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POUR NOTRE INFORMATION
Auteur : Napi  
113/154

Date :    27-08-2024 19:14:21


www.lemonde.fr/pixels/article/2024/08/27/mark-zuckerberg-regrette-d-avoir-supprime-certains-contenus-lies-au-covid-19-sous-la-pression-de-l-administration-biden_6296755_4408996.html
27/08/2024

Mark Zuckerberg « regrette » d’avoir supprimé certains contenus liés au Covid-19 sous la pression de l’administration Biden

Dans un courrier adressé au président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants aux Etats-Unis, le patron de Meta affirme avoir depuis fait évoluer les politiques et les procédures de modération des contenus sur ses réseaux sociaux.


C’est une lettre qui fera date, aux Etats-Unis, dans les rapports entre plates-formes numériques et Maison Blanche. Lundi 26 août, le PDG de Meta (Facebook, Instagram), Mark Zuckerberg, a affirmé dans un courrier adressé à une commission du Congrès américain que l’administration Biden avait « fait pression sur [ses] équipes pendant des mois pour qu’elles censurent certains contenus liés au Covid-19 ».

Dans sa missive envoyée au président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, Jim Jordan, et rendue publique par les républicains qui en sont membres, Mark Zuckerberg considère que cette « pression du gouvernement était une erreur ». « Je regrette que nous n’ayons pas été plus francs à ce sujet », écrit-il encore.

Ces déclarations surviennent à un peu plus de deux mois d’une élection présidentielle américaine marquée par une vague de désinformation sur les réseaux sociaux, concernant notamment les candidats au scrutin. Une vague qui s’accompagne de vifs débats sur la modération des contenus : ces derniers mois, les républicains du Congrès ont pris pour cible les plates-formes sociales et les entreprises du secteur des nouvelles technologies, les accusant de supprimer ou de censurer les opinions conservatrices.


L’ombre de l’affaire Hunter Biden

Concernant les contenus liés au Covid-19 ayant fait l’objet, selon Mark Zuckerberg, de demandes de « censure », le patron de Meta reconnaît avoir « fait certains choix que nous ne ferions pas aujourd’hui avec le recul et les nouvelles informations dont nous disposons ». Et de poursuivre : « Comme je l’ai dit à nos équipes à l’époque, j’ai la ferme conviction que nous ne devons pas compromettre nos normes de contenu sous la pression d’une administration, quelle qu’elle soit, et nous sommes prêts à réagir si une telle situation se reproduit. »

Outre la pandémie, Mark Zuckerberg relate l’épisode des accusations ayant ciblé en marge de la précédente élection présidentielle états-unienne « la famille Biden », autrement dit le fils de l’actuel chef d’Etat américain, Hunter Biden. « Le FBI nous a mis en garde contre une opération de désinformation russe potentielle concernant la famille Biden et [la société gazière ukrainienne] Burisma avant les élections de 2020 », écrit-il.

Un article du New York Post relatant les faits reprochés à Hunter Biden avait alors été publié et partagé sur les réseaux sociaux de Meta, avant que Mark Zuckerberg et ses équipes en limite temporairement la distribution par son algorithme de recommandation, dans l’attente d’une vérification indépendante. « Depuis, il a été clairement établi qu’il ne s’agissait pas de désinformation russe et, rétrospectivement, nous n’aurions pas dû rétrograder l’article », estime le fondateur de Facebook.

Après cet épisode, la marche à suivre a évolué chez Meta : « Nous avons modifié nos politiques et nos procédures pour nous assurer que cela ne se reproduise plus – par exemple, nous ne rétrogradons plus temporairement les articles aux Etats-Unis en attendant la réponse des vérificateurs de faits. »

En conclusion de cette lettre, qualifiée par les républicains de « grande victoire pour la liberté d’expression », Mark Zuckerberg affirme aussi qu’il ne contribuera plus financièrement au soutien de l’infrastructure électorale des Etats-Unis. Des dons que sa femme et lui avaient fait à des organismes non partisans afin d’aider à l’organisation, en pleine pandémie, de l’élection présidentielle de 2020 lui avaient été reprochés par des responsables politiques du Parti républicain. Ces derniers estimaient alors que les contributions de Mark Zuckerberg avaient avantagé le camp démocrate. Des accusations dont veut désormais se défaire le milliardaire : « Mon objectif est d’être neutre et de ne pas jouer un rôle dans un sens ou dans l’autre, ni même de donner l’impression de jouer un rôle. »

