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🍾 À votre santé !
Auteur : Napi 
217/259

Date :    03-12-2024 13:50:47


france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/c-est-la-qu-est-ma-place-a-pratiquer-la-medecine-interdit-d-exercer-car-non-vaccine-le-docteur-pamart-de-retour-a-jenlain-3068533.html
01/12/2024

"C'est là qu'est ma place, à pratiquer la médecine", interdit d'exercer car non vacciné, le docteur Pamart de retour à Jenlain

Plus de trois ans après avoir fermé son cabinet à Jenlain (Nord), le docteur Grégory Pamart vient de le rouvrir. En septembre 2021, il était sous le coup d'une interdiction d'exercer pour avoir refusé de se vacciner contre le Covid-19. Son départ avait laissé la commune sans médecin généraliste.

Il ne cache pas son plaisir, le docteur Pamart d'avoir repris du service. "Je retravaille et j'en suis heureux", lance-t-il.

Même lui, finalement est un peu surpris d'être revenu à Jenlain (Nord). Il raconte que les choses se sont faites assez naturellement. D'abord, il continuait à croiser ses anciens patients qui le sollicitaient. Et puis, clairement la médecine libérale lui manquait.


Fermeture du cabinet en septembre 2021

En septembre 2021, Grégory Pamart est devenu un symbole des "antivax". Le médecin généraliste refuse de se faire vacciner contre le Covid-19 et perd l'autorisation d'exercer. Il est alors contraint de fermer son cabinet, le seul à Jenlain. Il se justifie : "la chose la plus importante pour moi est, en tant que médecin, de ne pas imposer, de respecter le libre consentement de chacun".

S'ensuivent des mois d'inactivité bien remplis, raconte-t-il. Entre lecture, famille et réflexion sur sa pratique.

"La question n'est pas de savoir si j'avais raison. C'est juste ma façon de concevoir la médecine, la santé, qui m'est propre. Je voulais être vrai, ne pas mentir". L'homme regrette tout de même qu'on lui ait mis une étiquette. "Le problème, c'est qu'avec cette étiquette d'antivax, il n'y a ensuite plus de discussion possible".


L'Hôpital de Maubeuge

En mai 2023, quand les soignants non vaccinés retrouvent le droit de travailler, il sonne à la porte des Urgences de l'Hôpital de Maubeuge (Nord). Avec l'envie de "pouvoir exercer la médecine à nouveau" mais aussi de constater par lui-même l'état de l'Hôpital en France, "juger sur pièces, sans idées préconçues". Il n'a pas perdu son regard critique sur le système.

Puis, il raconte avoir été très bien accueilli et y avoir appris beaucoup. Il affirme "avoir pris du recul et réfléchi à la médecine qu'il a envie de pratiquer". Mais il confesse que le suivi des patients lui manquait.


Amour du métier

Le, à nouveau, nouveau médecin généraliste de Jenlain affirme : "c'est là qu'est ma place. À pratiquer la médecine, c'est ce que je sais faire".

"C'est formidable ce qu'on fait, je l'ai réalisé quand on m'a privé de mon métier. Dans l'intimité de la consultation, on a accès à quelque chose d'extraordinaire !"

Et les patients sont de retour. Des anciens et des nouveaux. "Je n'ai pas l'impression d'être un choix de dépit. Les gens ont une idée de la médecine que je pourrais leur proposer", ajoute-t-il.

"Longtemps, je pensais aller ailleurs, mais les choses se sont faites de manière naturelle", confie le médecin. D'autant qu'aucun autre médecin généraliste ne s'est installé sur la commune.


