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🍾 À votre santé !
Auteur : Napi  
241/267

Date :    30-05-2025 09:57:13


www.thefocalpoints.com/p/rfk-jr-declares-war-on-the-journal
28/05/2025

RFK Jr. déclare la guerre au cartel des revues
« Nous allons probablement arrêter de publier dans le Lancet, le New England Journal of Medicine, le JAMA et ces autres revues parce qu’elles sont toutes corrompues. »


par Nicolas Hulscher, MPH


Aujourd’hui, sur le podcast Ultimate Human avec Gary Brecka, RFK Jr. a déclaré :

« Nous allons probablement arrêter de publier dans le Lancet, le New England Journal of Medicine, le JAMA et ces autres revues parce qu’elles sont toutes corrompues. Et même les directeurs de ces revues, comme Marcia Angell, qui a été pendant 20 ans à la tête du New England Journal of Medicine, disent que nous ne sommes plus une revue scientifique. Nous sommes un vaisseau de propagande pharmaceutique.

Il a raison. Ces revues ne sont plus que des réceptacles de propagande pharmaceutique.

La Dre Marcia Angell, qui a été rédactrice en chef du New England Journal of Medicine pendant plus de 20 ans, a reconnu publiquement que sa revue et d’autres ont été capturées par l’industrie. Ses mots exacts :

« Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée, ou de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du New England Journal of Medicine."

RFK Jr. a également fait référence au Dr Richard Horton, actuel rédacteur en chef de The Lancet, qui a admis :

« L’argument contre la science est simple : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, peut tout simplement être fausse. Affligée par des études avec des échantillons de petite taille, des effets minuscules, des analyses exploratoires invalides et des conflits d’intérêts flagrants, ainsi qu’une obsession pour la poursuite de tendances à la mode d’importance douteuse, la science a pris un virage vers l’obscurité.

Dans le podcast, RFK Jr. a présenté un plan clair pour remédier à cette corruption :

-Les scientifiques du NIH cesseront de publier dans ces revues corrompues à moins qu’une réforme majeure ne se produise.

-Le NIH allouera 20 % de son budget aux études de réplication, rétablissant ainsi l’intégrité scientifique.

-L’examen par les pairs deviendra transparent et public.

-De nouvelles revues indépendantes soutenues par les NIH seront lancées au sein de chaque institut de santé, devenant ainsi la nouvelle norme pour la science légitime.

À la Fondation McCullough, nous avons rencontré le Journal Cartel de première main. Un excellent exemple de cela est lorsqu’Elsevier a violé de manière flagrante les directives du COPE en censurant notre étude « A Systematic Review Of Autopsy Findings In Deaths After COVID-19 Vaccination » – peu de temps après le succès de l’examen par les pairs et l’acceptation officielle – probablement parce qu’elle a démontré une forte probabilité d’un lien de causalité entre les vaccins COVID-19 et la mort. Notre étude venait de devenir le document de recherche #1 dans le monde entier dans tous les domaines avant qu’Elsevier n’intervienne brusquement

Vous pouvez maintenant lire notre article dans la revue impartiale et transparente
publichealthpolicyjournal.com/a-systematic-review-of-autopsy-findings-in-deaths-after-covid-19-vaccination/

Le contrôle d’accès, la censure ciblée et les rétractations contraires à l’éthique ont supprimé des recherches urgentes et vitales, en particulier celles qui remettent en question les récits pharmaceutiques concernant la sécurité des vaccins.

Les commentaires de RFK Jr. interviennent alors que le ministère américain de la Justice lance une enquête sur les principales revues médicales en matière de préjugés, de fraude et de corruption liés à la pandémie



youtu.be/PIKU0lYfEis?si=FaanO0dok9zPukON
29/05/2025 13 min.39

Robert Kennedy attaque la presse médicale pour fake news !

Professeur Didier Raoult

"La science ne doit pas faire partie d’un marché économique capitalistique sauvage."

Auteur : Napi  
242/267

Date :    31-05-2025 12:32:16




www.lequotidiendupharmacien.fr/exercice-pro/lazithromycine-dans-le-viseur-de-lema
28/05/2025

L’azithromycine dans le viseur de l’EMA

Couramment prescrite, l’azithromycine est cependant un antibiotique critique ayant un impact important sur la résistance bactérienne. C’est pourquoi il est dans le collimateur de l’Agence européenne du médicament qui veut restreindre ses utilisations et émet un avertissement.



www.francesoir.fr/politique-monde/l-argentine-officialise-son-retrait-de-l-oms-lors-de-la-visite-de-robert-f-kennedy
29/05/2025

L’Argentine officialise son retrait de l’OMS lors de la visite de Robert F. Kennedy Jr.



youtu.be/Jb8LRvg1Tl4?si=Fz0kJdqQufMaPkCJ
28/10/2024 53 min.

