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🍾 À votre santé !
Auteur : DALIGALA57  
225/260

Date :    11-12-2024 08:28:33


Le lien de Rosalie m'était très court car il me renvoyait sur une page 駬 Not found'.

L'article est à récupérer sur un moteur de recherche en copiant seulement une partie du lien de Rosalie, sinon cela ne fonctionne pas !
Auteur : Napi 
226/260

Date :    11-12-2024 09:33:17


www.cureus.com/articles/296750-medical-ethics-and-informed-consent-to-treatment-past-present-and-future#!/
09/12/2024

L’éthique médicale et le consentement éclairé au traitement : passé, présent et futur


Alan Mordue • Elizabeth A. Evans • James T. Royle • Clare Craig

Date de publication : 09 décembre 2024


Évalué par des pairs


Citez cet article comme suit : Mordue A, Evans E A, Royle J T, et al. (09 décembre 2024) Éthique médicale et consentement éclairé au traitement : passé, présent et futur. Cureus



Introduction
Pendant la pandémie de Covid-19, il est devenu de plus en plus évident pour certains professionnels de la santé que nous vivions une crise mondiale de l’éthique médicale [1]. Ils ont fait valoir que nous assistions à une érosion dangereuse des principes éthiques fondamentaux qui sous-tendent une société civilisée par la mise en œuvre de politiques Covid-19 malavisées et contraires à l’éthique par les gouvernements et les organismes de santé publique [2]. Des principes médicaux et de santé publique bien établis n’ont pas été respectés, tels que l’exigence de preuves solides, le respect du principe de précaution afin de minimiser les risques, l’examen minutieux des préjudices et des avantages, le consentement pleinement éclairé au traitement et le respect d’une procédure légale régulière et la fourniture d’informations exactes au public d’une manière qui évite une alarme excessive.

[...]

À partir de janvier 2021, (i) il y a eu un déploiement rapide de la nouvelle technologie de vaccin à ARNm et à ADN sous autorisation d’urgence et sans données de sécurité à long terme pour la quasi-totalité de la population, notamment les enfants et les femmes enceintes, indépendamment de leur risque individuel de Covid-19 ou de leur statut immunitaire vis-à-vis du SRAS-CoV-2 (compromet les principes de vérité/divulgation complète, bienfaisance et non-malfaisance) [13]. Un article récent a effectué une évaluation des risques et des avantages et une analyse éthique et a conclu que « les mandats de rappel chez les jeunes adultes sont censés causer un préjudice net » [14]. Ensuite, (ii) les avantages du vaccin ont été exagérés, allant au-delà de la réduction des cas symptomatiques observée dans les essais [15], de nombreuses personnes en position d’autorité affirmant que la vaccination de masse arrêterait la transmission du Covid-19 grâce à l’immunité collective induite par le vaccin [16] et certaines affirmant que la vaccination était le seul moyen d’éviter les confinements et le port du masque en cours (compromettant la vérité/divulgation et le consentement volontaire) ; (iii) les gouvernements et les responsables de la santé ont fait une large publicité des vaccins Covid-19 auprès du public en utilisant des termes tels que « sûr et efficace » et « rigoureusement évalué par la MHRA » (UK Medicines and Healthcare products Regulatory Agency), ce qui rend plus difficile une analyse objective individuelle des risques par rapport aux avantages afin de donner un consentement éclairé valide (compromet la vérité/divulgation et le consentement volontaire) ; (iv) l’obligation de divulguer les alternatives aux vaccins Covid-19 n’a pas été respectée : les informations concernant les médicaments potentiellement efficaces pour un traitement précoce n’ont pas été partagées avec le public [17], laissant les personnes à risque important sans choix apparent (compromis entre la vérité, la bienfaisance et la non-malfaisance) ; (v) dans de nombreux pays, les vaccins Covid-19 ont été obligatoires pour certains groupes et afin d’accéder à certaines libertés humaines fondamentales (par exemple, le travail, les voyages, les achats et les loisirs), une violation du principe selon lequel le consentement doit être entièrement volontaire et sans coercition, pénalité ou restriction (compromet l’autonomie et le consentement volontaire).

