Auteur : Bigben  

@ quatre posts ci-dessus : tout cela est bel et bon (au niveau informationnel) ,
--> mais, dès lors qu'il n'existe pas de "seuils minimal ni maximal" (sic)
--> dans la "volonté de supprimer un groupe national, ethnique, racial ou religieux, tel qu’énoncé par la Convention de 1948" (sic) ,
--> POURQUOI donc la "reconnaissance onusienne, reconnaissance des tribunaux compétents, reconnaissance de divers États" (sic) ne se sont-elles pas faites concernant le RAID BARBARE du HAMAS (lâche attaque "baptisée Déluge d'Al Aqsa" du 7 octobre 2023 sur des civils israéliens pratiquée par 2000 fanatiques islamistes issus de 29 endroits différents et ayant fait, de manière délibérée et atroce, 1139 victimes... en quelques heures, sans parler des centaines d'otages capturés ce jour-là) ? ... Y aurait-il deux poids, deux mesures et les instances internationales montreraient-elles plus d'égards (ou de... PRUDENCE) pour certains plus que pour d'autres ??? ...
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P.-S. : j'apprécierai(s) grandement d'obtenir une réponse (éclairante... ou pas)

Post. Précédent.

Concernant le conflit Israélo-palestinien :
Chaque fois que des bombardements et des morts de civils, humanitaires et journalistes, sont rapportés par les médias, les auteurs sont dans l'obligation de se référer aux événements du 7 octobre à la fin de l'article, en citant le nombre d'Israéliens morts et le nombre d'otages enlevés.

PS. Les émoticônes utilisés ont déjà été signalés comme totalement indécents dans un sujet sur la guerre et la mort de civils, notamment des enfants, quelque soit leur nationalité.

Auteur : Bigben  

1) en quoi, madame, les émoticônes (non féminin) que j'ai utilisées sont-elles "indécentes" ? ...
--> hormis celle concernant une... éventuelle réponse à mon post,
2) laquelle fournie malgré tout n'est guère convaincante,
3) car mon questionnement portait, non sur les différentes atrocités commises par les DEUX camps (sur le plan quantitatif et, j'oserai dire... "qualitatif" ) , mais sur la DIFFERENCE de...TRAITEMENT qui leur est apporté par les instances internationales (qui, du coup, se discréditent totalement et décrédibilisent leur jugement par soupçon de PARTIALITE) !
P.-S. : là, n'en déplaise à cette dame,
--> j'ose appuyer mon propos par

Peut-être parce qu'un pogrom de 2 000 personnes n'est pas comparable à un massacre de 50 000 personnes (au minimum) ?

Peut-être parce que la réponse du gouvernement israélien est jugée disproportionnée ?

Peut-être parce qu'il est difficile de ne pas concevoir qu'un peuple puisse se rebeller contre un occupant qui pratique l'apparteid ?

Peut-être parce que le déluge de bombes qui menace chaque jour une population affamée, assoiffée, blessée, qui attend la mort comme une délivrance finit par écoeurer ?

Peut-être parce que la disparition de familles entières palestiniennes apparaît comme une honte insupportable à l'humanité ?

Peut-être parce que le pogrom a duré quelques heures et que les bombardements durent depuis plus d'un an ?

Auteur : Bigben  

@post qui précède où il est dit : "Peut-être parce qu'un pogrom de 2 000 personnes n'est pas comparable à un massacre de 50 000 personnes (au minimum) ? Peut-être parce que le pogrom a duré quelques heures et que les bombardements durent depuis plus d'un an ? "
--> encore une fois, ces arguments de différenciation de traitement sont irrecevables en matière de qualification de "génocide"
--> au vu des "critères retenus et indispensables" dans la Charte des Nations Unies de 1948 (et rappelés par ta propre copine, post 631)
--> à savoir, entre autres : "Pour définir un crime de génocide, il n’existe pas de «seuil  minimal» ni de «seuil maximal» de victimes effectives. Le NOMBRE de personnes victimes n’est donc pas un critère. S’il y a volonté de détruire un groupe pour ce qu’il est, le terme de génocide est employé. Le critère retenu et indispensable est l’intention de détruire physiquement en tout ou partie le groupe protégé par la Convention. "
P.-S. : donc, que tu le veuilles ou pas, chère âme charitable,
--> force est de reconnaître qu'il y a MANIFESTEMENT deux poids, deux mesures entre le Hamas et Israël, et que les instances internationales montrent plus d'égards (ou de... PRUDENCE) pour l'un que pour l'autre (qu'elles n'hésitent pas à incriminer et couvrir d'opprobre) !!!
N.B. : du coup, ces mêmes institutions se discréditent au passage en décrédibilisant leur jugement (suspect de PARTIALITE)

L'attaque épouvantable du 7 octobre 2023 est un acte terroriste inqualifiable. Il a pu atteindre de telles proportions grace à l'ignorance de la défense Israélienne, des services secrets ET à la lenteur des secours.
Cette attaque a duré 12 heures et a largement été documentée et illustrée dans les medias inernationaux. Elle a suscité une réprobation unanime et légitime. Mais une attaque de 12 heures, aussi atroce soit elle, même avec prise d'otages, ne saurait être qualifiée de génocide. C'est employer les mots et les concepts à torts et à travers... et mal nommer les choses.
Les représailles Israëliennes, dont je ne reprendrai pas ici l'ignominie et la durée ni l'étendue (Le Liban) pour l'avoir fait très régulièrement, appartiennent, sans AUCUN DOUTE, à la volonté GENOCIDAIRE de Netanyahu qui veux exterminer les Palestiniens et voler leurs terres exterminer Les Gazaouis et déporter les rares qui en auraient réchappé. (Où pourraient ils aller ?)
Netanyahu s'est rendu coupable, depuis 26 mois, de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, de Génocide. C'est à ce titre qu'un mandat d'arrêt international a été émis contre lui par la CPI.
Je réfute totalement l'interprétation acrobatique, tordue, travestie, mensongère, écoeurante qu'en fait Herrbig.

Post 638.

Prétendre que « les instances internationales montrent plus d'égards » pour un camp que pour un autre ne doit pas beaucoup toucher les milliers de personnes qui meurent encore aujourd'hui sous les bombes sans aucun soutien humanitaire.

La réalité c'est que le discours est « prudent», hypocrite et que sur le terrain, le drame horrible continue, sans espoir.

Ce qui dérange dans cette obstination à réclamer le même traitement international entre le HAMAS et ISRAËL c'est qu'il ne se dégage aucune empathie pour les humains concernés, d'un camp ou de l'autre.

Juste l'obsession psychorigide d'une prétendue impartialité.

Ce que nous dénonçons, Fabienne, Jo et moi, ce sont les crimes perpétrés contre les femmes, les enfants, les vieillards et les hommes de Gaza et non la mort des combattants du HAMAS.

D'autre part, n'évoquer que le HAMAS c'est faire abstraction de façon malhonnête de tout ce qui a précédé ce mouvement dans l'histoire de la Palestine depuis 1948. ( Date de la fondation du HAMAS : 1987 )

Totalement d'accord avec les explications complémentaires de Rosallie,
ci-dessus.