◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄6061626364656667686970►►

La guerre, moteur de l'histoire ?
Auteur : Doune13 
513/616

Date :    26-11-2024 22:36:14


Je suis à la bourre sur le suivi de l'info, mais ça que je vais regarder c'est sûrement intéressant de mon point de vue:

Quand Benjamin NETANYAHU se compare au capitaine DREYFUS… Le chef du gouvernement israélien qui dénonce une décision antisémite après le mandat d’arrêt émis contre lui pour crime de guerre et crime contre l’humanité… Alors décision courageuse des juges de la CPI qui s’attaquent pour la première fois à un allié du camp occidental ou au contraire décision dangereuse qui met sur le même plan les dirigeants israéliens et ceux du Hamas ? Que doit faire la France ? On en débat ce lundi 25 novembre avec :
▶︎ Vincent LEMIRE Professeur à l’université Gustave Eiffel, directeur de la plateforme Open Jerusalem, auteur de la BD best-seller « Histoire de Jérusalem » aux éditions Les Arènes (27.10.22), co-auteur de « Israël-Palestine, anatomie d’un conflit » avec Thomas Snégaroff aux éditions Les Arènes (04.04.24) et du podcast « Israël-Palestine : anatomie d'un conflit » sur France Inter
▶︎ Valérie ZENATTI Écrivaine, traductrice, autrice de « Qui vive » aux éditions de L’Olivier (05.01.2024)
▶︎ Aurélie GODART Médecin, responsable des activités médicales de Médecins Sans Frontières (MSF) à Gaza
▶︎Olivier PARDO Avocat au barreau de Paris, ancien magistrat
▶︎ Ilana FERHADIAN Journaliste, reporter, animatrice et rédactrice en chef de la Matinale sur RadioJ
▶︎ Agnès LEVALLOIS Vice-présidente de l’Institut de recherche et d’études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient (Institut iReMMO), autrice de « Le Livre noir de Gaza » aux éditions du Seuil (04.10.2024)

www.france.tv/france-5/c-ce-soir/saison-5/6668597-netanyahou-un-mandat-d-arret-historique.html#section-about
Auteur : EBONYMAY 
514/616

Date :    27-11-2024 08:14:59


Pour "la petite histoire", Ilana FERHADIAN, la journaliste et réalisatrice, appartient à ma famille élargie, cousine germaine de ma belle-fille.

Mon avis est déjà forgé mais je vais regarder en différé.
La CPI ne met PAS sur le même plan Israël et le Hamas.
Auteur : Bigben  
515/616

Date :    27-11-2024 16:08:53


@post précédent où il est proclamé : "La CPI ne met PAS sur le même plan Israël et le Hamas. "
--> = preuve, s'il en fallait une, que cette dame défend, BEL ET BIEN, le Hamas (et non... le sort des Gazaouis) !!!
/
Auteur : Bigben  
516/616

Date :    28-11-2024 00:46:44


@tout dernier post volontairement SUPPRIME par Jo (façon Rosalie) , où elle se lamentait et s'indignait fortement de l' "indifférence" (coupable, à ses yeux) de notre pays (et d'autres) concernant le conflit du Moyen-Orient :
--> j'estime, en effet, que cette dame a bien fait de l'effacer,
--> car se mettre à ce point martel en tête n'eût point été de bon aloi
--> ... ni guère bien recommandé pour son équilibre psychique !
Auteur : Rosalie1334 
517/616

Date :    05-12-2024 09:07:44


Le long rapport d'Amnesty International France :

[ Les autorités israéliennes ont commis et commettent toujours des actes interdits par la Convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide, dans l’intention spécifique de détruire physiquement la population palestinienne de Gaza. ]

www.amnesty.fr/actualites/rapport-genocide-palestiniens-gaza-commis-par-etat-israel
Auteur : Doune13 
518/616

Date :    06-12-2024 10:08:13


ISRAËL est un état génocidaire de par son gouvernement et son armée:

" Qualifier un génocide n’est pas une opinion.

Qualifier un génocide est une qualification juridique.

Ce terme est encadré par le droit international et répond à des critères bien précis, établis dans la Convention de l'ONU contre le génocide de 1948.