Prendre son temps

Il l'avoue. Ce parcours l'a fait évoluer. Il dit avoir "encore plus envie d'accorder du temps à ses patients". Lui qui a songé se tourner vers une médecine naturelle, déconventionnée. Il considère que "la thérapie passe par le fait d'exprimer sa souffrance". Sur ses prescriptions, il précise "le médicament aide pour beaucoup, il va souvent sauver des vies. Mais il a aussi des effets secondaires, il faut chercher le traitement qui va correspondre à chacun". Il espère réussir à "toujours aller chercher la cause, avant de prescrire, réussir à avoir une approche individuelle pour chacun". Puis, il concède : "Je suis un médecin qui pratique la médecine académique, celle que j'ai apprise".

Je suis un médecin qui pratique la médecine académique, celle que j'ai appris.
Grégory Pamart, médecin généraliste à Jenlain
Il explique qu'il a besoin que sa pratique ait du sens, soigner les gens en prenant plus le temps. Il raconte "avant, je voyais cinq patients par heure. Aujourd'hui, c'est plutôt trois".


Une prochaine suspension ?

L'homme continue d'agacer semble-t-il l'Ordre des médecins du département. Il a été suspendu 6 mois entre novembre 2023 et avril 2024 pour ne pas avoir porté le masque dans son cabinet et ne pas l'avoir rendu obligatoire pendant l'épidémie de Covid. Puis, il a également reçu un blâme et un avertissement pour un mail envoyé à ses patients au sujet de la vaccination des adolescents.

Enfin, son retour n'est peut-être que temporaire. Une procédure disciplinaire est toujours en cours. Elle doit être examinée le 11 décembre 2024 par la chambre disciplinaire du Conseil de l'Ordre, à Paris. Il lui est reproché d'avoir soigné avec de l'Ivermectine (un traitement non validé par les autorités sanitaires) un malade du Covid alors qu'il n'était pas vacciné et qu'il n'avait plus le droit d'exercer. Grégory Pamart estime que "l'opinion publique aurait du mal à comprendre pourquoi un médecin serait condamné pour avoir soigné un patient dans l'urgence". Il ajoute qu'il avait prévenu l'Ordre des médecins, qu'en cas d'urgence liée au Covid, il ne laisserait pas un patient sans soins.

Jenlain, commune de près de 1 200 habitants, a vécu trois ans sans généraliste. Tout le secteur entre Valenciennes et Maubeuge est confronté à une pénurie de médecins.




-> Réaction du Docteur Guillaume Barucq, le 01/12/2024

"L’histoire du Dr Gregory Pamart illustre la gestion aveugle de la crise sanitaire.

Les autorités ont préféré laisser un village SANS MÉDECIN pendant 3 ans au lieu de faire preuve de bon sens face à cette obligation vaccinale inadaptée.

Qui a mis en danger les patients ?"

Auteur : Napi 
218/259

Date :    09-12-2024 21:15:51



www.20minutes.fr/societe/4128172-20241209-dijon-refoulee-urgences-nuit-accouche-parking-hopital?xtor=RSS-176
09/12/2024

Dijon : Refoulée par les urgences de nuit, elle accouche sur le parking de l’hôpital

colère
•La mère de famille n’a pas eu le temps de se rendre à la maternité voisine et a donné naissance à son fils avec l’aide de son mari, puis d’une équipe médicale


Cette maman l’assure, la situation aurait pu « virer au drame ». Le 1er novembre dernier, la Bourguignonne a en effet accouché sur le parking de l’hôpital privé Dijon-Bourgogne (HPDB), sous les yeux de son mari et de sa fille de 4 ans. Comme elle le relate à nos confrères du Bien Public, les urgences de nuit ont dans un premier temps refusé de la prendre en charge, la réorientant vers le service maternité, et ce malgré l’insistance du papa. Mais il était déjà trop tard.

Allongée sur un banc par un passant
La parturiente, qui n’arrivait même plus à marcher, a été secourue par un témoin et allongée sur un banc. Elle a donné naissance à son bébé avec l’aide de cet homme, de son mari, puis, enfin, d’une équipe médicale. « J’ai la sensation qu’on nous a volés ce moment », déplore la mère de famille. Cette dernière, ainsi que sa fille aînée, restent très choquées par cet accouchement peu banal.

