◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄23456789101112►►

politique gouvernementale sur les vaccins
Auteur : Napi  
49/312

Date :    09-03-2024 13:31:58


www.francesoir.fr/societe-sante/aurelien-rousseau-absence-d-effets-secondaires-lea-salame
08/03/2024

Aurélien Rousseau et son "absence d’effets secondaires". Pour le CDJM, France Inter aurait du rectifier cette information inexacte


Le 3 octobre 2023, Aurélien Rousseau, ancien ministre de la Santé, répondait à Léa Salamé sur France Inter à propos de la campagne de vaccination covid-19 qui était juste lancée.

La journaliste qui interrogeait Aurélien Rousseau lui a posé la question :
« on ne va pas forcer les gens à se faire vacciner (i.e contre la COVID-19) donc comment pouvez-vous convaincre les personnes qui nous écoutent ce matin d’aller tout à l’heure se faire vacciner ? »
Aurélien Rousseau répondait :
« Je leur dis, on a un vaccin qui est plus efficace que celui de l’an dernier, il correspond parfaitement aux souches, bon voilà, et on a un vaccin, maintenant, on a 3 ans de recul, on sait qu’on n’a pas d’effets secondaires et donc il faut y aller ! »

Aurelien Rousseau a été visé par plusieurs plaintes à la Cour de Justice de la République dont celle du Pr Perronne et de Xavier Azalbert qui a été classée sans suite au motif que rien ne paraissait choquant dans les propos tenus par le ministre. Le Pr. Perronne et Xavier Azalbert avait en conséquences déposé une plainte conte les magistrats de la CJR pour déni de justice, elle aussi classé rapidement sans suite. Ne s’en tenant pas là, Xavier Azalbert avait fait une saisine quasi identique de l’ARCOM et du CDJM Conseil de déontologie journalistique.

L’ARCOM botte en touche en une réponse incomplète

Réunie en collège plénier le 7 février 2024, l’ARCOM a délibéré et la direction de la communication a transmis la décision à France-Soir le 4 mars 2023. Elle estime que « la diffusion ne saurait constituer un manquement de la station à ses obligations déontologiques en matière d’honnêteté de l’information dans la mesure où la formulation litigieuse s’apparente à une facilité de langage et non à une volonté de tromper le public, l’ANSM considérant, en l’état des connaissances scientifiques actuelles, que les vaccins contre la covid-19 sont efficaces sur la population ciblée par la vaccination en France. Dès lors, elle n’est pas intervenue à son encontre. »

L’ARCOM s’est donc contentée de répondre partiellement sur un seul des deux points visés, à savoir l’efficacité et n’a donc pas répondu sur les effets secondaires. Ce qui est étonnant puisqu’ils mentionnent l’ANSM, qui ne peut ignorer leur existence.



Le CDJM juge que la publication n’a pas fait son travail en ne corrigeant pas l’erreur et Léa Salamé échappe de justesse au grief d'exactitude et de vérité

Le CDJM a statué le 13 février sur une saisine de Xavier Azalbert du 7 octobre 2023 et de Monsieur Nougaret du 2 janvier 2024.

M. Xavier Azalbert, directeur de la publication de Francesoir.fr, a saisi le CDJM à propos du contenu d’une séquence diffusée par France Inter à 8 h 20 dans l’émission « le 7/10 » du 3 octobre 2023. Il énonce trois griefs : non-respect de l’exactitude et de la véracité, absence d’offre de réplique et absence de distinction entre publicité et information. Il estime que Madame Léa Salamé, journaliste, n’a pas respecté l’obligation d’exactitude et de véracité en ne questionnant pas M. Aurélien Rousseau, ministre de la Santé, sur les effets secondaires de la vaccination contre la covid-19. Il note que la journaliste « n’a pas repris le ministre de la Santé sur l’existence des effets secondaires de la vaccination » et argue qu’il y a défaut d’offre de réplique car « le ministre de la Santé qui n’est pas médecin n’avait pas de contradicteur alors qu’il s’exprimait sur un sujet du ressort de [son ministère] ».
Le 2 janvier 2024, M. Gilles Nougaret a saisi le CDJM du contenu de la même séquence, en ajoutant au grief d’inexactitude celui de non-rectification d’une erreur.
Ni France Inter, ni Léa Salamé mis en cause n’ont apporté de réponse au CDJM

