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POUR NOTRE INFORMATION
Auteur : Theatretmusik 
97/154

Date :    10-07-2024 20:56:10


PATRICKBIGBEN OU 13 CLOCHES AUX TONALITÉS BIEN DIFFÉRENTES QUI PROPOSENT PLUSIEURS VISIONS DE LEUR AIRAIN AFFECTÉ 178

"Honteuse dénégation" de ma part, écris-tu.

Juste parce que j'ai changé le verbe voler par voleter?
Tes battants moqueurs,et malmenés par un cerveau qui ne s'embarrasse pas de vérité sont bien enrayés!

En tout cas, Cloche seule ou Cloches x 13, tu as l'art de faire résonner le n'importe quoi et les bien fausses accusations pour avoir raison!

On ne changera pas PATRICKBIGBEN, pourtant preux chevalier autodéclaré de la Vertu!
Auteur : Bigben  
98/154

Date :    11-07-2024 00:03:08


Ben voui, "on" ne s'improvise pas "forumeur" ...
--> d'autant que l'essentiel (et la moindre des choses) est d'être de BONNE FOI et en accord avec soi-même !
Auteur : Napi  
99/154

Date :    29-07-2024 08:56:15


bam.news/opinions/tribune/lgbtqia-antivax-et-egoistes
28/07/2024

LGBTQIA+, antivax et égoïstes


Les discriminations fondées sur la race ou le genre n'ont plus leur place dans les médias et on ne peut que s’en réjouir. Toutefois, d’autres discriminations sont largement relayées, voire amplifiées, par les médias.
Réalisateur bien connu, Bernard Crutzen dénonce cette “inclusivité” à géométrie variable.

La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques a fait la part belle aux artistes LGBTQIA+ et je n’ai entendu de la part des journalistes belges aucun propos homophobe ou transphobe. Peut-être est‑ce le résultat d’une campagne lancée en novembre 2023 à l’intention des membres de l’Association des Journalistes Professionnels (dont je fais partie). Nous avions tous reçu un dépliant intitulé « Informer sur les thématiques LGBTQIA+ : recommandations et lexique à l’attention des journalistes ».

Conçu par l’ASBL Prisme et soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles, ce document invitait les journalistes à faire preuve de nuance et à utiliser les bons termes lorsqu’ils (ou elles) traitent des questions LGBTQIA+

L’initiative est évidemment louable pour éviter l’invisibilisation, la discrimination ou la stigmatisation dont pourraient faire l’objet les communautés LGBTQIA+, souvent considérées comme marginalisées.

Je ne peux m’empêcher de faire le rapprochement avec une autre thématique sur laquelle les journalistes ont fait preuve d’une rare violence à l’encontre de certains individus sans que l’AJP ou la Fédération Wallonie-Bruxelles appelle à la nuance et au respect. Il s’agit des personnes qui avaient sur la crise sanitaire des attitudes marginales.

Dès qu’un médecin, un scientifique ou un quidam avait une position dissidente par rapport au discours dominant, il était taxé de complotiste, d’antivax ou d’égoïste par la presse.

Certaines personnes victimes de cette stigmatisation font toujours l’objet d’une véritable chasse aux sorcières. Ainsi des médecins sont aujourd’hui encore convoqués et poursuivis par l’Ordre des Médecins pour avoir exprimé publiquement leurs doutes sur la gestion de la crise sanitaire, ou pour avoir soigné leurs patients selon leur conscience.

Le travail des journalistes a un impact sur l’imaginaire collectif nous rappelle le dépliant LGBTQIA+ précité. Il n’est donc pas surprenant qu’une majorité de lecteurs et auditeurs aient considéré que les personnes qui critiquaient le narratif officiel du Covid‑19 représentaient un danger réel pour la société.

Le terme le plus galvaudé dans la presse a été celui de complotiste, usé jusqu’à la racine, alors qu’apparaissent aujourd’hui les contours d’un véritable scandale sanitaire à l’échelle planétaire. S’ils ne parlent évidemment pas de complot, les journalistes commencent à comprendre que la campagne vaccinale a des relents d’opération commerciale à l’échelle mondiale, dans laquelle ont trempé la Commission Européenne et les agences de régulation, gangrénées par les partenariats public‑privé. Le contrat signé entre la Commission Européenne et Pfizer est désormais disponible (Il est visible ici) et on découvre avec effarement combien les quatre mots « vaccin sûr et efficace » reposaient sur des études scientifiques bancales. Par ailleurs, un collectif allemand a démontré que le vaccin commercialisé par Pfizer est différent de celui qui a reçu l’autorisation de l’Agence Européenne du Médicament. Les complotistes avaient donc raison de se méfier des belles promesses brandies par les autorités et les laboratoires pharmaceutiques.