Interview du Dr RELIQUET sur son nouveau livre - Chroniques de médecine contestataire


"Il risque d’être radié de l’Ordre de médecins en 2025, et a déjà été condamné à plus de 100 000 € d’amende. Quand on fait tomber des mythes lucratifs et qu’on prône des traitements naturels bon marché, on soigne ses patients mais on gêne Big Pharma. Vous le comprendrez en écoutant son interview.

Vincent RELIQUET est un homme de terrain pragmatique doublé d’un infatigable chercheur – un chercheur qui trouve. Remettre en cause telle ou telle chose qu’on lui a enseignée à la fac de médecine n’a jamais fait peur à cet esprit libre, car il est avant tout un scientifique. Les dogmes n’ont pas leur place dans son cabinet.

Avec verve, humour et une indiscutable rigueur, il a écrit des chroniques passionnantes sur une grande variété de questions de santé. En les lisant, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on apprend. On y trouve des lieux communs sérieusement amochés, des vérités cachées et des remèdes oubliés. Et donc, aussi, des conseils de santé. Nous les avons compilées pour vous dans ce premier tome de la collection. Vincent Reliquet nous y conte « l’odyssée » de la vitamine C et dévoile quelques données sur la vitamine D qui pourraient changer votre vie. Il nous explique nos besoins réels en iode et comment se soigner avec de l’eau de mer. Il aborde (sans tabou, vous l’aurez compris) la question du cannabis médicinal, vante l’œuf et nous emmène jusqu’en Afrique noire pour nous parler des vertus de l’armoise. Enfin, l’argent colloïdal étant un remède extraordinaire mais interdit, il fallait bien qu’il en parle aussi.

Assurément, le Dr Reliquet redonne ses lettres de noblesse à la médecine générale. Nous dirions même plus : à la science médicale."

Auteur : Napi  
243/267

Date :    03-06-2025 18:43:15


youtu.be/SkooDpYYtk8?si=wGVfwKkYwti2PsVm
02/06/2025 43 min.

Remettre l’humain au centre des soins
"La médecine a été mise en prison par la politique"

Avec David Bouillon, médecin généraliste belge, co-auteur avec Gil Bréac de « Un jour, j’ai prêté serment »


"J'ai fait une conférence de presse. Le commissaire Corona, donc la personne qui est tout en haut du task 'vaccination', avait dit que c'était un excellent travail, que c'était une bonne étude. Mais la politique a une autre vision. La médecine a été mise en prison par la politique - ça veut dire que la dignité a été mise en prison. Et ça veut dire que l'argent ne peut jamais être entre le médecin et son patient. Donc, on doit soigner pour la dignité, pour le droit à la vie, mais pas pour s'enrichir et pas pour gagner de l'argent. Parce qu'alors, ça veut dire qu'on trahit son serment. Et donc, c'est là le gros problème de cette crise sanitaire."



youtu.be/C4nfKolrCaI?si=gKE2pKGvXZqin5_I
02/06/2025 1h02

Corinne Lalo dénonce une censure INEDITE de la presse


Chapitres :
00:00 - Introduction de Corinne Lalo
01:15 - Présentation du livre « Fausse pandémie, vrai mensonge »
03:40 - Mensonges d’avant, pendant et après le Covid
06:15 - L’affaire H1N1 : répétition générale ?
09:40 - Bill Gates, OMS et conflits d’intérêts
13:00 - Le journalisme avant la censure
16:45 - La création de la section télé au CFJ
21:00 - Tchernobyl : reportage interdit ?
24:50 - Pluralité de l’information dans les années 80
29:40 - Scandale du sang contaminé : révélations
33:30 - La mort du journalisme d’investigation
36:10 - Covid : censure totale et généralisée
39:25 - Twitter Files et censure coordonnée mondiale
43:10 - Où sont passés les débats contradictoires ?
46:20 - Covid : point de non-retour pour l’info libre
49:10 - Médias libres et limites d’Internet
52:10 - 40 ans de recul sur les dérives médiatiques
55:10 - Médias, finance, politique : un système verrouillé
58:10 - Que faire ? Éveiller et reconstruire


"Cela équivaut à de la censure. À partir du moment où il n’y a plus de débat contradictoire, c’est qu’il n’y a plus qu’une pensée unique, la pensée unique du gouvernement. Il n’y a pas de pensée plurielle et donc il y a de la propagande. L’information n’est plus de l’information, c’est de la communication. Quand vous avez, en plein Covid, France 2 qui invite Bill Gates au journal de 20h pour faire la promotion de son livre, qui ne lui pose aucune question dérangeante, qui va même dans son sens, c’est lamentable."