Dans l'avis du CDJM, on peut lire que le 20 octobre 2023, puis le 18 janvier 2024 après réception d’une seconde saisine introduisant un nouveau grief, le CDJM a adressé à M. Jean-Philippe Baille, directeur de l’information de Radio France, avec copie à M. Marc Fauvelle, directeur de l’information de France Inter, et Mme Léa Salamé, journaliste, un courrier les informant de ces saisines et les invitant à faire connaître leurs observations, comme le prévoit le règlement du CDJM, dans un délai de quinze jours. À la date du 13 février 2024, aucune réponse n’est parvenue au CDJM.

Le CDJM en séance a donc revu la saisine et conclut à un fondement partiel

Réuni en séance plénière le 13 février 2023, le CDJM estime « que la règle déontologique d’exactitude et de respect de la véracité n’a pas été enfreinte par la journaliste de France Inter ». Cet avis a été adopté à l’issue d’un vote à égalité des voix (8 pour, 8 contre), départagé par la voix prépondérante de la présidente selon le Règlement intérieur.
De plus, six des conseillers, ayant voté contre la décision de ne pas retenir le grief d’inexactitude et d’atteinte à la véracité, ont tenu à ce que l’expression d’avis minoritaire soit insérée en application de l’article 6 alinéa 4 du règlement intérieur du CDJM. En voilà la teneur :
« En octobre 2023, soit presque trois ans après la première vaccination contre le virus du Covid, la journaliste qui conduisait l’entretien avec le ministre de la Santé ne pouvait ignorer, selon nous, la question des effets secondaires, documentés notamment par les organismes de santé publique. Cette question a également fait l’objet de nombreux traitements dans les médias.
Nous remarquons qu’à la fin de cette interview d’environ vingt-cinq minutes, le thème des effets indésirables est abordé à propos du cannabis thérapeutique.
À nos yeux, les conditions de réalisation (en direct) et le manque de temps pour réagir ne nous paraissent pas suffisants pour justifier l’absence de nuance qu’aurait dû apporter la journaliste aux propos du ministre.»

Les conseillers du CDJM sont donc non seulement bien informés de l’existence des effets secondaires mais aussi considère vraiment que la bonne information du public est une priorité. Donc, seule la voix de la présidente a évité, à la journaliste, le grief d’exactitude ou de véracité. Peut-on y voir un acte de corporatisme où il fallait sauver le bon soldat Léa Salamé ? Elle n’a pourtant pas répondu aux questions du CDJM, ce manque de respect du CDJM aurait pu lui valoir moins de clémence comme en témoigne l’expression minoritaire.

Cependant, le CDJM a évalué par consensus « que le média, éditeur de la séquence disponible en ligne a posteriori, a enfreint celle qui impose de rectifier une erreur ou toute information qui se révèle inexacte de manière rapide, explicite, complète et visible ». Les autres griefs n’étant pas jugés fondés.
En conclusion, la CJR ne juge pas fondé le grief contre Aurélien Rousseau, l’ARCOM non plus, mais le CDJM faisant preuve de plus d’objectivité estime que France Inter n’a pas respecté les règles et il s’en est fallu vraiment de peu pour que Léa Salamé, pourtant journaliste expérimentée, ne se retrouve avec un grief d’exactitude et de respect de la véracité. Gageons qu’à la lecture de la dernière étude publiée et revue par les pairs qui conclut à la non-efficacité de la vaccination et l’aggravation de la maladie postérieurement à la vaccination dans de nombreux cas, la conclusion aurait pu être différente.