Auteur : Doune13 
114/154

Date :    28-08-2024 10:25:00


Gérald Kierzek a posté ceci hier sur X et que je reprends volontiers pour les obtus de tous bords:

" Du journalisme d'enquête et d'objectivité dans un monde scientifique et médical devenu binaire, opposant les uns les autres sans nuance possible. Livre salvateur à lire d'urgence. ../.."

pbs.twimg.com/media/GS_acP-W0AArfKy?format=jpg&name=small

Résumé:
Quand l’obscurantisme n’est pas là où on le croit

Depuis une dizaine d’années, il est courant d’entendre parler d’une menace obscurantiste liée à une montée de l’irrationnel qui se manifesterait principalement par une défiance vis-à-vis de la vaccination et de la médecine conventionnelle. Mais l’obscurantisme peut aussi se trouver là où l’on se targue de le combattre. Il n’est alors plus le fait de populations marginales ou contestataires, mais celui d’une pensée dominante qui se présente comme celle de la science et de la rationalité.
L’objet de ce livre est de lever le voile sur cet obscurantisme au pouvoir. À travers de nombreux exemples, de la recherche empêchée sur des phénomènes inexpliqués tels que les expériences de mort imminente au vaste champ médical où l’industrie pharmaceutique s’est accaparé la possibilité de prouver l’utilité d’un traitement, Brice Perrier dévoile comment la raison se transforme en dogmatisme et entrave l’avancée de la connaissance.
Le propos de l’ouvrage n’est pas de dire ce qui est vrai ou faux ni de trancher dans des controverses scientifiques, mais de comprendre pourquoi ces débats, qui ont toujours été légitimes et même nécessaires en science, peuvent tout simplement ne plus avoir droit de cité.
 
Journaliste indépendant, Brice Perrier a notamment travaillé pour Marianne, Blast et Factuel où il traitait de sujets scientifiques et médicaux. Il tient désormais une lettre d’information qui leur est dédiée : Raison Sensible. Il est l’auteur de Sars-CoV-2, aux origines du mal (Belin, 2021) et Qui a peur du Saint Suaire ? (Florent Massot, 2011).
Auteur : Napi  
115/154

Date :    28-08-2024 18:14:48


@Jo P.153 : Merci !

youtu.be/j9I-EvKw4mI?si=4TPYIkiLsnwhOIIM
28/08/2024 20 min.

Molibobard et les 40 escrocs... et après, c'est France-Soir qui trinque ?!!!

La place des escrocs de la science comme Mathieu Molimard, Gilbert Deray, Antoine Flahault, Karine Lacombe (etc.) est en taule !
Alors que c'est France-Soir, le seul titre historique de la presse française à avoir diligemment et honnêtement informé la population, qui est attaqué par la dictature macronienne et ses sbires des médias prostitués...


Jean-Dominique Michel

Auteur : Napi  
116/154

Date :    29-08-2024 08:46:11


www.anticor.org/2024/08/28/violation-de-letat-de-droit-le-gouvernement-ne-respecte-pas-son-obligation-de-reexaminer-la-demande-dagrement-danticor/
28/08/2024

Violation de l’état de droit : le gouvernement ne respecte pas son obligation de réexaminer la demande d’agrément d’Anticor


Alors que la justice administrative a ordonné au gouvernement, le 9 août dernier, de réexaminer la demande d’agrément d’Anticor et de produire une décision motivée sous 15 jours, le Premier ministre fait aujourd’hui encore le choix du silence et viole l'État de droit.

Le 26 juillet dernier, après une prolongation de deux mois de l’instruction du dossier de demande d’agrément d’Anticor, le Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal avait gardé le silence, refusant implicitement de rendre à l’association sa capacité à agir.

