25/58
Date : 07-10-2024 15:44:44
Agnès Buzin, Karine Lacombe, Jérôme Salomon, Jean-François Delfraissy récompensés...
Didier Raoult, Amine Umlil, Jean-Jacques Erbstein, Denis Agret sanctionnés...
Sont sanctionnés ceux qui ont défendu les traitements précoces et/ou pointé l'inefficacité et la dangerosité des "vaccins covid"...
youtu.be/JAnieEdyXiQ?si=Wd61-68X9meecIQN
07/10/2024 25 min.
Le professeur Raoult règle ses comptes avec l’Ordre des Médecins !
youtu.be/lvEYMfaCEFo?si=Jl95rPsz2JCdEC7F
07/10/2024 28 min.
Didier Raoult radié deux ans de l'ordre des médecins
youtu.be/7JdWTHAge2c?si=oe7_jSqrCpH3RxC_
07/10/2024 24 min.
La face sombre de l'Ordre des Médecins - Hélène Strohl et Dr Eric Loridan
www.aimsib.org/2024/10/06/en-france-on-detruit-les-medecins-pour-des-raisons-politiques/
06/10/2024 18 min.
En France on détruit les médecins pour des raisons politiques
Il n’est pas dans l’habitude de l’AIMSIB de s’épancher sur les malheurs de ses membres dès lors qu’ils se trouvent en butte avec les représentants du pouvoir actuel. Voici néanmoins l’histoire consternante vécue par le Dr Vincent Reliquet, membre fondateur et rédacteur en chef de notre site. Après dix ans à son poste, les sanctions pleuvent : ordinales, fiscales, administratives. Prochaine condamnation prévue le jeudi 10 octobre 2024 : rembourser la Sécurité Sociale d’actes dispensés pour soulager voire complètement guérir des centaines de malades totalement abandonnés à leurs souffrances physiques, ainsi que des médicaments utilisés pour y parvenir. Voici par quelle violence un État de non-droit peut gérer ses contradicteurs : en l’absence de faute pénale répréhensible, on organise froidement leur ruine financière. Bon visionnage.
stopcovid19.today/
LAISSONS LES MEDECINS PRESCRIRE Mars 2020
Nous avons créé le collectif « Laissons les médecins prescrire » courant mars 2020 dans le but notamment de réaliser une étude pour vérifier l’éventuelle efficacité du traitement associant l’administration précoce d’hydroxychloroquine (HCQ) et d’azithromycine (AZM) tel que proposé par le Pr Raoult à l’IHU de Marseille. Notre idée était que les médecins touchés par la maladie puissent s’auto-prescrire le traitement. Le laboratoire Sanofi France avait accepté de mettre l’HCQ nécessaire à disposition des médecins volontaires.
Malgré une demande massive des médecins libéraux, cette étude n’a pas pu être mise en place à cause du décret publié le 26 mars qui a explicitement interdit la prescription d’HCQ en ville y compris en auto-prescription.
Plusieurs demandes ont alors été réalisées auprès de la Direction Générale de la Santé et du Ministère pour que cette étude en usage compassionnel puisse se tenir. Aucune réponse favorable n’a été donnée. Il était pourtant d’un grand intérêt de conduire une étude prospective chez des médecins, en capacité de donner un consentement éclairé et de s’auto-surveiller cliniquement.
Bien que l’HCQ ait été en vente libre jusque mi-janvier et que c’est le second médicament le plus prescrit au monde, il était interdit de le prescrire en France au nom de problèmes de pharmacovigilance confus et sans substratum réel.
Le collectif a alors conduit une étude rétrospective qui a été expliquée dans un rapport en langue française (lien https://stopcovid19.today/2020/04/30/rapport-etude-retrospective-3-approches-therapeutiques-differentes/) et sous forme d’article en langue anglaise (lien https://www.journalajmah.com/index.php/AJMAH/article/view/30224). Elle démontre qu’il existe des traitements efficaces pour traiter précocement les malades atteints du Covid-19. Cette étude est confortée par de plus en plus de publications dans le monde (https://c19study.com/). C’est la raison pour laquelle, plus que jamais, le collectif est vigilant sur la liberté de prescription pour les médecins de ville.
Le refus de traiter les patients précocement atteints a eu pour conséquence la mise en place de deux confinements dévastateurs pour la société française dans son ensemble (impacts économiques, sociaux, humains et psychotraumatiques), confinements qui n’ont aucun rationnel scientifique et qui entraînent des mesures liberticides au nom de la santé.
Vous aussi cette situation vous interpelle ? Rejoignez le collectif et aidez-nous à faire changer les choses…
Médecins ou citoyens, qui que vous soyez, n’hésitez pas à signer le manifeste « LA 4e Voie » ! Lien https://manifestes-libertes.org/
"La mise sur le marché en urgence des "vaccins" ne pouvait se faire que s’il n’existait pas de traitement médicamenteux. Or plusieurs médicaments ont été proposés, dont l’Hydroxychloroquine et l'Azithromycine, ainsi que l’Ivermectine mais ils ont été cloués au pilori et pour ainsi dire prohibés.
L’utilisation des injections Covid n’a été possible, que parce que les moyens classiques de lutter contre le virus ont été niés ou interdits."
|