Fort heureusement, la maman et son petit garçon se portent bien et ont été pris en charge par l’hôpital. Mais la colère demeure : « Si on nous avait ouvert, mon fils serait né au chaud, pas dehors. Il avait les lèvres bleues et a fait deux heures de couveuse », dénonce la Bourguignonne.


L’hôpital reconnaît une défaillance
Du côté de l’établissement de santé, on reconnaît « une situation exceptionnelle » et « un dysfonctionnement ». Selon Valérie Fakhoury, directrice de l’établissement et du Pôle Bourgogne du groupe Ramsay santé, le personnel des urgences aurait mal évalué le caractère imminent de l’accouchement et aurait respecté les protocoles en vigueur pour l’accueil de nuit en orientant la famille vers la maternité. Elle assure également avoir pris contact avec la maman, lui proposant notamment un soutien pour elle et sa fille aînée.

La mère a décidé de médiatiser son histoire et de déposer plainte à la gendarmerie, pour que « cela ne se reproduise pas ». Elle dénonce ainsi la mise en place de process, « en dépit du bon sens ». « C’est juste symptomatique du système de santé. On ne réfléchit plus en termes d’humain, on déresponsabilise les gens », conclut-elle.

Auteur : Rosalie1334 
219/259

Date :    10-12-2024 13:28:15


Marseille à la pointe

lemeridional.com/index.php/2024/12/09/marseille-au-coeur-dune-revolution-technologique-pour-les-soins//
Auteur : DALIGALA57  
220/259

Date :    10-12-2024 16:30:46


La lecture est très courte !
Auteur : Theatretmusik 
221/259

Date :    10-12-2024 17:51:13


ANDRÉ 239

C'est normal!
ROSALIE surfe avec dextérité sur la pointe fine et instable des documents intelligents.
Tandis que NAPI se répand sans frilosité dans les creux sans fin des écrits complotistes et des morbides pages nécrologiques.

Je sens que je vais m'attirer les foudres de quelques-uns!
Cependant si ces derniers estiment que mon avis est quelque peu caricatural, ils n'auront pas totalement tort!
Auteur : Bigben  
222/259

Date :    11-12-2024 01:00:06


@post qui précède où il est dit en conclusion par le brunobo (de manière fort judicieuse, pour une fois) : "Cependant si ces derniers estiment que mon avis est quelque peu caricatural, ils n'auront pas totalement tort! "
--> un seul commentaire s'impose : EN EFFET ! /
Auteur : DALIGALA57  
223/259

Date :    11-12-2024 08:28:33


Le lien de Rosalie m'était très court car il me renvoyait sur une page 駬 Not found'.

L'article est à récupérer sur un moteur de recherche en copiant seulement une partie du lien de Rosalie, sinon cela ne fonctionne pas !
Auteur : Napi 
224/259

Date :    11-12-2024 09:33:17


www.cureus.com/articles/296750-medical-ethics-and-informed-consent-to-treatment-past-present-and-future#!/
09/12/2024

L’éthique médicale et le consentement éclairé au traitement : passé, présent et futur


Alan Mordue • Elizabeth A. Evans • James T. Royle • Clare Craig

Date de publication : 09 décembre 2024


Évalué par des pairs


Citez cet article comme suit : Mordue A, Evans E A, Royle J T, et al. (09 décembre 2024) Éthique médicale et consentement éclairé au traitement : passé, présent et futur. Cureus



Introduction
Pendant la pandémie de Covid-19, il est devenu de plus en plus évident pour certains professionnels de la santé que nous vivions une crise mondiale de l’éthique médicale [1]. Ils ont fait valoir que nous assistions à une érosion dangereuse des principes éthiques fondamentaux qui sous-tendent une société civilisée par la mise en œuvre de politiques Covid-19 malavisées et contraires à l’éthique par les gouvernements et les organismes de santé publique [2]. Des principes médicaux et de santé publique bien établis n’ont pas été respectés, tels que l’exigence de preuves solides, le respect du principe de précaution afin de minimiser les risques, l’examen minutieux des préjudices et des avantages, le consentement pleinement éclairé au traitement et le respect d’une procédure légale régulière et la fourniture d’informations exactes au public d’une manière qui évite une alarme excessive.