Antivax est un autre substantif dont les journalistes ont abusé, amalgamant ainsi des personnes aux vécus très divers. Des dizaines de spécialistes ont exprimé leur doute sur la sécurité des injections « innovantes » à ARNMessager et se sont vus traités illico d’antivax alors que durant toute leur carrière ils avaient prôné la vaccination contre d’autres infections. La presse les a pourtant jetés sans égard dans le même panier que les antivax purs et durs, ceux qui refusent toute vaccination, même obligatoire. Voir par exemple cet édito de la DH : « Ces antivax qui retardent notre retour à la liberté »

Le terme le plus scélérat utilisé par les journalistes durant cette sombre période fut celui d’égoïstes. Les médias[1] désignaient ainsi à la vindicte populaire ces irresponsables qui, en refusant les mesures sanitaires, mettaient leurs concitoyens en danger. La réalité était (et est toujours) bien différente. La plupart de celles et ceux que j’ai rencontrés avaient au contraire le souci de conscientiser le plus largement possible sur l’absurdité, voire la dangerosité de certaines mesures autoritaires prises sous l’effet de la panique — ou de l’ingénierie sociale. Ce sont les mêmes qui aujourd’hui alertent sur les effets secondaires des injections à ARNMessager alors qu’ils ne sont pas vaccinés et ne risquent pas de souffrir d’effets indésirables. Le terme d’égoïste est donc pour le moins inapproprié.

Il me semble important que les journalistes soient mieux outillés lorsqu’ils abordent les thématiques liées à la crise sanitaire. Mal nommer, stigmatiser, invisibiliser les personnes qui ont une attitude marginale ou divergente sur ces questions constituent une forme de discrimination. Au contraire, représenter ces personnes dans l’actualité donne de la perspective, raconte de nouvelles histoires et évite la désinformation.[2]

Je me suis amusé à rédiger un PETIT LEXIQUE qui présente, avec une certaine ironie, le minimum de vocabulaire que tout journaliste devrait connaître pour parler des personnes marginalisées lors de la crise Covid‑19. Peut‑on espérer que lors de la prochaine pandémie[3], les médias évitent les termes dénigrants, inappropriés ou stéréotypés ? A moins que sur ce sujet, il n’y ait définitivement plus aucune nuance possible…


Choisir les bons mots
Ebauche de lexique à l’attention des journalistes.

Antivax

(substantif ou qualificatif) Opposé à toute forme de vaccination. A ne pas confondre avec une personne opposée à l’injection d’ARNMessager, puisque cette technologie nouvelle ne répond pas à la définition d’un vaccin : elle n’empêche ni la transmission ni la contagion.

Coïncidence

Mot utilisé par les « pro‑vaccins » pour désigner un effet secondaire grave d’origine inconnue et survenant après la vaccination. On écarte a priori tout lien de causalité.

Complotiste (ou adepte des théories conspirationnistes)

Désigne une personne qui pense qu’il y a un complot ou une conspiration derrière de grands événements lorsque certains détails paraissent inexplicables. On notera que le complotiste a parfois vu juste avant les canaux d’information conventionnels. Ainsi, les personnes qui prétendaient que le virus Sars‑Cov2 était né en laboratoire étaient traitées, notamment dans le quotidien Le Soir, de complotistes[4], l’OMS affirmant alors qu’il était d’origine naturelle.
Quelques mois plus tard, l’OMS a revu sa copie en n’excluant plus la piste d’une fuite de laboratoire.[5]

Coronacircus

Terme probablement inventé par le journaliste Yves Rasir (Néosanté) dès janvier 2020. Suppose que la pandémie et sa gestion fut un grand cirque.

Covidiste

Personne ou entité défendant le narratif officiel sur la gestion de la pandémie Covid19. Exemple : Durant la pandémie, certains covidistes ont pratiqué la délation avec zèle.

Covidosceptique

Personne qui doute de l’origine naturelle du virus Sars‑Cov2 ou de la gravité de la maladie qu’il provoque. Ce scepticisme se nourrit notamment de la manipulation des statistiques et de la faible fiabilité des tests PCR. Voir à ce sujet le livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels » du statisticien français Pierre Chaillot.

Endormis

Ce terme péjoratif est utilisé par les éveillés pour désigner les personnes qui ne cherchent pas à comprendre, hypnotisées par la répétition du récit officiel.

Eveillés

Mot par lequel se reconnaissent les personnes qui pensent avoir compris les véritables intentions derrière les mesures sanitaires, par opposition aux endormis. Les éveillés se distinguent des complotistes parce qu’ils se limitent aux faits, et non à leur interprétation.