Anticor a contesté ce nouveau refus implicite et une audience s’est tenue le 7 août 2024 devant le Tribunal administratif de Paris, à laquelle le Premier ministre n’était ni présent ni représenté.

Le 9 août 2024, la justice administrative a suspendu le refus du gouvernement et a enjoint au Premier ministre de réexaminer la demande d’agrément d’Anticor dans un délai de quinze jours à compter de la notification de sa décision.

Le Tribunal administratif a pointé l’absence totale de motifs justifiant le refus d’agréer l’association, créant « un doute sérieux sur la légalité de la décision attaquée ».

15 jours plus tard, le Premier ministre a fait fi de la décision du juge des référés, qu’il n’a pas contestée, plaçant le gouvernement dans une illégalité grave.

Le non-respect de cette décision de justice constitue une inquiétante violation de l’état de droit et s’inscrit dans une longue stratégie d’évitement, savamment mise en place par l’exécutif pour ne pas renouveler l’agrément d’Anticor.

Le non-respect de la décision exprime, en outre, le peu de cas que le gouvernement fait de la lutte contre la corruption, alors même que le juge administratif a reconnu l’intérêt public attaché aux missions de l’association.

En effet, après deux refus implicites concernant une demande de renouvellement de l’agrément, l’exécutif a renforcé la dénaturation de cette procédure de délivrance en annonçant, le 2 mai dernier, “mettre en attente” de manière abusive la demande de l’association.

Aujourd’hui, en ne respectant pas la décision du Tribunal administratif, le gouvernement franchit un cap inédit dans son mépris de la lutte anti-corruption, en passant outre une décision de justice.

« Les gouvernements successifs ont commis de nombreuses illégalités pour ne pas renouveler l’agrément d’Anticor. Mais aujourd’hui, une ligne a été franchie. En ne respectant pas une décision de justice, le Premier ministre viole l’état de droit et envoie un message délétère aux citoyens. » Paul Cassia, président d’Anticor

Anticor continuera de se battre sur le plan judiciaire pour retrouver sa capacité à agir. L’association a déposé ce matin plusieurs recours devant le Tribunal administratif de Paris contre le nouveau refus implicite du gouvernement. Elle continuera également de dénoncer le silence coupable d’un gouvernement démissionnaire qui entrave gravement la lutte contre la corruption.

Auteur : Bigben  
117/154

Date :    29-08-2024 14:55:07


en écho au post qui précède : quand un gouvernement (même "démissionnaire" ) refuse d'obtempérer à une sommation judiciaire (sans faire appel) ,
--> il se met en marge de la "démocratie"
--> et devient donc, au sens strict, "hors-la-loi" ...
--> = quel "bel" exemple pour les citoyens !
/ /
N.B. : étonnant (et scandaleux) aussi le comportement au volant de certains "représentants du peuple" (qui se croient "tout permis" )
--> www.ladepeche.fr/2024/08/28/le-depute-lfi-de-marseille-sebastien-delogu-arrete-pour-avoir-roule-sur-une-voie-de-bus-a-contresens-12163194.php
--> ou encore : www.planet.fr/politique-cocaine-refus-dobtemperer-joachim-son-forget-ex-depute-lrem-juge-ce-29-aout.2969318.29334.html
--> et surtout : www.lepoint.fr/societe/tragedie-de-mougins-la-gauche-aux-abonnes-absents-29-08-2024-2568890_23.php
Auteur : Napi  
118/154

