On en sait davantage sur le plan "Blair" pour le « jour d'après ».
Le projet prévoit la création d'une instance appelée GITA qui serait :
L'« autorité politique et juridique suprême pour Gaza pendant la période de transition »
[ La GITA sera dotée d’un conseil d’administration composé de sept à dix membres, dont « au moins un représentant palestinien qualifié (potentiellement issu du secteur des affaires ou de la sécurité) », un responsable des Nations unies, des personnalités internationales de premier plan ayant une expérience dans le domaine exécutif ou financier, et une « forte représentation de membres musulmans » afin de renforcer sa légitimité régionale et sa crédibilité culturelle. ]