Auteur : Napi  
50/312

Date :    10-03-2024 20:41:04


qg.media/blog/laurent-mucchielli/comment-les-industriels-ont-dissimule-les-effets-indesirables-graves-des-vaccins-anti-covid/
10/03/2024


« Comment les industriels ont dissimulé les effets indésirables graves des vaccins anti-Covid »

Laurent Mucchielli

Notre compréhension des vaccins anti-Covid à ARNm et de leur impact sur la santé et la mortalité a considérablement évolué depuis les rapports sur les premiers essais randomisés de phase 3. Des problèmes liés aux méthodes, à l’exécution et aux rapports de ces essais sont apparus. Une nouvelle analyse des données de l’essai Pfizer a mis en évidence une augmentation statistiquement significative des effets indésirables graves (EIG) dans le groupe vacciné. Ces nombreux EIG ont été identifiés depuis l’autorisation d’utilisation d’urgence de ces produits, notamment des décès, des cancers, des incidents cardiaques et divers troubles auto-immunes, hématologiques, reproductifs et neurologiques. Un article censuré à lire sur le blog de Laurent Mucchielli
Auteur : Napi  
51/312

Date :    11-03-2024 13:45:21


lionessofjudah-substack-com.translate.goog/p/world-renowned-cardiologist-raises?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp
26/02/2024

Un cardiologue de renommée mondiale tire la sonnette d'alarme sur les effets secondaires dévastateurs des injections d'ARNm du COVID

Un éminent cardiologue a tiré la sonnette d’alarme sur les effets secondaires dévastateurs des injections d’ARNm du Covid, avertissant qu’il n’avait « jamais été témoin d’un tel préjudice causé par une intervention thérapeutique ».



By Frank Bergman 26 février 2024

Un cardiologue de premier plan a tiré la sonnette d’alarme sur les effets secondaires dévastateurs des injections d’ARNm Covid, avertissant qu’il n’avait « jamais été témoin d’un tel préjudice d’une intervention thérapeutique ».

Le Dr Dean Patterson est un cardiologue consultant de renommée mondiale basé à Guernesey.

M. Patterson est également membre du prestigieux Collège royal des médecins.

Après avoir été témoin du « préjudice » choquant causé à ses patients, l’éminent cardiologue a écrit une lettre au PDG du General Medical Council (GMC).

Il demande instamment qu’une enquête soit menée sur les dommages sans précédent causés par les injections d’ARNm de la COVID-19.

Au cours des 18 dernières années, il explique qu’il a été associé, cardiologue consultant et médecin généraliste au Medical Specialist Group et à l’hôpital Princess Elizabeth de Guernesey.

Guernesey, une île britannique située entre l’Angleterre et la France, compte 63 000 habitants

« D’après mon expérience personnelle, le vaccin contre la COVID-19 m’a causé une inquiétude intolérable pour la sécurité des patients ici à Guernesey », prévient le Dr Patterson.

« Au cours de mes 33 années de pratique médicale, je n’ai jamais été témoin d’un tel préjudice causé par une intervention thérapeutique.

« Au cours de la première année de déploiement, j’ai diagnostiqué 20 patients atteints de myocardite et 15 cas de péricardite, dont un décès (42 ans) et un autre qui a nécessité un DCI (homme de 79 ans) », a-t-il révélé.

Au cours des 16 années précédentes, le médecin diagnostiquait généralement 2 à 3 cas de myocardite par an, les cas graves ne survenant qu’une fois tous les 3 à 4 ans.

Selon les données de l’Office for National Statistics (ONS) du gouvernement britannique pour l’Angleterre et le Pays de Galles, il y a eu 250 admissions à l’hôpital pour myocardite sur une période de 10 ans.

Cela équivaut à une moyenne de 2 cas pour Guernesey sur la même période.

Cependant, au cours de la première année de déploiement du vaccin, il y a eu 10 admissions à l’hôpital pour myocardite.

Au cours de la deuxième année, le médecin a remarqué une augmentation avec 18 cas de myocardite signalés, dont le décès d’une femme de 63 ans.

De plus, le médecin a observé une augmentation du nombre de cas d’insuffisance cardiaque et d’infarctus aigu du myocarde.

L’infarctus aigu du myocarde est une nécrose myocardique résultant d’une obstruction aiguë d’une artère coronaire.

