Auteur : Shangai  

Stop pour moi !!!
Je ne suis pas ni ; ta chère amie , ni ta chère ; ni m'dame
Tu es quelqu'un d'irrespectueux et lâche bien caché derrière ton écran .

Auteur : Bigben  

@posts 379, 380 & 381 : quelle violence verbale !
--> mais, voyez-vous, ... "chères amies" , je ne demande qu'une chose, pourtant simple : ne plus être la CIBLE "privilégiée" de certains forumeurs (exemple encore : le post de la fabinou qui DÉNATURE hier, elle aussi, sur un autre topic, mes propos datant de... seize jours auparavant ! )
N.B. : et j'en ai plus que soupé
--> de ce ton INJURIEUX à mon encontre ! /
P.-S. : j'accepterai volontiers, cependant, moi qui m'efforce de recourir souvent à la seule ironie,
--> que ces dames en fassent autant ( ... si possible ! ) , en retour !
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Auteur : DALIGALA57  

Pervers narcissique et sénilité ?

Auteur : EBONYMAY  

à Bruno, perso :
Ma petite fille, Miléna, qui a terminé ses trois années d'études au THEATRE NATIONAL DE STRASBOURG, en juin dernier, vient d'intégrer la JEUNE troupe du théâtre de LA COLLINE. Je t'en fais part parce que je sais que tu fréquentes et apprécie ce théâtre. (le travail de ce théâtre).

Auteur : Bigben  

@post 362 : à bien y réfléchir, les raisons alléguées par Jackie concernant l'engouement de certain(e)s pour les divers jeux du site peuvent être prises en considération : je les rappelle, pour mémoire :
* problèmes de santé empêchant de sortir
* soucis de solitude
* besoin de communiquer
--> "emballement" sur lequel la Rosalie avait renchéri, dans son post 365, en signe de "naïve" commisération : "Sans oublier les grands-parents qui aident leurs enfants et les aidants qui s'occupent de leurs proches malades. "
--> certes, mais, ... a fortiori, pourquoi ne pas alors participer AUSSI, dame Jackie et d'autres, aux différentes discussions (qui ne sont pas toutes polémiques ou "politiques" et dont certaines sont intéressantes à poursuivre) ? ...
--> ah, sans doute parce que donner son avis nécessite de rédiger un texte (pas forcément long) , mais que cela réclame toutefois plus de temps que cliquer frénétiquement des propositions d'un seul mot (souvent répétées, d'ailleurs) -- pratique plus "rentable" pour... le classement des "meilleurs" forumeurs !!
P.-S. : cela dit pour simplement signifier que
--> j'abhorre la mauvaise foi (qui n'est que l'art de prendre les autres pour des imbéciles)
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@posts 379, 380 & 381 : quelle violence verbale !
--> mais, voyez-vous, ... "chères amies" , je ne demande qu'une chose, pourtant simple : ne plus être la CIBLE "privilégiée" de certains forumeurs (exemple encore : le post de la fabinou qui DÉNATURE hier, elle aussi, sur un autre topic, mes propos datant de... seize jours auparavant ! )
N.B. : et j'en ai plus que soupé
--> de ce ton INJURIEUX à mon encontre !
P.-S. : j'apprécierai volontiers, cependant, moi qui m'efforce de recourir souvent à la seule ironie,
--> que ces dames en fassent autant ( ... si possible ! ) , en retour de mes posts.
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A CEUX ET CELLES QUI SE NOURRISSENT DES FAITS DIVERS
Le fond de commerce de l'extrême droite

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Flic : un journaliste a infiltré la police

Valentin Gendrot (Auteur)


Que se passe-t-il derrière les murs d'un commissariat??

Pour répondre à cette question, Valentin Gendrot a mis sa vie entre parenthèses. Il a suivi la formation de l'école de police de Saint-Malo et a fini par atteindre son objectif : devenir policier dans un quartier populaire parisien.

Durant six mois, Valentin a intégré le commissariat du 19e arrondissement de Paris. Une arme à la ceinture, le journaliste sous couverture a rejoint une brigade dont certains membres tutoient, insultent et distribuent régulièrement des coups à des jeunes hommes noirs et arabes qu'ils surnomment «les bâtards».

Valentin Gendrot ne cache rien. Il relate la précarité des conditions de travail, le suicide d'un collègue du commissariat survenu lors de son immersion, mais aussi les propos racistes émis par des agents de l'Etat, les bavures, la violence. Il raconte, en détail, comment il assiste au tabassage d'un adolescent noir par un collègue policier. Alors que le jeune homme de 16 ans a porté plainte pour violences policières, Valentin découvre, de l'intérieur, comment sa brigade étouffe l'affaire.

Cette infiltration unique nous délivre les secrets que seuls les policiers partagent ; Valentin Gendrot nous ouvre l'antichambre où personne n'est jamais entré.