Ensuite, (vi) les régulateurs et les gouvernements du monde entier n’ont pas réussi à interroger ou à répondre aux signaux de sécurité dans les systèmes de surveillance de la sécurité des vaccins au cours des trois dernières années (compromis la vérité et la non-malfaisance) [18], et en outre, (vii) lorsque des professionnels concernés et des patients blessés par le vaccin ont tenté d’informer les gens des risques, ils ont été diffamés et réduits au silence (compromis de la vérité/divulgation) [19]. Enfin, les mesures prises par les gouvernements pour indemniser les fabricants de vaccins Covid-19 de toute responsabilité pour les préjudices subis, et les régimes d’indemnisation gouvernementaux souvent très limités et inadéquats, ont laissé les patients assumer l’intégralité des risques.

Il est difficile de ne pas conclure que la profession médicale est restée les bras croisés, en grande partie silencieuse, alors qu’en vertu des lois d’urgence au Royaume-Uni et dans le monde, un par un, les principes éthiques fondamentaux ont été abandonnés et que des lignes rouges éthiques auparavant strictes ont été franchies. En Europe, cela s’est produit malgré l’adoption par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe de la Résolution numéro 2361 le 27 janvier 2021, qui stipule ce qui suit [20] : 1.1 Paragraphe 7.3.1 - « veiller à ce que les citoyens soient informés que la vaccination (Covid-19) n’est PAS obligatoire et que personne ne subisse de pression politique, sociale ou autre pour se faire vacciner, s’ils ne souhaitent pas le faire eux-mêmes » ; 1.2 Paragraphe 7.3.2 - « veiller à ce que personne ne soit discriminé parce qu’il n’a pas été vacciné, en raison d’éventuels risques pour la santé ou de ne pas vouloir se faire vacciner ».

En ces temps difficiles et en cas d’urgence, il est particulièrement important que la profession médicale et la société dans son ensemble continuent de respecter et de faire respecter les principes éthiques, et pas seulement lorsque les choses vont bien : leur objectif principal est de protéger les patients et de prévenir les abus et les atrocités, ce qui est particulièrement pertinent dans une situation d’urgence, car le risque d’abus est beaucoup plus élevé lorsque la panique et la peur sont présentes et peuvent influencer la prise de décision.

[...]

Il est urgent d’instaurer un retour à des soins éthiques et centrés sur le patient, à l’initiative des médecins, qui soient protégés contre les intérêts particuliers de l’industrie pharmaceutique et l’influence politique inappropriée. Cela a été exprimé avec éloquence dans un article de janvier 2023, qui a analysé les données de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) indiquant que les vaccins Covid-19 pourraient paradoxalement avoir augmenté, plutôt que diminué, les taux de mortalité globaux [26]. Les auteurs ont conclu ce qui suit : « Le système médical moderne de nombreux pays occidentalisés a abandonné son centre éthique, qui est le mieux résumé par l’ancien dicton latin de Primum Non Nocere, « D’abord, ne pas nuire ». La seule façon pour les médecins de se réapproprier l’éthique de leur profession autrefois noble, et de le faire avec grâce et respect, est de cesser d’acquiescer aux agences fédérales corrompues et à l’influence pharmaceutique, de reprendre la médecine entre leurs propres mains ».

[...]


Conclusions
Avant la pandémie de Covid-19, la pratique d’informer les patients et d’obtenir leur consentement pour le traitement était loin d’être idéale, mais les réponses à la pandémie ont mis à nu à quel point nous nous étions écartés des normes acceptables de l’éthique médicale. La période post-pandémique offre une excellente occasion à la profession médicale d’apprendre de ses erreurs et de rejeter complètement le passage à la médecine technocratique et de remettre l’éthique médicale hippocratique au cœur de la pratique de la médecine.

Pour ce faire, les médecins doivent (i) accepter que leur devoir premier est envers leur patient, en agissant toujours comme leur défenseur et en faisant passer leurs intérêts en premier ; (ii) améliorer leur pratique du consentement éclairé en fournissant des informations verbales et écrites sur les avantages et les effets secondaires, en donnant aux patients suffisamment de temps pour prendre une décision et en étant honnêtes face aux incertitudes ; (iii) comprendre que la science n’est jamais réglée et embrasser le débat scientifique, en rejetant toute censure en médecine ; (iv) retrouver l’habitude de la pensée critique, de lire les principales études primaires et de conserver un scepticisme sain à l’égard des critiques et des articles d’opinion ; (v) s’engager dans le débat sur les directives et accepter la nécessité de s’en écarter à l’occasion ; (vi) élargir leur pratique au-delà du modèle pharmaceutique étroit pour inclure des changements de mode de vie pour prévenir les maladies et des approches plus traditionnelles mettant davantage l’accent sur les interactions de soutien ; et enfin (vii) faire respecter les principes éthiques fondamentaux et les lignes rouges et dénoncer la corruption, la fraude et les intérêts particuliers.
Auteur : Napi 
227/260