Auteur : Napi  
244/267

Date :    04-06-2025 13:47:29


www.francesoir.fr/societe-sante/lien-entre-un-medicament-et-des-tumeurs-bayer-sandoz-et-viatris-condamnes-au-civil-en
03/06/2025

Lien entre le médicament Androcur et les tumeurs : Bayer, Sandoz et Viatris condamnés au civil en France


Une patiente souffrant de méningiomes (tumeurs au cerveau) attribués au médicament Androcur a obtenu lundi plus de 300 000 euros d'indemnisation des laboratoires Bayer, Viatris et Sandoz pour "défaut d'information" sur la molécule, une décision saluée comme une "première" en France par son avocat.

"Le tribunal déclare la SAS Bayer HealthCare, la SAS Sandoz, la SAS Viatris Santé (...) responsables des préjudices subis", ainsi que le médecin et le pharmacien de la patiente, écrivent les juges du tribunal civil de Poitiers (centre-ouest).

Selon Me Romain Sintès, avocat de la plaignante, ce jugement ouvre la porte à "une multiplication des procédures" d'indemnisation.

Cette femme âgée de 55 ans, qui a pris pendant plus de 20 ans ce traitement hormonal prescrit contre l'hyperpilosité ou encore l'endométriose, présente depuis 2013 de multiples méningiomes, tumeurs non cancéreuses des membranes entourant le cerveau qui peuvent provoquer de graves handicaps neurologiques.

Souffrant aujourd'hui de troubles visuels, de la mémoire et de fatigue importante, la quinquagénaire assure ne pas avoir été prévenue des risques de l'Androcur, alors qu'un article scientifique évoquait dès 2008 un lien entre la molécule (acétate de cyprotérone) et l'apparition de méningiomes.

Ce lien a été clairement établi en 2018 et le tribunal a jugé lundi que le dommage occasionné par la pathologie développée par la plaignante est bien "le résultat des traitements médicamenteux" qu'elle a suivis.

À l'audience en avril, Bayer avait allégué que la patiente n'avait pris l'Androcur que jusqu'en 2004, avant de suivre un traitement générique.

"La SAS Bayer ne s'est pas donnée tous les moyens pour assurer une information rapide et efficiente à destination finale des consommateurs, utilisateurs actifs ou anciens de l'Androcur, pour répondre aux exigences du devoir d'information", ont estimé les juges.

Selon Viatris, producteur d'une version générique, le risque n'était prouvé scientifiquement qu'à partir de 2019. Avant, la modification de la notice était de la responsabilité de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

"La SAS Viatris Santé (ex-Mylan) ne s'est pas davantage donnée les moyens, dès 2008 et a fortiori à compter de janvier 2011, pour permettre aux consommateurs (...) d'avoir connaissance du risque de méningiomes associés à (la) prise prolongée", fait valoir le tribunal, qui rend une conclusion similaire concernant Sandoz.

Les laboratoires (à hauteur de 97 %), le médecin et le pharmacien sont condamnés à verser solidairement environ 325 000 euros, dont 25 % avec effet immédiat.

Pour Me Sintès, cette décision est à sa connaissance une première en France et constitue "la reconnaissance de ce défaut d'information de la communauté médicale".

"En dépit de ce que nous racontaient les laboratoires, ils avaient les moyens de communiquer sur des effets secondaires particulièrement graves, invalidants et surtout irréversibles, qu'ils connaissaient depuis 2008", a-t-il dit à l'AFP.



www.franceinfo.fr/sante/cancer/l-ex-ministre-de-la-sante-aurelien-rousseau-revele-avoir-ete-touche-par-un-cancer_7289673.html
03/06/2025

L'ex-ministre de la Santé Aurélien Rousseau révèle avoir été touché par un cancer

"Nous devons nous préparer à un tsunami"


-> Réaction du Docteur Jean-François Lesgards :

"Discours catastrophique scientifiquement. Il découvre le tsunami de cancers qu'on décrit depuis fin 2021...
Ses raisons: alcool, tabac, surpoids, aliments ultra-transformés, pollution, perturbateurs endocriniens, contraceptifs hormonaux.
Ah bon, ça n'existait pas avant 2021⁉️"

Auteur : Rosalie1334 
245/267

Date :    05-06-2025 19:31:34


Auteur : Napi  
246/267

Date :    06-06-2025 18:00:02


www.humanite.fr/social-et-economie/assurance-maladie/securite-sociale-coupes-budgetaires-et-haro-sur-les-malades-chroniques
04/06/2025

Sécurité sociale : les malades chroniques dans le viseur du gouvernement

Dans sa quête effrénée d’économies, le gouvernement a de nouveau proposé des coupes claires sur la prise en charge des malades de longue durée. 13,8 millions de personnes sont concernées.