Date :    30-08-2024 09:21:33



"Facebook : les comploteurs et les gentils !
Avoir tenté de rappeler la connaissance et la réalité face à une presse déchainée de bêtise et de passion a amené à créer la notion de ''complotiste'' pour définir ceux qui pensaient savoir que l’information martelée ne représentait pas la réalité.
Le livre de R.F Kennedy Jr ( Antony Fauci, Bill Gates, Big pharma) est franchement éclairant, écrit par un homme au cœur du système ! Lisez-le !
Seuls les imbéciles pouvaient croire que la chloroquine ou hydroxychloroquine prescrites à des milliards de personnes étaient brutalement devenues toxiques et tuaient 10% des gens qui en prenaient. C’est le mur de la bêtise, répétée jour et nuit par des diffuseurs de fausses informations (je n’ose pas appeler cela des journalistes) dont le vrai Maître est Goebbels : ''Si vous répétez suffisamment avec suffisamment d’arguments, vous pouvez faire passer un rond pour un carré ''.
Je ne sais pas comment on casse le mur de la bêtise. Les révélations successives d’Elon Musk sur twitter devenu X et les aveux récents de Zuckerberg sur la falsification de l’information permettront peut-être d’avoir une éclaircie sur le mensonge d’État qui n’est malheureusement le privilège d’aucune politique avec une ampleur qui devient parfois spectaculaire.
Je le sais depuis longtemps et l’ai décrit pour la crise fantaisiste de l’anthrax dans mon livre ''Épidémies : vrais dangers et fausses alertes'' .
Le pouvoir rend fou, les contre-pouvoirs actuels sont inefficaces pour empêcher la puissance des pouvoirs financiers avec des fonds de pensions ayant des budgets à la hauteur du 3ème budget mondial des nations (Blackrock après les USA et la Chine et Vanguard à la 7ème position mondiale).
Pensez-vous que nos outils puissent lutter contre ces monstres ?"

Professeur Didier Raoult, le 29/08/2024
Auteur : Napi  
119/154

Date :    30-08-2024 22:10:21



À voir absolument

www.youtube.com/live/CNYUgtz7Qgg?si=zSLwkhwwggF68JR0
30/08/2024 2h20

Comment la presse a menti pour salir Didier Raoult ! | Idriss Aberkane reçoit Xavier Azalbert et Martin Zizi


« L’histoire se répète, la première fois comme une tragédie, la deuxième fois comme une farce ». La tragédie fut le Lancetgate, par lequel un groupe de margoulins incluant une ancienne actrice pornographique ( !) falsifia d’immenses volumes de données médicales pour déclarer que l’hydroxychloroquine aurait tué des centaines de millions de gens de par le monde. Las, cette étude a fini là où elle avait commencé : dans les poubelles de la science, mais non sans avoir été blanchie massivement par la presse du même métal et par le Ministre Olivier Véran qui, friand de cette malbouffe intellectuelle, la citera abondamment devant le Parlement.

La Face maintenant, cette pathétique étude dirigée par Jean-Christophe Lega, qui de la même manière, l’actrice porno en moins, bidouillera un modèle pseudoscientifique pour affirmer péremptoirement que le Professeur Raoult serait responsable de 17 000 morts rien de moins... Elle aussi rétractée parce que bidon, elle aussi abondamment blanchie dans la presse-poubelle, elle aussi citée par Olivier Véran et ses séides... farce donc, même si les seuls morts de cette étude eussent été ceux que le ridicule aurait encore pu tuer.

Nous analysons les méthodes sans scrupules de l’industrie pharmaceutique pour blanchir de telles désinformations avec Xavier Azalbert, refondateur du journal citoyen France Soir et le Professeur Martin Zizi qui enseigne la physiologie à l’Université Libre de Bruxelles.
Auteur : Napi  
120/154

Date :    01-09-2024 09:52:38


www.limpertinentmedia.com/post/gouvernements-vs-reseaux-sociaux-la-guerre-a-commence?utm_campaign=7791ab6c-56ce-4f5e-95b1-7a8518c23392&utm_source=so&utm_medium=mail&cid=ab536bef-976a-4d81-a03b-b92b43079764
01/09/2024

Gouvernements VS réseaux sociaux: la guerre a commencé

Pressions, interdiction et arrestation: la semaine a été chargée pour les dirigeants des plus gros réseaux sociaux de la planète. Les autorités de différents pays s’immiscent de plus en plus dans les affaires de ces géants de la tech, sous les yeux de citoyens dont certains sont inquiets pour l’avenir de la démocratie et de la liberté d’expression.