Date :    12-12-2024 19:07:05


www.youtube.com/live/HE1y7pLXhuU?si=J-XfskVZ5SHIlNwz
11/12/2024 1h32

Le "Pire-review" versus le "peer-review" en Science

Professeur Martin Zizi
Professeur Christian Perronne
Auteur : Napi 
228/260

Date :    14-12-2024 10:11:01


www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/mckinsey-verse-650-millions-de-dollars-pour-clore-des-poursuites-ac3e0f14845a08129407351e3b50ef70
13/12/2024

McKinsey verse 650 millions de dollars pour clore des poursuites


Le cabinet de conseil américain McKinsey a accepté vendredi de payer 650 millions de dollars (619 millions d'euros) pour l'abandon de poursuites fédérales engagées à son encontre pour son rôle dans la crise des opioïdes aux Etats-Unis.

McKinsey est accusé d'avoir conseillé la société pharmaceutique Purdue Pharma sur les moyens de multiplier les ventes de son traitement OxyContin, un antalgique addictif, en conspirant avec le laboratoire pour fausser la communication autour du médicament.

Le cabinet a passé vendredi un accord dit de poursuites différées auprès du tribunal fédéral d'Abingdon, en Virginie, qui l'exonérera de charges pénales au bout d'une période de surveillance de cinq ans, à condition de tenir ses engagements.

Dans un communiqué, McKinsey a déclaré avoir cessé de fournir des conseils aux sociétés liées aux opioïdes depuis 2019, ajoutant que ce travail passé "sera toujours une source de profond regret pour [la]firme".

Selon les Centres de prévention et de contrôle des maladies américains, près de 727.000 personnes sont mortes de surdoses d'opioïdes aux Etats-Unis entre 1999 et 2022.

McKinsey a déjà versé environ 1 milliard de dollars pour clore d'autres poursuites dans ce dossier.



www.liberation.fr/checknews/2021/01/09/le-cabinet-mckinsey-a-deja-touche-au-moins-100-millions-d-euros-en-conseillant-les-gouvernements-sur_1810661/
09/01/2021

Checknews
Le cabinet McKinsey a déjà touché au moins 100 millions d’euros en conseillant les gouvernements sur le Covid-19

Aux Etats-Unis mais aussi en France ou au Canada, le cabinet de conseil américain en stratégie multiplie les contrats avec les gouvernements et administrations depuis le début de la crise sanitaire. Essuyant parfois certaines critiques.
Auteur : Rosalie1334 
229/260

Date :    14-12-2024 14:34:36


Mort subite de l'adulte.
En France, environ 40 000 personnes décèdent brusquement, chaque année.
Le taux de survie après arrêt cardiaque est de seulement 10%.

"La majorité des personnes décédées ne sont pas autopsiées. Or, si l'on veut mieux prédire, il faut mieux comprendre les mécanismes, donc être capable d'analyser davantage de données".

www.europe1.fr/sante/mort-subite-de-ladulte-beaucoup-de-deces-pourraient-etre-evites-soulignent-des-experts-4200408
Auteur : Napi 
230/260

Date :    14-12-2024 15:11:09



Extrait du dictionnaire Vidal, ouvrage de référence des professionnels de Santé :

www.vidal.fr/medicaments/comirnaty-jn-1-10-mcg-dose-dispers-inj-255260.html#effets-indesirables
15/10/2024

COMIRNATY = "vaccin" Pfizer

Myocardite et péricardite

Il existe un risque accru de myocardite et de péricardite après vaccination par Comirnaty. Ces pathologies peuvent se développer en l'espace de quelques jours seulement après la vaccination et sont survenues principalement dans les 14 jours. Elles ont été observées plus souvent après la seconde vaccination, et plus souvent chez des hommes plus jeunes (voir rubrique Effets indésirables). Les données disponibles indiquent que la plupart des cas se sont résolus. Certains cas ont nécessité un soin médical intensif et des cas d'issue fatale ont été observés.



www.researchgate.net/publication/370066677_Pourquoi_demander_une_autopsie_apres_le_deces_d%27une_personne_vaccinee_avec_un_vaccin_a_ARN_messager_anti-COVID-19_Quels_examens_reclamer_afin_d%27etablir_le_lien_de_causalite_entre_l%27injection_et_le_dec


Pourquoi demander une autopsie après le décès d’une personne vaccinée avec un « vaccin » à ARN messager anti-COVID-19 ? Quels examens réclamer afin d’établir le lien de causalité entre l’injection et le décès ?