->Vivement l'aide à mourir !...



www.youtube.com/live/-RZV63M5qCg?si=dm28ODJf-Eqrsgqq
05/06/2025 2h12

Le temps a bien fait le tri : pourquoi les Etats-Unis donnent raison au Professeur Didier Raoult


Résumé des déclarations publiques de l’expert en santé publique Nicolas Hulscher et de la Fondation McCullough :

Morts excédentaires liées aux vaccins COVID-19 : Nicolas Hulscher et la Fondation McCullough affirment que les vaccins COVID-19 sont associés à une augmentation des décès, basée sur des analyses d’autopsies. Ils citent leur étude : Hulscher, N., et al., « A Systematic Review of Autopsy Findings in Deaths after COVID-19 Vaccination », Science, Public Health Policy and the Law (2023).

Effets secondaires graves : Ils rapportent que l’ARNm des vaccins COVID-19 ne reste pas localisé au site d’injection, mais se distribue dans des organes comme le cœur et le cerveau, entraînant des dommages tels que des myocardites et des arythmies mortelles. Référence : Hulscher, N., et al., « Une revue systématique des résultats d’autopsie dans les décès après la vaccination COVID-19 », Science, Public Health Policy and the Law (2023).

Appel au retrait des vaccins : La Fondation McCullough demande le retrait immédiat des vaccins COVID-19 du marché, arguant que les risques surpassent les bénéfices théoriques. Ils citent : Hulscher, N., Bowden, M. T., McCullough, P. A., « L’examen des appels à la mise sur le marché des vaccins contre la COVID-19 s’intensifie : les risques dépassent de loin les avantages théoriques », Science, Public Health Policy and the Law (2025).

Myocardites post-vaccinales : Ils soulignent une augmentation des cas de myocardites, parfois fatales, liées aux vaccins à ARNm, basées sur des analyses post-mortem. Référence : McCullough, P. A., et al., « Résultats de l’autopsie dans les cas de myocardite mortelle induite par le vaccin COVID-19 », Science, Public Health Policy and the Law (2023).

Hémorragie pulmonaire fatale : Ils rapportent un cas de décès par hémorragie pulmonaire 555 jours après la vaccination, suggérant des effets à long terme. Référence : McCullough, P. A., et al., « Hémorragie pulmonaire mortelle retardée à la suite d’une vaccination contre la COVID-19 : rapport de cas, analyse de lot et liste de contrôle d’autopsie proposée », Science, Public Health Policy and the Law (2023).

Censure scientifique : Hulscher mentionne des obstacles à la publication de leurs études sur les autopsies post-vaccination, dénonçant des biais dans les revues scientifiques. Référence : Hulscher, N., « Les États-Unis à l’ère Trump/RFKjr, vers un tournant dans la santé publique ? », FranceSoir (2025).

Hydroxychloroquine et ivermectine : Ils contestent les affirmations selon lesquelles l’hydroxychloroquine aurait causé des décès massifs, dénonçant des études frauduleuses comme celles de Mehra et Pradelle. Référence : McCullough, P. A., et al., « Pour Mettre Fin à la Désinformation et aux Mauvaises Pratiques Médicales et Scientifiques Concernant l’hydroxychloroquine, » ResearchGate (2025).

Absence d’essais randomisés en double aveugle pour Pfizer et Moderna : Des sources externes critiquent les essais de ces vaccins pour ne pas avoir pleinement respecté le protocole en double aveugle. Les essais de phase III de Pfizer et Moderna sont décrits comme « observer-blinded » plutôt que « double-blinded », ce qui signifie que seuls les observateurs, et non les participants et les investigateurs, étaient en aveugle. Référence : de Lorgeril, M., « Essais cliniques testant les vaccins antiCOVID ARN messager : pas de double aveugle, effet placebo garanti ! », michel.delorgeril.info (2021).

Problèmes méthodologiques dans l’essai Pfizer : Le British Medical Journal, rapportent des témoignages de lanceurs d’alerte sur des violations du principe de double aveugle, des méthodologiques erreurs d’étiquetage, et des effets secondaires non consignés adéquatement lors des essais de phase III de Pfizer. Référence : Thacker, P. D., « Un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai clinique de Pfizer », British Medical Journal (2021).

