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politique gouvernementale sur les vaccins
Auteur : Napi  
41/311

Date :    02-03-2024 13:56:47



Jean-Paul Stahl...

www.francesoir.fr/societe-sante/conflits-dinterets-partir-de-douze-un-foyer-epidemique
18/01/2021


Conflits d'intérêts : à partir de douze on a un foyer épidémique ?


Cet article reprend et complète celui de juin dernier.

La crise récente a fait ressortir les polarités ainsi que les décisions parfois surprenantes de médecins qui tiennent aussi des rôles consultatifs ou exécutifs dans les hautes instances (Conseil Scientifique, Haut Conseil de la Santé Publique).

Le professeur Perronne a rappelé avoir mis en place un système de déclaration des conflits d’intérêts avant toute prise de décisions, allant jusqu’à exclure les personnes des décisions ou débats si besoin est. Début 2020, le collectif Data + Local recoupait les données de la base Transparence Santé, mise en place après le scandale du Médiator. Les 30 000 praticiens répartis en 32 CHU du territoire se sont partagés plus de 92 millions, auxquels s’ajoutent quelque 78 millions d’euros versés au titre notamment de conventions passées entre les CHU et les laboratoires. Tout cela ne prend bien sûr pas en compte les aides versées aux associations de victimes et ou patients.

Hier, dans un documentaire Enquête exclusive à charge contre le Pr. Raoult, le Dr Bergmann est apparu sans déclarer ses liens d'intérêts de 992 000 euros avec l'industrie pharmaceutique et plusieurs dizaines de contrats dont les montants ne sont pas déclarés.



Il prend la première place devant le Pr Raffi (541 000 euros) qui a avoué être à l'origine des menaces de mort contre le Pr. Raoult et qui perd ainsi sa première place qu'il tenait devant le Pr Reynes de Montpellier (291 000 euros) et la Pr Karine Lacombe avec 212 000 euros. Elle perd sa place du podium et pourra se consoler avec sa récente nomination pour la Légion d'honneur. Cela fait donc quatre anti-Raoult aux premières places.


Voici le Top 14 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique

N°1. La Palme d’Or revient au Pr Jean-François Bergmann avec 992.000 €, dont 216.000 € de AbbVie et 162000 € de Sanofi. Il est cardiologue à l'hôpital Lariboisière. Ancien président de la Commission d'autorisation de mise sur le marché. Déjà épinglé par Cash Investigation pour ses conflits d'intérêts dans l'affaire du Crestor où il aurait pris part à un vote en faveur du Crestor alors qu'il touchait une rémunération d'Astra Zeneca. Rappelons que ce laboratoire est en lice pour un des vaccins contre la Covid.



Des liens d'intérêts qui sont aussi "affectifs" :

Le professeur Jean-François Bergmann n'était pas très à l'aise sur la question face à Élise Lucet... pic.twitter.com/dLS1x9l9ia

— FranceSoir (@france_soir) January 18, 2021



N°2. Ancienne Palme d’Or, le Pr François Raffi de Nantes reste très bien placé. 541.729 €, dont 52.812 € de Gilead. Est-ce un hasard si on nous apprend que le coup de téléphone anonyme pour menacer Didier Raoult, s’il persistait avec l’hydroxychloroquine, est parti du téléphone portable du service d’infectiologie du CHU de Nantes, dont François Raffi est chef de service ? Sûrement une pure coïncidence.
N°3. Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291.741 €, dont 48.006 € de Gilead et 64.493 € d’Abbvie. Or Jacques Reynes a été sollicité par Olivier Véran pour piloter l’essai clinique du protocole Raoult à Montpellier alors qu’il est en même temps le coordinateur national de deux études sur le remdesivir pour le compte de Gilead. Il n’avait sûrement pas eu le temps d’envoyer au Ministre sa Déclaration publique d’intérêts (DPI).