[...]

À partir de janvier 2021, (i) il y a eu un déploiement rapide de la nouvelle technologie de vaccin à ARNm et à ADN sous autorisation d’urgence et sans données de sécurité à long terme pour la quasi-totalité de la population, notamment les enfants et les femmes enceintes, indépendamment de leur risque individuel de Covid-19 ou de leur statut immunitaire vis-à-vis du SRAS-CoV-2 (compromet les principes de vérité/divulgation complète, bienfaisance et non-malfaisance) [13]. Un article récent a effectué une évaluation des risques et des avantages et une analyse éthique et a conclu que « les mandats de rappel chez les jeunes adultes sont censés causer un préjudice net » [14]. Ensuite, (ii) les avantages du vaccin ont été exagérés, allant au-delà de la réduction des cas symptomatiques observée dans les essais [15], de nombreuses personnes en position d’autorité affirmant que la vaccination de masse arrêterait la transmission du Covid-19 grâce à l’immunité collective induite par le vaccin [16] et certaines affirmant que la vaccination était le seul moyen d’éviter les confinements et le port du masque en cours (compromettant la vérité/divulgation et le consentement volontaire) ; (iii) les gouvernements et les responsables de la santé ont fait une large publicité des vaccins Covid-19 auprès du public en utilisant des termes tels que « sûr et efficace » et « rigoureusement évalué par la MHRA » (UK Medicines and Healthcare products Regulatory Agency), ce qui rend plus difficile une analyse objective individuelle des risques par rapport aux avantages afin de donner un consentement éclairé valide (compromet la vérité/divulgation et le consentement volontaire) ; (iv) l’obligation de divulguer les alternatives aux vaccins Covid-19 n’a pas été respectée : les informations concernant les médicaments potentiellement efficaces pour un traitement précoce n’ont pas été partagées avec le public [17], laissant les personnes à risque important sans choix apparent (compromis entre la vérité, la bienfaisance et la non-malfaisance) ; (v) dans de nombreux pays, les vaccins Covid-19 ont été obligatoires pour certains groupes et afin d’accéder à certaines libertés humaines fondamentales (par exemple, le travail, les voyages, les achats et les loisirs), une violation du principe selon lequel le consentement doit être entièrement volontaire et sans coercition, pénalité ou restriction (compromet l’autonomie et le consentement volontaire).

Ensuite, (vi) les régulateurs et les gouvernements du monde entier n’ont pas réussi à interroger ou à répondre aux signaux de sécurité dans les systèmes de surveillance de la sécurité des vaccins au cours des trois dernières années (compromis la vérité et la non-malfaisance) [18], et en outre, (vii) lorsque des professionnels concernés et des patients blessés par le vaccin ont tenté d’informer les gens des risques, ils ont été diffamés et réduits au silence (compromis de la vérité/divulgation) [19]. Enfin, les mesures prises par les gouvernements pour indemniser les fabricants de vaccins Covid-19 de toute responsabilité pour les préjudices subis, et les régimes d’indemnisation gouvernementaux souvent très limités et inadéquats, ont laissé les patients assumer l’intégralité des risques.

