un chercheur américain » sortie en 2021, qui devait étudier près de 4 000 femmes vaccinées. Bilan des courses, il n’a sorti que « des résultats très partiels sur 827 femmes qui étaient celles qui avaient accouché et qui avaient leur grossesse terminée. Quelques-unes de vaccinées au premier trimestre avaient fait une fausse couche, mais la plupart qui avaient été vaccinées au troisième trimestre avaient accouché, donc on n’avait pas du tout d’idée, par exemple, de ce que ça donnait les vaccinations au premier trimestre de la grossesse. Olivier Véran avait pourtant encouragé la vaccination dès le premier trimestre alors qu’on n’avait pas de données là-dessus. La fin de l’étude de Shimabukuro n’a jamais été publiée. »

« En France, même situation, il y a eu une étude qui s’appelle COVACPREG qui avait été annoncée par l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) en avril-mai 2021, qui a été bloquée de manière administrative pendant 8 mois, et qui n’a commencé que finalement toute fin novembre, début décembre 2021, alors qu’il avait été dit que les femmes vaccinées seraient très surveillées. Et la chercheuse en charge de cette étude n’a pas pu inclure les 5000 femmes prévues car elles avaient été toutes vaccinées avant. C’était une étude prospective, il fallait être inclus au moment où on avait été vaccinée, et donc elle n’a inclus que 938 femmes,c ce qui est très insuffisant pour conclure et ce qui ne correspond pas non plus à ce qui avait été annoncé par les pouvoirs publics, en termes de surveillance. »

« Pfizer n’avait pas fait d’études sur les femmes enceintes, les notices de vaccins le disaient bien et même l’EMA (Agence européenne du médicament) sur son site (…) disait que chaque cas doit être discuté avec un professionnel de santé ». En aucun cas, de vacciner toutes les femmes enceintes. Elle incitait à peser la balance bénéfices-risques pour chaque femme. Mais comment évaluer cette balance sans résultats d’études fiables ?

◆ Flou aussi autour des effets du Covid

À la question « Est-ce que vous avez observé des effets secondaires chez les femmes qui ont eu le Covid ? » Marie répond : « Oui, j’ai vu des troubles menstruels. On sait que tout ce qui est maladie virale peut avoir un impact sur le rythme des règles. » « En général, c’est transitoire et résolutif au bout de deux à trois mois. Ce qui a été visible aussi après les injections, mais pas pour toutes les injections. » En effet, Marie et Mathilde nous précisent qu’il y a des femmes qui ont souffert jusqu’à deux ou trois ans après les vaccins, sans que ce soit forcément résolutif.

Mathilde nous explique qu’à l’instar de COVACPREG pour les effets des injections anti-Covid, il existait « une étude qui devait montrer la gravité ou non des effets du Covid chez la femme enceinte, avec une étude jumelle qui s’appelle COROPREG qui devait sortir en mai 2022 qui n’est toujours pas publiée non plus. On devrait savoir en 2024 si les issues de grossesse de 2021 et 2022 ont été bonnes ou pas selon Mathilde, mais ce n’est toujours pas le cas. »

◆ Des actions en cours

Face à ce flou artistique autour de données scientifiques, le collectif SF Clés (Sages-femmes pour un choix libre et éclairé en santé) a fait une demande via leur avocat de communication de document administratif. « On a reçu quelques résultats partiels dont on ne peut rien conclure actuellement et l’étude n’est toujours pas publiée. »

Le collectif a porté plainte aux côtés d’autres associations de victimes des vaccins anti-Covid contre Aurélien Rousseau, l’ancien ministre de la Santé, à la Cour de justice de la République au mois d’octobre 2023 puisque, le 3 octobre 2023, il a déclaré qu’il n’y avait pas d’effets secondaires du vaccin Covid. Or, d’autres médecins, comme Jean-François Delfraissy, ont bien dit qu’il y en avait. Plainte qui est toujours en cours et sans réponse. Suite au dépôt de cette plainte, il y a eu intrusion au Conseil national de l’Ordre des sages-femmes, et le dossier de Mathilde Revolon ainsi que ceux de certaines collègues ont été consultés. Mathilde a déposé une plainte contre X à la gendarmerie pour vol de données personnelles. Pour l’instant, pas de nouvelles non plus…

◆ Ne pas rester mutique

Mathilde et Marie incitent les femmes concernées par des troubles menstruels post injections Covid à en parler autour d’elles pour se faire soigner, et à faire des déclarations de pharmacovigilance. Elles les invitent à se rapprocher d’associations comme Où est mon cycle et bien d’autres.

Mathilde Revolon, qui n’hésite pas à rediriger ses patientes vers des gynécologues ou autres soignants, a envie que les victimes soient « crues, prises en compte, soignées et accompagnées comme elles le méritent, parce qu’il y a beaucoup de souffrance, en plus des troubles, de ne pas être crues ou soignées ».
Auteur : Napi  
32/310

Date :    23-02-2024 12:59:48


www.francesoir.fr/societe-sante/etude-internationale-confirme-des-effets-secondaires-vaccins
22/02/2024

Covid-19 : Des effets secondaires liés aux vaccins confirmés par une étude internationale

Myocardites, péricardite, syndrome de Guillain-Barré... Publiée le 12 février dernier dans la revue scientifique Vaccine, une étude menée par le Global Vaccine Data Network (GVDN) confirme que les vaccins contre le Covid-19 peuvent déclencher de graves effets secondaires.

À travers huit pays (Canada, Argentine, Australie, Danemark, Finlande, France, Nouvelle-Zélande et Écosse), 99 millions de personnes vaccinées ont été étudiées. Comme le rapporte CNEWS, c'est la plus grosse étude menée à ce jour sur le sujet.

Si les 35 chercheurs se montrent particulièrement précautionneux quant à la présentation de leurs résultats, ils sont tout de même clairs : "Cette analyse internationale a confirmé les signaux de sécurité préétablis pour la myocardite, la péricardite, le syndrome de Guillain-Barré et la thrombose du sinus veineux cérébral."

De plus, ils expliquent que d'autres effets secondaires ont été identifiés, en précisant que "d'autres études sont nécessaires pour confirmer les associations et évaluer la signification clinique."

Enfin, les chercheurs se mettent à l'abri en soulignant que "toutes les analyses, déductions, opinions, conclusions et déclarations sont [les leurs - ndlr] et ne représentent pas nécessairement le point de vue officiel ou l'approbation du CDC/HHS ou du gouvernement américain."

Bientôt, qui sait ? Il paraît que la vérité prend toujours l'escalier...


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