Fact‑checking

Activité éditoriale consistant à vérifier des faits énoncés par des personnes en désaccord avec l’information officielle. Une fois analysés, les faits sont taxés de fake news et l’auteur accusé de désinformation. Certains médias ont leur propre équipe de fact‑checking. Elle est parfois financée par les autorités ou des lobbies. On notera que contrairement à une démarche journalistique, le fact‑checking ne cherche pas à donner la parole à l’auteur de la prétendue désinformation.

Médias de grand chemin

Expression probablement inventée par le journaliste Slobodan Despot (Antipresse) pour désigner les médias mainstream.

Mougeons

Mot valise, formé de moutons et pigeons. Utilisé par les éveillés pour désigner ceux qui suivent les mesures sanitaires (et plus largement les informations officielles) sans se poser de question sur leur bien‑fondé.

Myocardite

Inflammation du muscle cardiaque. Aux Etats‑Unis, la pharamacovigilance VAERS[6] signale une augmentation des myocardites de 2000 % (X 20) chez les hommes jeunes qui ont accepté une injection à ARNMessager (Pfizer ou Moderna)

Narratif

Dérivé de l’anglais narrative qui signifie « récit ». Exemple : le narratif Covid‑19 présente de nombreuses incohérences.

Pharmacovigilance

En Belgique, la pharmacovigilance est assurée par l’AFMPS. Dans le cadre du Covid‑19, l’agence est censée répertorier et analyser les signalements d’effets secondaires après la vaccination. Dans les faits, ces signalements sont rares parce que la procédure est fastidieuse pour le déclarant, et donc les statistiques sous‑estiment la réalité.

Résistant

(substantif ou qualificatif) Mot par lequel se désignent les personnes qui contestent le bien fondé de certaines mesures sanitaires ou refusent de les appliquer (port du masque, distanciation sociale, vaccination...) Certains résistants s’opposent également à l’avènement de l’identité numérique ou la disparition du cash, accélérés par la crise sanitaire.

Transvacciné(e)

Personne qui n’est pas vaccinée mais qui s’identifie comme vaccinée, et demande qu’on respecte sa singularité.

Vaccino‑sceptique

Personne sceptique sur l’efficacité et/ou la sécurité des vaccins. Le vaccino‑sceptique questionne notamment la pertinence des études cliniques qui ont permis de délivrer très rapidement une autorisation de mise sur le marché des vaccins Covid 19.

Virocrate

Désigne un virologue ayant une vision technocratique de la gestion d’une épidémie.


Bernard Crutzen
Réalisateur documentaire.

Auteur : Napi  
100/154

Date :    22-08-2024 19:13:16



"En France, la chasse aux sorcières est ouverte. Sont qualifiées de sorcières les voix dissidentes qui oseraient s’élever contre la doxa en vigueur."


www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2024/08/21/france-soir-perd-son-agrement-de-service-de-presse-en-ligne_6289648_3236.html
21/08/2024

« France-Soir » perd son agrément de service de presse en ligne

Le tribunal administratif de Paris a confirmé la décision de la Commission paritaire des publications et agences de presse. Selon cette dernière, les contenus du site, qui avait trouvé une nouvelle notoriété durant la pandémie de Covid-19, peuvent constituer un danger pour la santé publique.
Auteur : Napi  
101/154

Date :    23-08-2024 14:24:08



Tous les médias vont se précipiter pour relayer l'info...


bonsens.info/victoire-de-la-science-sur-la-fraude-larticle-estimant-17000-deces-dus-a-lhydroxychloroquine-a-ete-retracte/
22/08/2024

Victoire de la Science sur la fraude : l’article estimant 17000 décès dus à l’hydroxychloroquine a été rétracté


Après de longs mois et de nombreuses heures de travail pour démontrer que l’étude Pradelle / Lega n’avait aucune valeur scientifique, toute l’équipe de BonSens.org se réjouit de la rétractation de la publication de cette étude. Nous félicitons tous les scientifiques de BonSens.org qui ont participé à démontrer que cette étude ne méritait pas d’être publiée tant elle était entachée de graves biais et erreurs.

BonSens.org félicite également les chercheurs Vincent Pavan et Emmanuelle Darles, ainsi que de nombreux autres scientifiques moins connus, qui ont participé à faire gagner la Science.

Le 19 août 2024, les scientifiques auteurs de la lettre de préoccupation (Letter of Concern) sur la fraude scientifique Pradelle/ Lega, apprenaient que l’éditeur de la revue Biomedicine & Pharmacotherapy annonçait la rétraction imminente de cette étude.

Aujourd’hui c’est chose faite : l’article a été rétracté.

Il aura donc fallu 8 mois et quelques jours pour que l’étude Pradelle / Lega soit rétractée alors que pour l’étude frauduleuse du Lancet sur l’hydroxychloroquine, cela avait pris 14 jours.

La rétraction de l’étude du Lancet (#LancetGate) avait été faite par l’auteur principal qui avait échoué à montrer l’origine des données, une démonstration de « bonne foi » devant l’attention mondiale reçue par cette étude à l’époque.

