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Date : 18-08-2024 21:40:08
Ma pov' amie,
--> comme tu insistes lourdement,
--> prétendant cette fois-ci que j'ai eu "un blanc" (et non plus que je sois un fieffé "menteur" ) ,
--> je peux t'assurer que j'ai montré ce passage du livre (que j'avais surligné) à d'autres personnes, aussi étonnées et offusquées que moi.
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N.B. : je pense que le mieux serait de se rapprocher d'un(e) jeune magistrat(e)
--> et lui demander si cette "politique... indulgente" est toujours en cours dans les pratiques actuelles, à savoir toujours privilégier, par rapport à sa victime, le coupable ( ... présumé, puisque non encore jugé définitivement -- même en cas de flagrant délit ou d'aveux passés par ce dernier)
P.-S. : remarque, c'est déjà le cas, dès lors que l'on sait (comme j'ai pu le rappeler précédemment sur un autre topic) que le recours en appel (c.-à-d. après jugement de première instance et instauré il y a une quarantaine d'années)
--> n'est possible qu'émanant de la... DEFENSE du condamné,
--> et que la victime ( ... ou sa famille) est toujours... PRIVEE de ce droit,
--> sauf si l'avocat général estime, au nom de la partie civile, que la sentence est TROP légère pour le condamné ( ... qui se retrouve, alors, abrité derrière la "présomption d'innocence" , avant le second procès) !
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