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Date : 28-07-2025 11:00:50
@ Jo et Fabienne. Aucun génocide passé ne peut se comparer à celui que nous vivons en direct et qui a été préparé.
Le nombre de décès de journalistes, de travailleurs humanitaires et de santé et le
nombre d’enfants tués, sont parmi les plus élevés des conflits actuels.
Selon les Nations Unies, Gaza compte le plus grand nombre d'enfants amputés par habitant au monde, dès décembre 2024.
Israël a détruit de nombreux bâtiments d'importance culturelle, ( 12 universités, 80 % de ses écoles, de nombreuses mosquées, églises, musées, bibliothèques et de nombreux biens culturels.).
Selon Mahmoud Hawari, ancien directeur du musée palestinien, la destruction volontaire du patrimoine culturel palestinien « démontre l'intention des dirigeants politiques et militaires israéliens de détruire le peuple palestinien et son identité culturelle ».
De nombreux cimetières, actuels ou historiques, aussi bien musulmans que chrétiens, ont été détruits,. Certaines dépouilles ont été mutilées ou enlevées, pour la recherche d'ADN d'otages israéliens.
Les bombe larguées sans répit sur GAZA, provoquent une pollution des sols, de l’air et de l’eau. La combustion des bombes dégage une chaleur qui peut aller jusqu’à
« modifier la structure physique et les propriétés chimiques du sol, réduisant ainsi la fertilité et augmentant la probabilité de maladies transmises par le sol ».
Les oliviers, les agrumes et les cultures de légumes « ont fait l'objet d'une destruction étendue et sans précédent ».
La guerre a provoqué une crise des déchets, avec des tonnes d'ordures qui s'amoncellent, d'autant plus qu’à Khan Younès qui doit désormais accueillir 1 million de personnes dans 30 km2, la décharge principale a été bombardée.
Ces ordures provoquent la prolifération de rongeurs et d’insectes et de polluants de toutes sortes qui se déversent jusqu’à la Méditerranée.
Depuis de nombreuses années la société israélienne s’acharne à marginaliser et déshumaniser les Palestiniens en les assimilant à des animaux, des insectes ou des maladies. Une étape essentielle au génocide prémédité.
Certains journalistes, politologues et organisations internationales, pensent qu'on est en train d'assister en direct au premier génocide filmé de l'histoire. Le pire qui ait jamais été conçu par l'esprit humain.
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