Dans le cas de l’étude Pradelle /Lega, nous assistons à une rétraction par l’éditeur après la mise en place du processus COPE (Comité d’Ethique des Publications), à la suite de la prise en considération des observations externes qui avaient été communiquées aux auteurs.

Ces considérations avaient également été communiquées au Pr Molimard de l’université de Bordeaux, qui avait effectué la promotion de cette étude dans les médias, alors que pourtant il avait été aussi informé des nombreuses critiques en échanges avec les auteurs de la lettre de préoccupation. De toute évidence, cela était la preuve d’une volonté des auteurs de faire perdurer cette étude frauduleuse, et par la même, de contribuer à la désinformation.

Conformément à ses statuts, Bonsens.org souhaite que les conséquences pénales de cette étude frauduleuse soient tirées.

Voici traduit en français ce que dit la revue au sujet de cette rétractation :

« Après la publication, la Revue a été informée du débat des lecteurs sur cet article. La Revue a reçu un certain nombre de lettres à l’éditeur et de correspondance de lecteurs. Le plan, tel que publié dans une première version d’une note de l’éditeur, était initialement de publier ces lettres à l’éditeur, après que les auteurs de l’article ci-dessus aient eu le droit de répondre et de soumettre une réponse (qui serait également publiée, après examen).

Après avoir évalué toutes les informations à ce stade, ainsi que l’étendue et la profondeur des critiques, le rédacteur en chef a pris la décision de changer d’approche et de traiter cette question par le biais du processus du Comité d’éthique des publications (COPE) pour les corrections du dossier scientifique : https://publicationethics.org/

À l’issue de ce processus et après un examen attentif de toutes les informations disponibles, cet article a été retiré à la demande du rédacteur en chef.

La décision de se rétracter a été prise en raison de deux problèmes majeurs.

1. Fiabilité des données et choix des données. Les données belges en particulier se sont révélées peu fiables, sur la base d’estimations.

2. L’hypothèse selon laquelle tous les patients admis à la clinique étaient traités de la même manière pharmacologiquement était incorrecte.

Les deux problèmes mentionnés ci-dessus ont conduit le rédacteur en chef à considérer que les conclusions de l’article n’étaient pas fiables et que, par conséquent, l’article devait être rétracté. »

En d’autres termes, le processus COPE reconnait un problème majeur dans la fiabilité des données et le choix des données, ainsi que un problème majeur lié à l’hypothèse selon laquelle tous les patients admis en clinique recevaient la même dose de médicament.

Ce dernier point est crucial, car justement il soulève le grave problème des doses massives d’hydroxychloroquine reçus par les patients hospitalisés en phase tardive de l’étude RECOVERY, (dose 4 fois supérieure à la dose acceptée chez l’homme) ce qui n’était pas du tout la pratique normale dans les hôpitaux en général dans le monde.

C’est une grande victoire pour tous ceux qui travaillent sans relâche, et sans aucun conflit d’intérêt, pour que la science ne soit pas capturée par quelques incompétents notoires.

Auteur : ElfeArcher 
102/154

Date :    24-08-2024 07:42:41


Serge.
Il ne va plus rester grand chose au Bpox comme arguments.
Auteur : Doune13 
103/154

Date :    24-08-2024 10:12:52


@142 Serge

Sûr que Cavous va se précipiter dès la rentrée pour inviter le Molimard afin qu'il revienne sur ses affirmations mensongères et diffamatoires.
Et c'est P. Cohen qui voue une haine absolue à Raoult depuis qu'il a été confronté par ce dernier à ses âneries sur certaines vaccinations qui va l'interroger
Auteur : Napi  
104/154

Date :    24-08-2024 10:56:59



@Franck P.143
Les "arguments" de Thêatre&Mensonges, c'est "antivax" et "complotiste" !


@Jo P.144
J'ai pensé à la même chose que toi que toi !

youtu.be/vOwGMEdDoJ4?si=78Sz1iG30etmp9V0
Didier Raoult a-t-il exposé 30 000 patients à un traitement inefficace ? - C à vous - 29/05/2023 10 min.

youtu.be/c4q3pTYPfcQ?si=jNQKj2DOYBt3G7jn
Désinformation médicale : les dérives des réseaux sociaux - C à Vous - 29/01/2024 11 min.

Voici les premiers mots d'Anne-Cécile Lemoine sur le sujet "Désinformation Médicale" :

"C'est une vidéo postée par le porte-parole d'une association "antivax""...



-> Elle parle de Marc Doyer, et de VerityFrance, qui regroupe les victimes du "vaccin-covid"...

Les victimes du vaccin-covid sont donc des "antivax" !!!...

Luttons contre la désinformation, Anne-Cécile Lemoine !

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