Le fondateur et PDG de la messagerie Telegram, Pavel Durov, a été arrêté par les autorités françaises le 24 août dernier, dans le cadre d’une enquête criminelle. Il est accusé de nombreux délits, dont le refus de coopérer avec les autorités et la complicité de crimes s’organisant sur sa plateforme, tels que le trafic de stupéfiants, la pédocriminalité, l’escroquerie ou le blanchiment en bande organisée. Quatre jours plus tard, Pavel Durov a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire.

Depuis, la France flirte avec l’incident diplomatique. Non seulement cela la met dans la position délicate d’avoir franchi un pas que même Poutine n’a pas franchi, mais en plus les Emirats Arabes Unis, où Telegram est juridiquement installée, ont réagi immédiatement à l’arrestation de Pavel Durov, demandant à ce qu’il ait accès «de toute urgence à tous les services consulaires».

Les rumeurs fusent sur internet et dans la presse. Le Canard enchaîné a par exemple laissé entendre que Pavel Durov était tombé dans le piège d’un Emmanuel Macron qui l’aurait invité à dîner ce soir-là, alors que le chef de l’Etat était au Touquet au même moment. On a également pu lire ici ou là que les Emirats arabes unis avaient gelé l’achat de Rafales. Il semblerait que ce soit faux également.

Il y a quatre mois, Pavel Durov expliquait à Tucker Carlson, lors d’une interview, que la véritable menace rencontrée par Telegram ne venait pas des gouvernements, mais de Google et Apple, qui peuvent décider de retirer l’application de leur store en cas de refus de collaborer avec eux.

En Suisse, le directeur de Proton, Andy Yen, a réagi dans une interview passionnante pour Le Temps, dans laquelle il déclare notamment que «nous sommes aujourd’hui sur une tendance qui nous éloigne de la liberté d’expression. Or celle-ci est l’un des principes fondamentaux de la démocratie. Nous sommes dans un monde où les autocrates gagnent de plus en plus de pouvoir. Je suis donc très inquiet.»

Car, désormais, le principe même du chiffrement (qui permet de protéger les conversations des utilisateurs) est remis en question. Les réseaux sociaux doivent-ils autoriser tous les échanges sur leur plateforme au nom de la liberté d’expression, y compris quand ceux-ci contreviennent à la loi de tel ou tel pays? Andy Yen a son avis sur la question: «Je reconnais que le chiffrement a des inconvénients et peut permettre à des criminels de communiquer, explique-t-il encore au Temps. Mais en tant que société, je pense que nous devons l’accepter parce que la solution alternative, c’est la fin de la vie privée. Ce qui est bien pire. Si nous ne faisons pas les choses correctement, je pense que ce qui est en jeu est de savoir si la démocratie peut survivre au XXIe siècle.»


«C’est un message au monde de la tech qui voudrait protéger la vie privée des citoyens»


Pour Fabrice Epelboin, entrepreneur et expert en cybersécurité, la situation est claire: «Si on part du principe qu’on est entré dans l’ère de l’arbitraire, ça tient debout. C’est un signal lancé au monde de la tech qui voudrait protéger la vie privée des citoyens, c’est cohérent avec les menaces de Thierry Breton face à Elon Musk et la réglementation Chat Control. Les mêmes principes que pour les Twitter Files sont à l’œuvre.»


Meta et les aveux de Zuckerberg

Si les Twitter Files n’avaient pas suscité l’esbrouffe qu’un tel scandale aurait mérité au moment de leur divulgation par Elon Musk, les choses ont changé cette semaine. Mark Zuckerberg a admis, dans une lettre au président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, que Facebook avait bien contribué à censurer les voix dissidentes pendant la pandémie de Covid, dont celle du Dr Jay Bhattacharya, de Stanford.




lemediaen442.fr/bresil-un-juge-interdit-reseau-social-x-et-une-amende-de-8000-euros-pour-ceux-qui-utilisent-un-vpn/
31/08/2024

Brésil : Un juge interdit le réseau social X et les citoyens risquent une amende de 8000 euros s’ils utilisent un VPN

Elon Musk et son réseau social X sont au cœur d’un conflit avec le gouvernement brésilien, qui a ordonné la suspension de la plateforme pour des raisons politiques. Musk dénonce une attaque contre la liberté d’expression, tandis que le Brésil accentue sa censure numérique.

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