N°4. La Pr Karine Lacombe de Paris - Saint Antoine. 212.209 €, dont 28.412 € de Gilead. Elle est sur la dernière marche du podium, mais l’essentiel est d’y être. Il n’y a pas que le podium avec les Ministres à Matignon.

N°5. Le Pr Jean Michel Molina de Paris - Saint Louis. 184.034 €, dont 26.950 € de Gilead et 22.864 € d’Abbvie. Or Jean-Michel Molina est co-auteur d’un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses sur quelques cas, pour dire que l’hydroxychloroquine ne marche pas. Médecine et Maladies Infectieuses est le journal officiel de la SPILF (Société de Pathologie infectieuse de Langue Française).

N°6. Le Pr Gilbert Deray de Paris. 160.649€. Une belle somme pour un néphrologue qui est très présent sur les plateaux télés. Attention le remdesivir peut être très toxique pour les reins.

N°7. Le Pr Jean-Paul Stahl de Grenoble. 100.358 €, dont 4.552 € d’Abbvie. À noter que cette somme n’a pas été déclarée sur sa DPI. Or Jean-Paul Stahl est rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses. C’est lui qui a comparé le Plaquénil* au papier toilette.

N°8. Le Pr Christian Chidiac de Lyon. 90.741 €, dont 16.563 € de Gilead. Or Christian Chidiac est président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le fameux Avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants et demandant d’inclure les malades dans les essais officiels (donc Discovery). Son adjointe, la Pr Florence Ader, citée ci-dessous, est l’investigatrice principale de Discovery. Pure coïncidence.

N°9. Le Pr Bruno Hoen de l’Institut Pasteur. 82.610 €, dont 52.012 € de Gilead. À noter que sur sa DPI, il a déclaré n’avoir reçu que 1000 € de Gilead ! Or Bruno Hoen a attaqué l’équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.

N°10. Le Pr Pierre Tattevin de Rennes. 79.956 €, dont 15.028 € de Gilead. À noter que sur sa DPI, comme son prédécesseur, il a déclaré n’avoir reçu que 1000 € de Gilead ! Ça doit être le surmenage. Or Pierre Tattevin est président de la SPILF. Cette Société savante a attaqué l’hydroxychloroquine pour encourager les inclusions dans Discovery, ainsi que dans les autres études par tirage au sort avec des groupes de patients non traités (études randomisées).

N°11. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68.435 €, dont 4.776 € de Gilead et 9.642 € d’Abbvie. Or Vincent Le Moing pilote, avec son patron Jacques Reynes cité ci-dessus, l’essai clinique de Montpellier.

N°12. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63.873 €, dont 15.054 € de Gilead. Or Alain Makinson participe à l’étude de Montpellier avec Jacques Reynes et Vincent Le Moing. Un beau trio. Montpellier est très bien représentée.

N°13. François-Xavier Lescure de Paris – Bichat. 28.929 €, dont 8.621 € de Gilead. Or François-Xavier Lescure est l’adjoint de notre célèbre Yazdan Yazdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine. Or cette étude n’a aucune méthodologie.

N°14. La Pr Florence Ader de Lyon. 11.842 € , dont 3.750 € de Gilead. Or Florence Ader est l’investigatrice principale de Discovery.


A partir de douze, ça commence à faire un foyer épidémique !

Auteur : Rosalie1334 
42/311

Date :    02-03-2024 15:03:18


J'imagine que la longueur de l'intervention n'est pas un gage de véracité ?
Je cite juste le verdict d'un procès récent.
Auteur : Napi  
43/311

Date :    04-03-2024 13:41:00


www.telegraph.co.uk/news/2024/03/02/health-secretary-release-data-covid-vaccine-excess-deaths/
02/03/2024

Le secrétaire à la Santé exhorté à publier des données qui « pourraient lier le vaccin Covid à la surmortalité »

Les députés et les pairs ont accusé le secrétaire à la Santé de dissimuler des données qui pourraient lier le vaccin Covid à la surmortalité, et ont critiqué un « mur de silence » sur le sujet...

