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🍾 À votre santé !
Auteur : Napi  
33/267

Date :    10-11-2024 14:10:15


www.francetvinfo.fr/sante/cancer/androcur-une-nouvelle-plainte-deposee-contre-x-pour-mise-en-danger-de-la-vie-d-autrui-et-tromperie-aggravee_6883106.html
07/11/2024

Androcur : une nouvelle plainte déposée contre X pour mise en danger de la vie d'autrui et tromperie aggravée
Les victimes accusent le laboratoire Bayer qui commercialise l'Androcur de retard dans la mise en place de mesures d’information et de prévention.


L'association Amaeva, qui représente des victimes de l’Androcur et d’autres traitements hormonaux, a porté plainte mardi contre X pour mise en danger de la vie d’autrui et tromperie aggravée devant le tribunal judiciaire de Paris, a appris la cellule investigation de Radio France, jeudi 7 novembre, confirmant une information du journal Le Monde. Selon la plainte que la cellule investigation de Radio France s'est procurée, les victimes accusent le laboratoire Bayer qui commercialise l'Androcur de retard dans la mise en place de mesures d’information et de prévention, alors que la dangerosité de l'Androcur et les risques de méningiomes sont connus depuis plusieurs années.

L’Androcur est un médicament dérivé de la progestérone, qui peut provoquer des méningiomes (tumeurs au cerveau) chez certains patients, des tumeurs non-cancéreuses, mais qui peuvent provoquer des paralysies, des troubles de la vue ou de la parole. Il a été massivement commercialisé depuis les années 80 pour traiter une pilosité excessive, l’endométriose et l’acné, ou encore comme moyen de contraception.


"La responsabilité des laboratoires et des autorités publiques est engagée"

2 578 femmes ont été opérées d’un méningiome à cause de la prise d’un médicament progestatif entre 2009 et 2018, selon les données officielles des études de pharmaco-épidémiologie pilotées par EPI-PHARE, structure créée fin 2018 par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et la Caisse nationale de l’Assurance maladie.

"Dès 2004, le neurochirurgien Sébastien Froelich a alerté sur cinq cas de méningiomes", affirme à la cellule investigation de Radio France maître Charles Joseph-Oudin, qui représente des victimes, "c'est à partir de cette date-là, que la responsabilité des laboratoires et des autorités publiques est engagée. Le laboratoire aurait dû informer sur les risques d'effets indésirables et les autorités de santé auraient dû informer également".


"Évaluer le rapport bénéfice/risque pour chaque patient"

Mais il faudra attendre 2018 pour qu'une étude de la CNAM et de l’ANSM établisse "une augmentation du risque de méningiome avec la durée d'utilisation". En 2019, l'ANSM a recommandé aux médecins "d'informer les patients du risque de méningiome", d'"évaluer le rapport bénéfice/risque pour chaque patient, en tenant compte du risque de méningiome", ou encore de ne le prescrire que "dans le respect des indications de l'autorisation de mise sur le marché et aux doses les plus faibles possibles, et sur une courte durée". "Pendant 15 ans, malgré l'existence de ce signal, des femmes ont continué à être exposées à des produits toxiques et potentiellement mortels, sans qu'on les informe des risques", poursuit Charles Joseph-Oudin.

Maître Charles Joseph-Oudin a 250 dossiers pour l’Androcur. Il estime que "la gravité des situations médicales et le nombre des victimes justifient que le parquet du tribunal judiciaire de Paris ouvre une information judiciaire et organise un grand procès pour les victimes de l’Androcur." Une dizaine d’autres plaintes de victimes seront déposées au pénal dans les prochains jours, des victimes qui ont pris l’Androcur sans avoir été alertées par leur gynécologue ou leur endocrinologue qui leur prescrivaient le médicament.

Auteur : Soaltruiste 
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Date :    10-11-2024 15:27:23


Encore un scandale post ci dessus
Auteur : EBONYMAY  
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Date :    10-11-2024 17:37:27


PLAINTE CONTRE X
Aucun labo n'est cité nommément... et pour cause !
Auteur : Napi  
36/267

Date :    11-11-2024 09:47:36


www.bfmtv.com/sante/je-suis-je-ne-sais-ou-faute-de-place-aux-urgences-il-est-hospitalise-dans-le-garage-de-l-hopital_AV-202411110115.html?at_brand=BFMTV&at_compte=BFMTV&at_plateforme=twitter&at_campaign=Fan_pages&at_medium=Community_Management
10/11/2024

"Je suis je ne sais où": faute de place aux urgences, il se retrouve installé dans le garage de l'hôpital


Souffrant d'une inflammation des intestins, Gérard Claudet s'est rendu aux urgences de l'hôpital de Langres, en Haute-Marne. Vingt-quatre heures après son arrivée, il a été transféré dans une salle aménagée dans le garage de l'établissement, qui était saturé fin octobre.
Gérard Claudet n'en revient toujours pas. Ce père de famille était en vacances en Haute-Marne, quand il a ressenti des douleurs au niveau du ventre: une inflammation des intestins. Orienté par le Samu, il s'est rendu le samedi 26 octobre aux urgences de l'hôpital de Langres, à une soixantaine de kilomètres au nord de Dijon, et y a passé une première nuit.

Mais 24 heures après son arrivée, le personnel lui explique qu'il ne peut pas rester. Son état nécessite pourtant une hospitalisation de plusieurs jours.