Qu’est-ce qu’un génocide ?
L’utilisation du terme « génocide » est encadrée par le droit international. Depuis 1948, il répond à des règles bien précises établies dans la Convention sur le génocide des Nations unies. Quelle est la définition juridique du génocide ? Quels sont les actes permettant sa qualification ? Qui a la compétence pour juger un crime de génocide ? Explications.

C’est un mot qui fait ressurgir de profonds stigmates, frappe la mémoire collective, évoque les pires horreurs. Face à ce qu’il provoque, il est crucial d’expliquer quelle est sa définition juridique. Car qualifier un crime de génocide n’est pas une opinion mais le résultat d’une analyse basée sur le droit international.
On doit le terme à Raphaël Lemkin, juriste juif américano-polonais. Réfugié aux États-Unis à la suite de l’invasion de la Pologne par l’Allemagne nazie, il publie, en 1944, un ouvrage intitulé Axis Rule in Occupied Europe. Il y emploie un terme nouveau : génocide, la combinaison des mots de genos (clan ou race) et cide (tuer). Ce faisant, Raphaël Lemkin pose en réalité les premières fondations de l’outil judiciaire international qui visera à punir et à prévenir les crimes de génocide.
Les contours juridiques du génocide
Naissance d’une Convention
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et du génocide des juifs d’Europe, l’Assemblée générale des Nations unies fait du génocide un crime en droit international. Le texte qui l’encadre est la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, adoptée à l’unanimité en 1948. Composée de 19 articles, c’est cette Convention qui propose la première définition juridique internationale du génocide.
Définition de la notion de génocide
Ce qui va distinguer ce crime d'un autre tel que le crime contre l'humanité c'est l'intention spécifique de détruire, en tout ou partie, un groupe protégé par la Convention, à savoir un groupe national, racial, ethnique ou religieux. C’est cette notion d’intentionnalité qui fait toute la spécificité du terme de génocide.
LES 5 ACTES CONSTITUTIFS D'UN GÉNOCIDE

Un seul de ces cinq actes suffit pour qualifier un génocide. Mais chacun doit avoir été commis dans l'intention de détruire, totalement ou partiellement,
un groupe national, ethnique, racial ou religieux*

- MEURTRE DE MEMBRES DU GROUPE

- ATTEINTE GRAVE À L'INTÉGRITÉ PHYSIQUE OU MENTALE DE MEMBRES
DU GROUPE

- SOUMISSION INTENTIONNELLE DU GROUPE À DES CONDITIONS
D'EXISTENCE DEVANT ENTRAÎNER SA DESTRUCTION PHYSIQUE TOTALE OU PARTIELLE

- MESURES VISANT À ENTRAVER LES NAISSANCES AU SEIN DU GROUPE
- TRANSFERT FORCÉ D'ENFANTS DU GROUPE A UN AUTRE GROUPE
images.prismic.io/amnestyfr/Z1BbIZbqstJ98BuG_criteres_v4@2x.png?auto=format,compress

Un seul de ces cinq actes peut suffire pour qualifier un génocide. Mais chacun des actes doit avoir été commis avec l’intention de détruire. Et les actes doivent viser les individus non pas en tant qu’individus mais en tant que membres du groupe protégé par la Convention.
L’importance de l’intention
Aymeric Elluin, chargé de plaidoyer chez Amnesty International France explique en quoi la notion d’intention fait toute la spécificité du crime de génocide.👇
…/…

Pour définir un crime de génocide, il n’existe pas de «seuil minimal» ni de «seuil maximal» de victimes effectives. Le nombre de personnes victimes n’est donc pas un critère. S’il y a volonté de détruire un groupe pour ce qu’il est, le terme de génocide est employé. Le critère retenu et indispensable est l’intention de détruire physiquement en tout ou partie le groupe protégé par la Convention. Pour justifier cette intention de destruction physique, la partie du groupe visé doit être substantielle.
Ce qui distingue un génocide d'un autre crime tel que le crime contre l'humanité c'est l'intention spéciale de détruire un groupe national, ethnique, racial ou religieux, tel qu’énoncé par la Convention de 1948.
Les crimes de guerre, crimes contre l'humanité et crimes de génocide font partie des crimes de droit international les plus graves. C’est en raison de la gravité de ces crimes qu’on les appelle «crimes internationaux» et que la Cour Pénale Internationale a été créée pour en poursuivre les responsables.
Lire aussi : Crimes contre l’humanité, de guerre, d'agression : ce que dit le droit
Il n'existe donc pas de hiérarchie entre ces crimes, ils répondent seulement à des caractéristiques différentes.
Les génocides du XXe et XXIe siècles