Auteur : Napi  
44/311

Date :    05-03-2024 13:35:00


www.nexus.fr/actualite/entretien/michele-musso/
04/03/2024 12 min.

Entretien avec Michèle Musso, mère d’Eva, 30 ans, décédée après l’injection Pfizer – Vidéo

Le 3 février 2024, Nexus était présent lors des Rencontres citoyennes autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins organisées par l’association Cher Atout Cœur. Plusieurs dizaines de collectifs, associations et intervenants étaient présents. Parmi eux, l’association Les Désenfantés, cofondée par Michèle Musso, maman d’Eva, 30 ans, décédée après l’injection Pfizer. Michèle Mussio détient un rapport d’expertise médicale faisant le lien entre le vaccin anti-Covid Pfizer et le décès de sa fille. Nous l’avions interviewée.

Michèle Musso partage avec nous la façon dont sa fille a disparu des antennes administratives, nous explique le silence médiatique auquel elle se heurte, nous donne ses conseils sur la manière dont doivent être menées les actions juridiques aujourd’hui pour faire reconnaître les effets indésirables des vaccins anti-Covid, ainsi que les objectifs de son association.



youtu.be/8b6TMblMOi8?si=ZAIj5X11w4OqiJIl
05/03/2024 25 min.

Les vaccins - Partie 3

Professeur Didier Raoult
Auteur : Rosalie1334 
45/311

Date :    05-03-2024 16:42:38


NEXUS ?

Lisez les avis des lecteurs et les arnaques subies. Extrait :

[ Un magazine qui souhaite ouvrir la société vers un nouveau paradigme mais qui se fiche de ses lecteurs-clients.
Fuyez donc toute offre commerciale de ce journal. ]

fr.trustpilot.com/review/nexus.fr
Auteur : Napi  
46/311

Date :    06-03-2024 21:23:28


www.francesoir.fr/societe-sante/une-etude-conclut-l-absence-d-efficacite-des-vaccins-covid-19-et-un-effet-aggravant
06/03/2024

Une étude conclut à l’absence d’efficacité des vaccins covid-19 et à un effet aggravant de la vaccination sur la maladie dans de nombreux cas

Une seconde analyse indépendante des données des 30423 patients soignés à l’IHU Méditerranée Infection conclut à l’absence d’efficacité des vaccins covid-19.

Ce n’est donc pas une étude, mais deux que l’équipe pluridisciplinaire de scientifiques réunis autour du Prof. Christian Perronne ont publié en février 2024. Lounnas, Gkioulekas, Rendell, Lacout, Azalbert et Perronne, ayant analysé de manière autonome et indépendante les données des 30 423 patients soignés dans le pôle maladies infectieuses de l’AP-HM (Assistance Publique Hôpitaux de Marseille) situé dans l’IHU Méditerranée Infection, se sont intéressés de près aux données disponibles de vaccination covid-19.

Ils concluent à l’absence d’efficacité des vaccins covid-19. Alors que la première étude concluait à la supériorité sans appel de la bithérapie en diminuant de 58% le passage en soins intensifs et décès. Cette seconde étude est probablement la plus importante, car elle arrive à relier la vaccination avec les traitements précoces et les auteurs concluent que « la vaccination antérieure (à la maladie) a un effet aggravant sur la maladie dans nombreux cas, soulevant ainsi la question de la pertinence et de la légitimité de la vaccination de masse ». Cette étude est unique puisqu'elle allie la pluridisciplinarité scientifique qui devient critique pour l’analyse des données médicales. Dans le cas présent, la cohorte de l’IHU est la seule qui permette, après retraitement des données, de mesurer les interactions entre la maladie, la vaccination et les traitements précoces.

Le professeur Perronne déclare « à la vue de ces résultats sans appel, la vaccination covid-19 devrait être suspendue et une commission d’enquête parlementaire doit se saisir de l’évaluation des choix de politique sanitaire pour la gestion de la crise covid ».


Auteur : Napi  
47/311

Date :    08-03-2024 13:28:07


thehill.com/opinion/healthcare/4512451-is-it-long-covid-or-long-vax-does-the-government-want-to-know/
06/03/2024

S’agit-il d’un COVID long ou d’un long vaccin ? Le gouvernement veut-il le savoir ?
PAR PIERRE KORY ET PAUL MARIK


Des millions d’Américains souffrent encore des mois, voire des années, après avoir été infectés par le COVID. La COVID longue, comme on l’appelle communément, est un problème grave et mal compris. Mais il y a aussi de plus en plus de preuves que le vaccin COVID pourrait causer une maladie similaire.

Nous avons besoin que nos agences gouvernementales de santé se penchent sérieusement sur cette maladie et cessent de stigmatiser les médecins et les patients qui rapportent ces résultats afin que nous puissions fournir aux gens l’aide dont ils ont besoin.

Nous sommes des médecins en soins intensifs de l’Alliance FLCCC (Front Line COVID-19 Critical Care Alliance) qui ont traité des patients COVID tout au long de la pandémie. L’un d’entre nous a récemment ouvert un cabinet privé axé sur les patients atteints de COVID longue.

En deux ans, le cabinet a évalué et traité plus de 1 000 personnes. Environ 70 % de ces patients ont déclaré que leurs symptômes signalés étaient survenus dans les minutes, les heures, les jours et les semaines suivant la vaccination contre la COVID, par opposition à l’infection par la COVID. Cela pourrait être lié à une nouvelle condition qui est passée sous le radar jusqu’à récemment.

Ce syndrome, surnommé « long vax », commence tout juste à faire son chemin dans la littérature médicale. Le Dr Harlan Krumholz de la Yale School of Medicine a publié une enquête auprès de 241 patients qui ont décrit des symptômes post-vaccination COVID d’intolérance à l’exercice, de fatigue excessive, d’engourdissement, de brouillard cérébral et de neuropathie, un trouble du système nerveux qui peut provoquer des douleurs, des sensations de picotement, des engourdissements ou une faiblesse. Les patients atteints de COVID longue ont été exclus de l’étude, qui fait actuellement l’objet d’un examen par les pairs.

L’inquiétude est que nos résultats, l’étude de Krumholz et tout rapport d’événements indésirables liés à la vaccination contre la COVID-19 seront soumis à la même censure institutionnelle que celle que nous avons vue tout au long de la pandémie. La suppression de ces informations risque de créer un désastre encore plus grand.

Il y a une inquiétude généralisée au sujet des maladies auto-immunes atteignant des « niveaux épidémiques ». Une grande partie de cette situation est attribuable à la COVID, et il y a de plus en plus de preuves que les vaccinations contre la COVID peuvent également avoir contribué à cette tendance. De même, les maladies auto-immunes, en particulier les maladies rhumatismales auto-immunes, peuvent augmenter le risque de développer un COVID long. Cela signifie que nous pourrions assister à une explosion de la COVID longue – et des vaccins longs – dans les mois et les années à venir.

Les agences de santé américaines doivent passer à l’action pour aider à étudier ce problème afin que nous puissions mieux comprendre et traiter ces conditions. Malheureusement, il ne semble pas y avoir beaucoup d’espoir que cela se produise. Les National Institutes of Health sont obsédés par l’étude de l’effet du Paxlovid, un traitement antiviral contre le COVID, pour traiter le COVID long et le long vax, bien qu’il n’ait aucun effet prouvé sur les maladies auto-immunes.

Dans le même temps, des affaires judiciaires telles que Murthy c. Missouri remettent en question la pression exercée par l’administration Biden sur les entreprises de médias sociaux pour qu’elles suppriment toute discussion sur les traitements alternatifs contre le COVID alors qu’elles poussaient la campagne de vaccination de masse.

En tant que médecins qui ont consacré leur vie à guérir les gens, nous avons du mal à accepter que le gouvernement ait abusé de son pouvoir de cette façon. Nos agences de santé ont été cooptées par l’industrie et les forces politiques, laissant des millions de personnes vulnérables aux blessures, à la souffrance et à la mort, dans de nombreux cas sans aucun recours. Jusqu’à ce que nos dirigeants à Washington prennent ces problèmes au sérieux, il appartient aux médecins et aux patients touchés de partager leurs connaissances et de trouver des solutions.

Certes, le Comité sénatorial HELP s’est récemment penché sur la question de la COVID longue, mais ce n’était tout simplement pas un effort sérieux. Sans un compte rendu honnête de ce qui n’a pas fonctionné, la dernière chose que nous devrions faire est de donner au gouvernement plus de pouvoir sur nos décisions en matière de soins de santé.

Pierre Kory, M.D., est président et médecin-chef et Paul Marik, M.D., est directeur scientifique de la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance.


Auteur : Napi  
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Date :    08-03-2024 21:49:15


youtu.be/xRj-JELPAC8?si=_UWlJgZc910CF7BV
28/02/2024 18 min.

"LES MÉDECINS ONT DETRUIT MA VIE"
Du jour au lendemain, Mariama ne peut plus marcher. Entre négligence des médecins et refus de soin, elle nous raconte son parcours.


L’enfer de Mariama : en fauteuil roulant, convulsions et vomissements à cause du vaccin, les médecins refusent de la soigner
Entre négligence et refus de soin, Mariama, 18 ans, raconte son parcours à Oh!MyMag et dénonce le comportement des médecins qui ont tout fait pour cacher que son état était lié au vaccin et non au Covid-19.

Le 10 février 2022, la vie de Mariama bascule. Après avoir reçu sa deuxième dose de vaccin contre le Covid-19, cette jeune femme de 18 ans commence à ressentir des symptômes inquiétants. Des vomissements, des tremblements, des raideurs dans le corps et des chutes inexpliquées. Malgré les appels au Samu et les visites aux urgences, les médecins refusent de prendre au sérieux l’état de santé de Mariama et lui attribuent ses symptômes à de l’angoisse ou à des problèmes psychologiques.

Au début, Mariama n’est pas persuadée que son état est lié au vaccin. Elle pense plutôt que ses symptômes sont dus à une infection ou à un autre problème de santé. Mais au fil des semaines, son état s’aggrave et elle commence à se poser des questions. Elle se rend compte que de nombreux autres patients sont dans la même situation qu’elle et que les médecins refusent de reconnaître les effets secondaires du vaccin.

La jeune femme se retrouve alors dans une situation dramatique : elle ne peut plus marcher et est obligée de se déplacer en chaise roulante. Les médecins refusent toujours de la prendre en charge et de lui faire passer des examens approfondis. Ils lui prescrivent des médicaments pour l’angoisse et lui conseillent de consulter un psychiatre. Pire encore, ils la menacent de l’interner en psychiatrie !

L’étudiante est au bout du rouleau. Elle ne sait plus vers qui se tourner et se sent abandonnée par le système de santé. Elle décide alors de témoigner publiquement pour dénoncer le comportement des médecins et pour que son histoire serve à faire évoluer les mentalités.

Aujourd’hui, Mariama est toujours en chaise roulante et souffre de séquelles importantes. Elle est persuadée que son état est lié au vaccin et continue de se battre pour que sa voix soit entendue et pour que les médecins reconnaissent enfin les effets secondaires du vaccin. Elle espère que son histoire servira à faire évoluer les mentalités et à éviter que d’autres patients ne vivent le même calvaire qu’elle.

Le témoignage pognant de Mariama met en lumière les défaillances du système de santé et le manque de considération de certains médecins envers leurs patients. Il est inadmissible que des personnes soient laissées pour compte et ne reçoivent pas les soins dont elles ont besoin. Il est temps que les médecins prennent leurs responsabilités et écoutent réellement leurs patients, sans préjugés ni parti pris. Mariama mérite justice et réparation pour le préjudice qu’elle a subi.

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