Dans la nuit du dimanche au lundi, "à une heure du matin, on vient me chercher et on me dit 'on est obligé de vous déplacer'", se rappelle Gérard Claudet. "Ok, je vais où? Comment ça se passe?" demande-t-il.


"Écoutez, dans un garage. Quand on a plus de place ici, ce n'est pas compliqué: on ouvre le garage et on y met des patients", aurait alors répondu le personnel.


Il interpelle la ministre de la Santé

Sur les images transmises par le père de famille à BFMTV, on peut voir plusieurs lits dans un garage, l'un à proximité de la porte. Selon le récit de Gérard Claudet, le bruit de la ventilation de la pièce était assourdissant. Quatre personnes se trouvaient dans cette salle de triage aménagée.


"Je suis je ne sais où. En temps de guerre, à un endroit où on installe les malades? Je ne sais pas trop où est-ce qu'on est, mais en tout cas pas dans un hôpital français", s'insurge Gérard Claudet à notre micro.


Excédé, il demande à rentrer chez lui le lendemain. Et décide d'écrire à l'Agence régionale de Santé, au centre hospitalier de Langres et au ministère de la Santé. "Je demandais dans ce courrier à avoir un retour argumenté et je précise que j'invite ces décisionnaires à venir passer une nuit avec moi dans ce garage".

À ce jour, sa lettre est restée sans réponse. Joints par téléphone et par mail, ni l'Agence régionale de Santé ni le centre hospitalier n'ont répondu à BFMTV.
Auteur : Napi  
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Date :    14-11-2024 17:55:32


youtu.be/ZIuR4yKSMho?si=QxXYPa6oFYp0FGbj
14/11/2024 55 min.

Un biologiste renommé balance du très lourd sur les OGM !

Gilles-Eric Séralini
Biologiste, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen
Spécialiste des OGM et des pesticides
Auteur de nombreux ouvrages d’abord controversés tels que “Génétiquement incorrect” et “Ces OGM qui changent le monde”
Auteur plus récemment de “L'Affaire Roundup à la lumière des Monsanto Papers”
Auteur : Napi  
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Date :    17-11-2024 14:16:25


www.genethique.org/canada-venue-pour-subir-une-mastectomie-on-lui-propose-leuthanasie/
15/10/2024

Canada : venue pour subir une mastectomie, on lui propose l’euthanasie


Une Canadienne âgée de 51 ans et atteinte d’un cancer du sein s’est vu proposer une euthanasie, « alors qu’elle était sur le point d’entrer dans le bloc opératoire » pour y subir une mastectomie.

L’impression « d’être un problème dont il fallait se débarrasser »

Le médecin qui devait pratiquer l’intervention a passé en revue tous les risques de l’intervention avec elle. Puis il lui a demandé si elle connaissait l’« aide médicale à mourir » (AMM). « Tout ce que j’ai pu dire, c’est que je ne voulais pas en parler », témoigne la patiente. « J’avais peur, j’étais seule, j’avais froid et je ne savais pas ce qui m’attendait. » « Cela m’a bouleversée », explique-t-elle. « Pourquoi m’a-t-on posé des questions sur l’aide à mourir, alors que j’étais sur le point de subir une intervention chirurgicale qui, je le crois vraiment, m’a sauvé la vie ? », interroge-t-elle.

Au total, cette « proposition » lui aura été faite à trois reprises, dont une fois en salle de réveil, à l’issue de son intervention. « J’avais l’impression d’être un problème dont il fallait se débarrasser plutôt qu’une patiente qui avait besoin d’un traitement », témoigne cette jeune grand-mère.

L’« aide à mourir » plutôt que les soins ?

Cette Canadienne attend depuis un an un rendez-vous dans une clinique spécialisée dans le traitement de la douleur. « Pourtant, si j’appelais la ligne d’assistance MAID[1] ce matin, je parlerais à un médecin demain après-midi », assure-t-elle. Le Canada affiche également une pénurie en matière de soins palliatifs. Seule « un peu plus de la moitié des lits nécessaires » est disponible.

L’« aide à mourir », qui a été légalisée au Canada en 2016, est désormais la cinquième cause de décès dans le pays. Seuls les Pays-Bas affichent un taux de décès plus élevé. « Si nous devions parler de ces taux avec n’importe quelle autre cause de décès, il s’agirait d’une catastrophe nationale », pointe Alexander Raikin, expert en bioéthique au Centre d’éthique et de politique publique (cf. Québec : l’euthanasie en hausse de 17 %).



[1] Medical aid in dying, « aide médicale à mourir »

Source : Telegraph, Cameron Henderson (14/10/2024)
Auteur : EBONYMAY  
39/267

Date :    17-11-2024 15:33:33


Incroyable ! et mon second fils vit à Montréal. J'en suis malade.
Auteur : Napi  
40/267

Date :    20-11-2024 16:00:44


www.publicsenat.fr/actualites/sante/sante-le-gouvernement-annonce-une-baisse-du-remboursement-des-medicaments-en-2025
18/11/2025

Budget de la Sécu : le gouvernement annonce une baisse du remboursement des médicaments en 2025

« Le ticket modérateur sur les médicaments augmentera de 5 % », a annoncé la ministre de la Santé, Geneviève Darrieussecq, à l’ouverture de l’examen du budget de la Sécurité sociale au Sénat. Une hausse qui vient en complètement de celle du ticket modérateur de la consultation médicale, fixé aussi à 5 %.

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