Cette réflexion sur Brassens date d'il y a longtemps. C'était à l'occasion d'un hommage au grand artiste.( Avec notamment Maxime le Forestier qui a chanté plusieurs de ses chansons).

J'ai toujours adoré Brassens et j'ai voulu comprendre immédiatement pourquoi cette critique.
Je pense que JJG a été marqué par la shoa qui a touché durement la communauté juive et donc pour lui, ceux qui ont combattu les nazis, méritent qu'on les reconnaisse et qu'on les respecte définitivement.

Autrement dit :
1 / toutes les idées ne se valent pas.
2 / Quand un idéal semble "humaniste", s'il n'existe pas une catégorie d'hommes prêts à sacrifier leur vie pour le faire vivre, ça peut être dangereux.
C'est ce que je comprends.

Mais, je comprends aussi les pacifistes qui estiment que rien ne justifie le sacrifice.
C'est un vrai débat.

Auteur : Bigben  

@posts 30, 31 & 34 : malgré ces précisions (en forme de dénégations) ,
--> je maintiens les propos de mon post 27 : "Oui, en effet, ça se discute, comme la plupart des posts (iconoclastes, voire antinationaux) de la Rosalie (woke, cancel culture ou simplement provoc' -- pour faire son intéressante sur le forum) "
--> et surtout ceux de mon post 29 : "en fait, par son post nauséabond, la Rosalie se croit gagnante sur les deux tableaux : = coup double : elle blackboule "en même temps" un artiste emblématique de la chanson française et un autre, non moins célèbre, de confession juive...
Attention ! veiller à ne pas tomber dans son piège pervers !! "
--> je m'explique : comme on connaît les saint(e)s, on les adore ! ...
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Oui il est évident que JJ.G. a été sur ma marqué par la shoah. Maintenant définir Brassens comme un anarchiste de salon il faudrait quand même se renseigner sur sa vie. Les salons c'était pas son truc.

Je pense aussi que Goldman connaissait le comportement de Brassens pendant la guerre :

[ A Basdorf, petite bourgade située à quelques kilomètres de Berlin, Georges est affecté à l’atelier des cylindres où il s’emploie chaque jour à remettre en état des pièces de moteur d’avion Bramo pour la Luftwaffe.

Le soir, après le travail, il cisèle ses premiers textes et noue de solides amitiés. Il a même accès à un piano.

Pendant ce temps, en France, quelques dizaines de milliers de réfractaires au S.T.O ont rejoint le maquis et se battent contre l’occupant.

En mars 44, alors qu’il est en permission à Paris, Brassens choisit de ne pas retourner en Allemagne. Il se cache quelques mois à la campagne jusqu’à ce que Paris soit libéré en août de la même année. ]

Ce n'est pas parce qu'on a pas l'étoffe d'un héros que le génie de l'artiste en sera affecté mais c'est intéressant de connaître leur bio.
Ce sont des hommes (avec leur qualités et leurs faiblesses) avant d'être des génies.

Auteur : Bigben  

@posts 30, 31, 34, 35 & 38 : malgré ces précisions (en forme d'avalanche de dénégations justificatives de cette dame retorse) ,
--> je maintiens les propos de mon post 27 : "Oui, en effet, ça se discute, comme la plupart des posts (iconoclastes, voire antinationaux) de la Rosalie (woke, cancel culture ou simplement provoc' -- pour faire son intéressante sur le forum) "
--> et surtout ceux de mon post 29 : "en fait, par son post nauséabond, la Rosalie se croit gagnante sur les deux tableaux : = coup double : elle blackboule "en même temps" un artiste emblématique de la chanson française et un autre, non moins célèbre, de confession juive...

Attention ! veiller à ne pas tomber dans son piège pervers !! "

--> je m'explique : comme on connaît les saint(e)s, on les adore ! ...
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En tous cas, merci pour cette petite discussion Christian.
C'est toujours plaisant de pouvoir échanger avec une personne qui cherche à comprendre.

Post 38 Rosalie. Oui on sait que Brassens comme beaucoup de jeunes français est parti en Allemagne pour le STO.. D'autres ont pris le maquis et ont risqué leur vie. Mais nous qu'auriont nous fait si nous avions été là à cette époque ?