Juin 2023
Auteurs:

Helene Banoun
Jean-Marc Sabatier
Nicole Delépine
Gerard Delépine
Claude Escarguel
Stéphane Gayet
Gerard Maudrux
Jean-Pierre Joseph
Virginie de Araújo-Recchia
Jean-Luc Duhamel

Auteur : Napi 
231/260

Date :    15-12-2024 09:08:46


www.limpertinentmedia.com/post/des-fragments-dadn-peuvent-sintegrer-dans-le-genome-humain?utm_campaign=f80536c9-3657-4bb7-8d7e-5db1b4a331ed&utm_source=so&utm_medium=mail&cid=ab536bef-976a-4d81-a03b-b92b43079764
14/12/2024


«Le modèle commercial des entreprises pharmaceutiques relève du crime organisé»


Le Dr Peter Gøtzsche est un médecin et chercheur danois parmi les plus cités au monde, qui a publié dans les plus prestigieuses revues médicales. Bien avant de cofonder le célèbre institut Cochrane et de présider son antenne nordique, ce ponte des essais cliniques et des affaires réglementaires au sein de l’industrie pharmaceutique a travaillé pour des laboratoires. Fort de cette expérience et de ses travaux scientifiques réputés, Peter Gøtzsche est notamment l’auteur d’un ouvrage sur les méthodes de Big pharma pour corrompre le système de santé. L’Impertinent est parvenu à le convaincre de répondre à quelques questions lors d’une interview exceptionnelle.



-Amèle Debey, pour L’Impertinent: A quel moment vous êtes-vous dit que quelque chose clochait avec notre gestion de la crise Covid?


Je dirais immédiatement. J'ai une formation en maladies infectieuses. J'ai donc très vite compris que ce n'était pas la bonne façon de gérer un virus respiratoire.

On ne peut pas l'empêcher de se propager. Nous le savions déjà, d'après ce que nous savons d'autres virus respiratoires comme la grippe et d'autres coronavirus, qui propagent le rhume. Par conséquent, l'attitude consistant à fermer les frontières très rapidement, à appliquer toutes sortes de quarantaines et à n'autoriser que quelques personnes à se rencontrer, avait peut-être un sens pour certains, mais il s'agissait d'une approche erronée. En Suède, la société est restée ouverte, contrairement au reste du monde, et la surmortalité y est l'une des plus faibles du monde.

Il était insensé de penser que nous pourrions contenir le virus en calfeutrant nos sociétés et j'ai également réalisé très tôt que cela entraînerait d'énormes dommages collatéraux. J'ai donc été très critique à l'égard des mesures prises par les gouvernements du monde entier. Dès mars 2020, alors que la pandémie n'avait que quelques mois, j'ai publié une lettre dans le British Medical Journal sous le titre «Covid-19: Sommes-nous victimes d'une panique collective?»



-Qu'est-ce qui prouve que le Covid s'est échappé d'un laboratoire de Wuhan?


En science, nous travaillons avec des probabilités. Il est rare que nous ayons une certitude absolue sur quoi que ce soit. Et si l'on considère toutes les preuves dont nous disposons, il est extrêmement probable que le virus se soit échappé d'un laboratoire. Non seulement il s'est échappé, mais il a été fabriqué dans le laboratoire, parce que c'est le type de virus dangereux qu'ils y fabriquaient depuis plusieurs années, alors comment se fait-il qu'il ait été possible de tromper le monde entier et de dire à des gens comme moi que nous étions des complotistes?

Ce n'est pas une théorie complotiste, c'est juste être scientifiquement honnête. Bien sûr, ils ont fabriqué le virus et il s'est échappé.


[Cette interview a été réalisée avant la publication du rapport du Congrès américain qui aboutit aux mêmes conclusions.]


-Mais le virus était surtout dangereux pour les personnes âgées et les personnes souffrant de comorbidités, n'est-ce pas? Pas pour les jeunes?


Il n'était pas dangereux pour les enfants. Et l'idée de vacciner les enfants est très mauvaise. Je pense que cela fait plus de mal que de bien, car il s'agit d'un virus bénin chez ces personnes que l'on prend le risque de tuer, par exemple, à cause d'une myocardite. Ce n'est pas raisonnable.

Auteur : EBONYMAY  
232/260

Date :    15-12-2024 11:32:48


"Crime organisé" rien que ça ?!

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