Depuis que le terme a été élaboré par Raphaël Lemkin, la qualification de génocide a été reconnue - juridiquement ou politiquement - pour plusieurs drames de notre Histoire récente. Reconnaissance onusienne, reconnaissance des tribunaux compétents, reconnaissance de divers États. Tour d’horizon.

[url]http://images.prismic.io/amnestyfr/Z1A7nJbqstJ98BY2_timeline_v6-sanstitre@2x.png?auto=format,compress
[/url]

Prévenir un génocide : la responsabilité des États

.../...

www.amnesty.fr/focus/qu-est-ce-qu-un-genocide?utm_source=twitter&utm_medium=social&utm_campaign&utm_content=ap_y5qt8yxc7n
Auteur : Doune13 
519/616

Date :    06-12-2024 10:10:39


Le 2e lien direct:
images.prismic.io/amnestyfr/Z1A7nJbqstJ98BY2_timeline_v6-sanstitre@2x.png?auto=format,compress
Auteur : Doune13 
520/616

Date :    06-12-2024 13:38:18


Guerre à Gaza : la preuve par l’intention génocidaire

Dans le rapport explosif qu’elle publie ce jeudi, Amnesty International ne se contente pas de dénoncer les crimes commis par Israël dans l’enclave palestinienne, mais démontre la volonté de pratiquer un véritable génocide. Une démonstration accablante qui va être transmise aux juges de la Cour internationale de justice et doit pousser les États à agir.

www.humanite.fr/monde/genocide/guerre-a-gaza-la-preuve-par-lintention-genocidaire

Guerre au Proche-Orient : « L’analyse de la situation en Palestine exige que la question du génocide soit posée »

Alors qu’un rapport d’Amnesty International publié le 5 décembre accuse Israël de « commettre un génocide » contre les Palestiniens dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre, un collectif de juristes affirme, dans une tribune au « Monde », qu’il est fondé, en droit international, d’employer ici la notion de génocide.

Le fait d’être considéré comme une démocratie immunise-t-il contre toute politique criminelle qui serait guidée par un désir de vengeance et d’autres passions tristes ? Ce n’est pas ce que nous apprend l’histoire. Le fait d’avoir subi de graves attaques criminelles donne-t-il à la victime le droit de manquer aux obligations les plus élémentaires dans la conduite des hostilités ? Ce n’est pas ce que dit le droit international.

Alors pourquoi s’interdire de parler de génocide s’agissant de la situation à Gaza ? Dans un rapport de près de 300 pages publié le jeudi 5 décembre, l’organisation Amnesty International alerte pourtant à son tour, et de manière très circonstanciée, sur la situation. L’organisation estime ainsi avoir recensé suffisamment d’éléments de preuve pour conclure qu’entre le 7 octobre 2023 et juillet 2024, Israël s’est rendu responsable d’actes constitutifs d’un génocide à l’encontre des Palestiniens de Gaza.

Le décalage entre la gravité de la situation décrite par les remontées du terrain et la prudence des conclusions que l’on s’autorise à en tirer ne peut donc qu’étonner. S’il faut avoir conscience de la charge émotionnelle de l’incrimination de génocide, l’analyse de la situation en Palestine exige néanmoins que la question soit posée. Et que le débat ne soit pas empêché par différentes manœuvres d’intimidation. Les atteintes au droit devraient être notre seule boussole.


www.lemonde.fr/idees/article/2024/12/05/guerre-au-proche-orient-l-analyse-de-la-situation-en-palestine-exige-que-la-question-du-genocide-soit-posee_6432081_3232.html

◄◄6061626364656667686970►►



Retour à l'index du Forum

7 membre(s) en ligne

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »