P.E. Stérin qui se dit « patriote » est cependant exilé fiscal en Belgique.
Il prépare activement les présidentielles de 2027 en tentant d’influencer le « paysage politique français » grâce à ses millions. C’est ce but affirmé qui a entraîné sa convocation par les députés.
Bruno Retailleau récemment propulsé sur la scène politique "très à droite" ( ou très adroite ? ) a été noté 9 sur 10. Car oui, c’est l' habitude de P.E. Stérin de donner une note aux gens qu’il rencontre.
Pour savoir s’il pouvait épouser son « coup de foudre » il a fait un tableau Excel avec les critères suivants : la religion, l’apparence, l’extraversion ( ?), le désir de famille nombreuse et l’engagement pour rester « femme au foyer ».
Autrement dit, un bon vieux retour en arrière du statut de la femme.
À quand le retour du droit à l’adultère exclusivement réservé à l’homme comme au temps de Charles Martel ?
@post ci-dessus : visiblement, cette dame ne vit pas dans le monde tel que nous le connaissons :
--> sa vision partielle (et partiale) des choses lui fait dire (ironiquement) : "À quand le retour du droit à l’adultère exclusivement réservé à l’homme comme au temps de Charles Martel ? "
--> sait-elle bien que, dans certains pays régis par la "charia" (loi islamique) , les femmes adultères meurent par lapidation publique
--> et que le divorce à la demande des femmes est tout récent dans certains autres -- alors qu' "Al-Talâq" (répudiation commise sur pourvoi exclusif des hommes) existe toujours ?! ... Misère !!
islam-france.fr/astuces-conseils/repudier-une-femme-en-islam-comprendre-le-processus-les-regles-et-les-implications/ / /
post 70 = réponse fugace à mon post 69,
--> en guise d'échappatoire malaisée (mais qui permet à dame Rosalie de vite passer à un autre sujet lorsqu'elle s'aperçoit qu'elle a maladroitement tendu le bâton... pour mieux se faire battre)
/ N.B. : il est pourtant CLAIREMENT dit dans l'article qu'elle joint (croyant habilement se tirer d'affaire) : "le fait que la constitution ne fasse pas référence à la charia, comme en Algérie, au Maroc, ou en Tunisie, n’empêche pas le droit de la famille de s’y référer. "
P.-S. : bref, on reconnaît bien là toute la subtilité de la "taqîya" (تقيّة ) fondée juridiquement sur le Coran :
fr.wikipedia.org/wiki/Taq%C3%AEya /