|
705/1170
Date : 25-09-2025 16:10:59
Elle ne pouvait plus faire autrement, manifestations et grèves monstres en Italie.
Giorgia Meloni, Première ministre italienne, figure d’extrême droite et alliée fidèle d’Israël, a craqué. Même elle, qui a longtemps couvert Tel-Aviv, n’a plus d’autre choix que de condamner.
À la tribune de l’ONU qu’elle a pris à contrepied, elle a reconnu que :
Israël a franchi toutes les limites,
- qu’il mène une guerre de grande ampleur contre des civils,
- qu’il viole les normes humanitaires,
- qu’il provoque un massacre inacceptable.
Résultat : l’Italie votera en faveur de sanctions européennes contre Israël.
C’est ce qui arrive quand on laisse parler l’évidence : quand les crimes sont trop visibles, trop abjects, même les alliés les plus dévoués n’arrivent plus à les couvrir. Ce n'est pas faute d'avoir mis les moyens, Hasbara largement diffusée, assassinat de près de 300 journalistes...
Ce n’est pas du courage, ce n’est pas de l’audace : c’est juste le miniminimum d’humanité, et encore.
Ça prouve que la machine colonialiste sioniste, malgré ses milliards, ses pressions et son chantage permanent, ne pourra pas éternellement bâillonner la vérité.
Même elle en arrive à condamner. Pendant ce temps-là, le "nôtre" dit en interview, lâchement, après avoir reconnu l'état palestinien à l’assemblée de l’ONU, qu’il respecte le Perfide
Je m'interroge sur ses raisons perso. (j’ai une petite idée) de cette reconnaissance, bienvenue bien que tardive.
|