Les symptômes comprennent une gêne thoracique avec ou sans dyspnée, des nausées et/ou une diaphorèse.

« Aussi incroyable que cela puisse paraître, les effets secondaires ne s’arrêtent pas là, car nous avons récemment constaté un doublement du nombre d’accidents vasculaires cérébraux avec une augmentation de la maladie thrombo-embolique globale depuis le déploiement des vaccins contre la COVID-19. »

Pendant ce temps, les cardiologues et les scientifiques traditionnels continuent de blâmer l’infection au Covid comme cause des dommages qu’il voit.

Cependant, Patterson dit qu’il n’a pas diagnostiqué un seul cas de myocardite post-Covid avant le déploiement du vaccin à Guernesey.

L’avertissement de Patterson a émergé après que Slay News ait récemment rapporté un rapport secret troublant du Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

Le rapport du CDC montre qu’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes américains ont été tués par des vaccins Covid.

Près de 500 000 Américains âgés de 0 à 44 ans sont morts des effets secondaires dangereux des injections d’ARNm Covid entre le début du déploiement public des vaccins début 2021 et le 9 octobre 2022, révèle le rapport du CDC.

Cependant, les révélations choquantes du rapport ont été complètement ignorées par les médias institutionnels – les mêmes médias qui ont dit au public que les vaccins étaient « sûrs et efficaces ».


Auteur : Napi  
52/312

Date :    12-03-2024 13:54:27


youtu.be/8fz-LnthnP4?si=q9swn2SGgdR6agPw
12/03/2024 27 min.

Les vaccins - Partie 4

Professeur Didier Raoult
Auteur : Napi  
53/312

Date :    15-03-2024 13:52:43


www.nexus.fr/actualite/entretien/juliawalter/
13/03/2024 8 min.46

Entretien avec Julia Walter, victime post-injection Covid – Vidéo

Le 3 février 2024, Nexus était présent lors des Rencontres citoyennes autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins organisées par l’association Cher Atout Cœur à Vierzon. Plusieurs dizaines de collectifs, associations et intervenants étaient présents. Parmi eux, Julia Walter, victime d’effets secondaires indésirables des vaccins anti-Covid.

Julia Walter nous confie ses trois ans de combat contre les douleurs consécutives aux injections anti-Covid en juin et juillet 2021, et au déclenchement d’une péricardite et d’une spondylarthrite ankylosante. Selon son avocat, maître Emmanuel Ludot, l’Agence européenne du médicament connaissait les risques de myocardite et de péricardite post-vaccinaux dès le mois de mai 2021.
Auteur : Napi  
54/312

Date :    16-03-2024 13:32:29


youtu.be/hXIRj0fVTQ8?si=O_V0sRIqKyoPj93F
15/03/2024 38 min.

Témoignages au Parlement européen de victimes du vaccin Covid

Malgré l'interdiction de l’exposition citoyenne sur les effets du vaccin Covid, rencontre de victimes au Parlement européen et témoignages poignants de leurs combats

Auteur : Napi  
55/312

Date :    17-03-2024 15:03:33


www.aussie17.com/p/shocking-toll-of-experimental-covid
05/03/2024

Le bilan choquant des vaccins expérimentaux contre la COVID-19 dévoilé lors de la conférence de presse de la Corée du Sud : des milliers de morts et de blessés à cause de la thérapie génique expérimentale !
« En raison des effets secondaires des vaccins, il y a eu environ 2 700 décès et environ 19 000 cas graves. » « Ce sont des statistiques officielles, mais on dit que les chiffres réels sont plus de 10 fois plus élevés ! »


Lors d’une conférence de presse émouvante le 26 février 2024, des voix de la communauté civile sud-coréenne ont retenti, appelant à une action immédiate pour remédier aux conséquences tragiques auxquelles sont confrontées les familles des victimes du vaccin COVID-19. Cho Su-kyung, président de la Life Recovery Citizens' Group Coalition, et Kim Doo-kyung, président de l’Association des familles des victimes du vaccin COVID-19, ont fait la lumière sur un grave problème : les effets secondaires graves causés par la thérapie génique expérimentale COVID approuvée à la hâte.