Il est difficile de ne pas conclure que la profession médicale est restée les bras croisés, en grande partie silencieuse, alors qu’en vertu des lois d’urgence au Royaume-Uni et dans le monde, un par un, les principes éthiques fondamentaux ont été abandonnés et que des lignes rouges éthiques auparavant strictes ont été franchies. En Europe, cela s’est produit malgré l’adoption par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe de la Résolution numéro 2361 le 27 janvier 2021, qui stipule ce qui suit [20] : 1.1 Paragraphe 7.3.1 - « veiller à ce que les citoyens soient informés que la vaccination (Covid-19) n’est PAS obligatoire et que personne ne subisse de pression politique, sociale ou autre pour se faire vacciner, s’ils ne souhaitent pas le faire eux-mêmes » ; 1.2 Paragraphe 7.3.2 - « veiller à ce que personne ne soit discriminé parce qu’il n’a pas été vacciné, en raison d’éventuels risques pour la santé ou de ne pas vouloir se faire vacciner ».

En ces temps difficiles et en cas d’urgence, il est particulièrement important que la profession médicale et la société dans son ensemble continuent de respecter et de faire respecter les principes éthiques, et pas seulement lorsque les choses vont bien : leur objectif principal est de protéger les patients et de prévenir les abus et les atrocités, ce qui est particulièrement pertinent dans une situation d’urgence, car le risque d’abus est beaucoup plus élevé lorsque la panique et la peur sont présentes et peuvent influencer la prise de décision.

[...]

Il est urgent d’instaurer un retour à des soins éthiques et centrés sur le patient, à l’initiative des médecins, qui soient protégés contre les intérêts particuliers de l’industrie pharmaceutique et l’influence politique inappropriée. Cela a été exprimé avec éloquence dans un article de janvier 2023, qui a analysé les données de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) indiquant que les vaccins Covid-19 pourraient paradoxalement avoir augmenté, plutôt que diminué, les taux de mortalité globaux [26]. Les auteurs ont conclu ce qui suit : « Le système médical moderne de nombreux pays occidentalisés a abandonné son centre éthique, qui est le mieux résumé par l’ancien dicton latin de Primum Non Nocere, « D’abord, ne pas nuire ». La seule façon pour les médecins de se réapproprier l’éthique de leur profession autrefois noble, et de le faire avec grâce et respect, est de cesser d’acquiescer aux agences fédérales corrompues et à l’influence pharmaceutique, de reprendre la médecine entre leurs propres mains ».

[...]


Conclusions
Avant la pandémie de Covid-19, la pratique d’informer les patients et d’obtenir leur consentement pour le traitement était loin d’être idéale, mais les réponses à la pandémie ont mis à nu à quel point nous nous étions écartés des normes acceptables de l’éthique médicale. La période post-pandémique offre une excellente occasion à la profession médicale d’apprendre de ses erreurs et de rejeter complètement le passage à la médecine technocratique et de remettre l’éthique médicale hippocratique au cœur de la pratique de la médecine.

Pour ce faire, les médecins doivent (i) accepter que leur devoir premier est envers leur patient, en agissant toujours comme leur défenseur et en faisant passer leurs intérêts en premier ; (ii) améliorer leur pratique du consentement éclairé en fournissant des informations verbales et écrites sur les avantages et les effets secondaires, en donnant aux patients suffisamment de temps pour prendre une décision et en étant honnêtes face aux incertitudes ; (iii) comprendre que la science n’est jamais réglée et embrasser le débat scientifique, en rejetant toute censure en médecine ; (iv) retrouver l’habitude de la pensée critique, de lire les principales études primaires et de conserver un scepticisme sain à l’égard des critiques et des articles d’opinion ; (v) s’engager dans le débat sur les directives et accepter la nécessité de s’en écarter à l’occasion ; (vi) élargir leur pratique au-delà du modèle pharmaceutique étroit pour inclure des changements de mode de vie pour prévenir les maladies et des approches plus traditionnelles mettant davantage l’accent sur les interactions de soutien ; et enfin (vii) faire respecter les principes éthiques fondamentaux et les lignes rouges et dénoncer la corruption, la fraude et les intérêts particuliers.

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