Nature des vaccins comme thérapies génétiques : La Fondation McCullough, via des publications relayées par des tiers, affirme que les vaccins de Pfizer et Moderna sont des thérapies génétiques à ARNm, transformant le corps en une usine produisant des protéines de pointe, avec des risques potentiels de caillots, défaillances d’organes, et décès.

Hulscher et la Fondation McCullough dénoncent un manque général de transparence et des biais dans les études sur les vaccins. Ils affirment que les données des essais humains de Pfizer et Moderna ont été manipulées ou insuffisamment rigoureuses, s’appuyant sur des études observationnelles plutôt que sur des essais cliniques robustes.

Hulscher et McCullough rapportent une variabilité dans les lots de vaccins Pfizer et Moderna, suggérant que 80 % des décès associés à Pfizer proviennent de 30 % des lots, et 80 % des décès associés à Moderna de 20 % des lots, sans lien direct avec l’absence d’essais en double aveugle, mais pointant des problèmes de contrôle qualité.

Auteur : Napi  
247/267

Date :    12-06-2025 20:55:26


youtu.be/PzcGZb2pyQU?si=ZwjaEOQF2eRnkjXr
12/06/2025 43 min.

Professeur Didier Raoult, « Les cold cases de l’Histoire »
Auteur : Napi  
248/267

Date :    15-06-2025 16:54:24


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/l-affaire-bhattacharya-une-interview-explosive-et-la-reponse-de-l-oms
11/06/2025 45 min.

L’affaire Bhattacharya : une interview explosive et la réponse de l’OMS – debriefing avec Amèle Debey


Le 25 mai 2025, L’Impertinent, média suisse indépendant reconnu pour son journalisme d’enquête rigoureux avec vérifications écrites, publie une interview exclusive du Dr Jay Bhattacharya, directeur des NIH et co-auteur de la Great Barrington Declaration. De professeur à Stanford à directeur des NIH, il a traversé une période tumultueuse où il était considéré comme un paria. « Il a été calomnié, harcelé et même censuré par Twitter », explique Amèle. Pourtant, aujourd'hui, il est à la tête des NIH, avec une mission claire : restaurer l'intégrité scientifique.

Dans son interview avec Bhattacharya, ce dernier dénonce certaines actions de l’OMS, de la modification de la définition de l’immunité collective, à la censure de discours sur les vaccins et la politisation de la science. Selon lui, l'organisation a « manipulé la science afin de promouvoir sa propagande pendant la pandémie ». Amèle Debey souligne que Bhattacharya reproche à l'OMS d'avoir perdu la confiance du public et de s'être détournée de sa mission de protection des plus démunis. « L'OMS a recommandé les confinements, protégeant ainsi les citoyens les plus riches, alors qu'elle est censée être là pour protéger les plus démunis », souligne-t-elle.

Les propos percutants de Bhattacharya, trouvent un écho sur X, mais aussi à l’OMS !

Ce 8 juin, l’OMS contacte L’Impertinent. Une personne, se présentant comme étant du département communication, se met à lui signaler des « erreurs factuelles » sans les détailler par écrit. Le média, fidèle à sa méthode d’enquête et de vérification, fait un travail minutieux de vérification des déclarations et, malgré plusieurs relances à l’OMS restées lettres mortes, Amèle Debey publie ses réponses aux points soulevés oralement par l’OMS. « Il m'a fallu vérifier chaque point soulevé et répondre de manière factuelle », raconte-t-elle.

Cette démarche, bien qu'exigeante, souligne l'importance de la rigueur journalistique et de la vérification des faits. Une réponse détaillée que l’on peut lire dans son article : « Quand l’OMS relève des « erreurs » dans un article de L’Impertinent », où elle maintient que les déclarations de Bhattacharya sont largement étayées, notamment sur l’immunité collective !

Cette affaire s’inscrit dans une méfiance croissante envers l’OMS, critiquée pour son opacité et sa gestion de la pandémie. La réaction de l’OMS, perçue comme une tentative de contrôle du récit, renforce la défiance envers les institutions qui donne un sentiment d’amateurisme.

Ce debriefing offre un regard sur les enjeux de la santé publique et du journalisme en période de crise. Amèle Debey met en avant la nécessité d'un journalisme indépendant et rigoureux, capable de poser les questions difficiles et de tenir tête aux institutions puissantes. C'est son devoir.



youtu.be/Mw5PLyZ85rA?si=feE1ZtN8AAbsWHKT
15/06/2025 1h08

Covid, OMS, Gates :
« Ils ne veulent pas notre santé, ils veulent des malades à vie »
Professeur Christian Perronne

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