Cho Su-kyung a révélé des chiffres inquiétants, déclarant : « En raison des effets secondaires des vaccins, il y a eu environ 2 700 décès et environ 1 800 (mise à jour d’A17 : erreur de traduction corrigée, désolé je travaille à la vitesse de la science™) 19 000 cas graves. » Elle a ajouté : « Ce sont des statistiques officielles, mais les chiffres réels seraient plus de dix fois plus élevés.Cette révélation stupéfiante met en évidence une crise potentielle de sous-déclaration, dont l’impact réel pourrait affecter des dizaines de milliers de Sud-Coréens.

Étant donné que 96 % des 51,7 millions d’habitants de la Corée du Sud ont été vaccinés, ces chiffres officiels, s’ils sont bien inférieurs aux chiffres réels, brossent un tableau sombre de la sécurité et de la surveillance des vaccins. Avec environ 27 000 décès potentiellement liés aux effets secondaires des vaccins, cela équivaut à environ 1 décès pour 1 915 personnes vaccinées, un taux qui, pour beaucoup, soulève des inquiétudes importantes quant aux risques associés à ces vaccins.

Historiquement, les vaccins ont fait l’objet de rappels ou de restrictions pour beaucoup moins d’événements indésirables. Par exemple, le vaccin antirotavirus Rotashield a été retiré du marché américain en 1999, moins d’un an après son approbation, en raison d’une association avec l’invagination, une forme rare d’occlusion intestinale, survenant à un taux de 1 sur 10 000 à 1 sur 30 000 nourrissons vaccinés. L’ampleur des dommages signalés et estimés dans le cas de la « thérapie génique contaminée par l’ADN » du COVID-19 déguisée en vaccins en Corée du Sud, comme l’ont souligné les intervenants de la conférence, éclipse un tel précédent, remettant en question le seuil d’action.

Cho Su-kyung a critiqué l’absence d’essais cliniques appropriés avant le déploiement des vaccins, soulignant un abus de confiance : « Faisant confiance au gouvernement, ils ont été vaccinés avec des vaccins qui n’avaient pas été correctement testés dans les essais cliniques, perdant des membres de leur famille et épuisant leurs économies sur les coûts de traitement des cas graves, versant des larmes de sang tous les jours.L’appel à la responsabilité est clair, Cho Su-kyung exhortant la Corée du Sud à suivre l’exemple de pays comme la France et l’Allemagne, qui utilisent une approche plus humaine de l’indemnisation des dommages causés par les vaccins.

Kim Doo-kyung a ajouté à la levée de boucliers, mettant en lumière le caractère forcé de la campagne de vaccination malgré l’innocuité non confirmée des vaccins, qui a entraîné des dommages importants tandis que le gouvernement a minimisé les effets secondaires.

La réponse des organismes gouvernementaux, comme l’Agence coréenne de contrôle et de prévention des maladies (KDCA), a été loin d’être satisfaisante, avec des accusations de pratiques trompeuses et un manque de véritable intention d’enquête sur les effets indésirables du vaccin. L’appel à l’action ne vise pas seulement à rendre des comptes, mais aussi à réévaluer la façon dont la sécurité des vaccins et l’indemnisation sont gérés, en exhortant à abandonner l’administration de vaccins expérimentaux sans vérification approfondie ni consentement.

Alors que la Corée du Sud se trouve à la croisée des chemins, les déclarations de Cho Su-kyung et de Kim Doo-kyung résonnent comme une demande de changement – un plaidoyer pour que la nation repense son approche de la santé publique, de la sécurité des vaccins et du caractère sacré de la vie humaine. Le soutien bipartite à l’action législative n’est pas seulement une question de volonté politique, mais un test de l’engagement de la nation envers le bien-être et les droits de ses citoyens.

Auteur : Napi  
56/312

Date :    18-03-2024 14:38:12


youtu.be/VB0VUOFHDM8?si=lcUXHuzlHMvu8LPj
18/03/2024 28 min.

Rencontre au Parlement européen avec l'association "Les Désenfantés"

◄◄23456789101112►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »