Ci-dessus : hum hum
"les jeunes entre 20 et 30 ans... " peut on considérer que ce sont des couples ?
"les personnes séparées avec enfants... n'en souffre pas" j'ai de gros doutes. Un choix ?

"... des formes de couples alternatives" mais encore ? Je ne trouve pas que ne pas cohabiter s'apparente à une forme de couple alternative : en vérité, c'est d'un banal. Pour moi "alternatif" a une autre connotation (plus originale, nouvelle, singulière, différente, quoi !)

"Le milieu social influe" on peut même aller jusqu'à dire qu'ils n'ont pas le choix : deux domiciles c'est impossible.

D'accord pour LES FEMMES séniors.

Globalement j'aurais tendance à penser qu'il s'agit plus de contraintes que de choix. Et si choix il y a, cela ne nous éclaire pas vraiment sur les motivations des uns et des autres.

Oui Fabienne. Ce serait intéressant d'avoir des avis mais peu de participation à la discussion, dommage 😊

Auteur : Bigben  

Ah bon,... il me semblait pourtant avoir contribué au "débat"
--> par un avis "étoffé" sur la question (cf. post 220) ! ...
P.-S. : à quoi ça sert, alow, que Ducros y se décarcasse
--> pour faire avancer le schmilblick ?!? ...

Auteur : SandyWhy  

Bonjour tout le monde

je contribue également mais avant tout chose je dois avouer que je n'ai pas lu le post de BigPat.
Mon avis concernant un couple non cohabitant: l'un des deux est heureux d'avoir une forme de liberté et d'autonomie, et l'autre est frustré par un manque de partage et ce qu'il peut ressentir comme un rejet. Le choix de cette organisation a peu de chance d'être véritablement partagé de mon point de vue mais j'espère me tromper pour le bonheur de tous les couples concernés. Je vois plutôt ça comme un espèce de chantage affectif, l'un veut garder logement et quotidien indépendant, et si l'autre refuse, la relation meurt. Bien que malheureux, pour ne pas perdre la personne aimée, le deuxième se soumet et souffre au fond.
Pour moi, un couple partage la vie. Je suis vieille France? Oui, très certainement! Je crois au voeux du mariage aussi, même si beaucoup les trouvent démodés ou les bafouent et les trahissent.
pauvre de moi, n'aurais je rien compris à la société moderne??
Peu importe! Le meilleur et le pire, et surtout le pire, c'est bien à deux qu'on arrive le mieux à faire face.

Bonne journée à toutes et tous!

Merci Sandy pour cet avis très personnel : selon toi, donc, un des partenaires n'est pas réellement consentant dans une relation de ce type.

Une longue étude montre qu'en réalité, ces relations de non-cohabitation sont très peu pérennes, sauf chez les seniors.

books.openedition.org/ined/4788?lang=fr

Je me souviens de la réflexion d'une amie : "je me suis mariée pour le meilleur et pour le pire ... c'est quand le meilleur ? " 😇

Auteur : Atlande  

Mais qu’en est il également de la durée des couples qui cohabitent ? Si l’on regarde bien autour de soi, elle est de plus en plus courte. Quand un couple se sépare quelques mois après le mariage…. ou 6 ou 7 ans plus tard, on ne peut plus évoquer la pérennité.
Ton article Rosalie date d’il y a une quinzaine d'années environ, c’est pas très loin mais suffisamment pour une nouvelle étude, peut être plus en adéquation avec l’époque actuelle???…..
Et oui on se met ensemble pour le meilleur et le pire mais quand le pire arrive, cohabitation ou logements séparés certains resteront et d’autres prendront la poudre d’escampette.

En effet Claire, comparaison pertinente : non-cohabitation ou cohabitation classique, les relations hommes/femmes sont toujours aussi fragiles.

L'avantage de la non-cohabitation : lorsque les rapports et les frictions s'intensifient, les contrariétés "domestiques" ne s'ajouteront pas aux désagréments affectifs.

Moi aussi j'suis "vieille France" et je partage le dernier paragraphe de Sandy. J'aime assez l'idée d'un couple qui soit "une équipe" (pas que, évidemment !)
Dixit celle qui vit seule depuis longtemps et qui n'a jamais (re)trouvé l'envie, le désir de "faire couple"