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Date : 26-05-2024 11:31:34
. .....................CENDRILLON A MAINTENANT 75 ANS...........
Après une vie heureuse avec son prince charmant, maintenant décédé, elle passe ses journées sur son perron dans une chaise berceuse, à observer le monde, avec son chat Bob sur ses genoux. Elle est heureuse. Par un bel après-midi, dans un nuage, apparait soudain sa marraine, la bonne fée.
Cendrillon lui demande:
— Chère marraine, après toutes ces années, que fais-tu ici ?
— Cendrillon, depuis la dernière fois que je t’ai vue, tu as vécu une vie exemplaire. Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour toi ? Un souhait que je pourrais exaucer ?
Cendrillon est surprise, joyeuse et rouge de confusion. Après y avoir réfléchi un peu, elle murmure:
— J’aimerais être immensément riche. A l’instant même, sa chaise berceuse se change en or massif. Cendrillon est abasourdie. Bob, son chat fidèle, sursaute et se réfugie au bord du perron, tremblant de peur. Cendrillon s’écrie:
— Oh ! Marraine ! Merci !
— C’est la moindre des choses. Quel est ton deuxième souhait ?
Cendrillon baisse la tête et examine son pauvre corps décharné et dit:
— J’aimerais être belle et jeune à nouveau. Presque instantanément, elle retrouve sa beauté d’antan. Cendrillon ressent en elle des sentiments qu’elle n’a pas ressentis depuis longtemps: des élans oubliés, des ardeurs …
— Je peux t’exaucer un dernier souhait. Quel est-il ?
Cendrillon regarde son pauvre chat apeuré et répond:
— Je veux que tu transformes mon chat Bob en un beau et viril jeune homme.
Comme par magie, Bob est transformé en un magnifique mâle, si beau que même les oiseaux ne peuvent s’empêcher d’arrêter de voler et de tomber à ses pieds.
La bonne fée dit:
— Félicitations Cendrillon. Amuse-toi bien dans ta nouvelle vie. Et en un éclair, elle est partie…
Pendant quelques instants magiques, Bob et Cendrillon se regardent tendrement. Cendrillon est comme hypnotisée par le plus bel homme qu’elle n’ait jamais vu.
Puis, Bob s’avance langoureusement vers elle, la prend dans ses bras musclés, lui souffle dans l’oreille un souffle tout chaud et lui murmure:
— Là, tu regrettes de m’avoir fait opérer, n’est-ce pas ?............
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