Un article intéressant sur le populisme d'extrême-droite et le populisme d' extrême gauche.
Même s'il date un peu, il éclaire bien la problématique.

Extrait :

[ Pour sa part, Pierre-André Taguieff ) distingue :

• le « populisme protestataire »
• du « populisme identitaire ».

Le premier fait appel à l’ensemble des citoyens contre ceux « d’en haut », contre les « élites » tandis que le second se construit et se structure autour d’une identité et d’une histoire nationale qui s’opposeraient aux « étrangers ». ]

Désolée Aubagnais, mais je poste encore un lien qui montre la seule vraie différence entre les deux populismes.


www.cairn.info/revue-nouvelle-2018-5-page-75.htm

ROSALIE 73

Eh bien, voilà une nouvelle fois un lien bien intéressant et qui, dans ce cas précis, enrichit et précise ma perception du populisme.

J'ai également noté au début:
"À défaut de pouvoir identifier clairement le peuple, l’électeur doit facilement reconnaitre ceux qui en sont exclus. Autrement dit, à défaut de savoir « qui il est », il faut savoir « qui il n’est pas ». L’identité négative domine la rhétorique populiste. Elle se définit « contre » les autres identités en insistant sur la différence, la frontière, l’exclusion et le rejet."

Et je retiens aussi , dans cet exposé, cette phrase, quand même quelque peu utopique, de J.L. MÉLENCHON:
"Nous voici, nous autres, le peuple central, celui qui aspire à vivre de son travail, de ses inventions, de ses poèmes, de son gout d’amour pour les autres »
Que le monde serait plus souriant avec une telle réalité!

En effet Bruno, difficile d'y croire aujourd'hui.

Un lien de circonstance :

Extrait :

[ Tout individu normal est capable de participer à la vie en commun, de comprendre la nature des devoirs réciproques et de respecter les obligations et les engagements mutuels. Les différences biologiques qui existent entre les membres des divers groupes ethniques n'affectent aucunement l'organisat'on politique ou sociale la vie morale ou les rapports sociaux. ]

unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000081475_fre

Et que dire des pratiques ancestrales, admirables, que l'on doit préserver tout autour de la planète et qui montrent l'ingéniosité universelle de l'homme :

ich.unesco.org/fr/listes

Auteur : Bigben  

@post 71 : quoi qu'il en soit, Jo, ne crois-tu pas que c'est spectacle pitoyable
--> de voir tous les "has been" (je précise : de tous bords)
--> sortir du bois (comme des affamés) et, la gueule enfarinée,
--> venir mendier un bol de soupe sur les plateaux-télé ? ...
P.-S. : quant au freluquet dont on parlait comme le "Mozart de la finance" ,
--> ... faudrait qu'il révise son solfège ! (mais nul doute qu'on le reverra bientôt faire à nouveau ses gammes dans une banque privée... ou à la BCE... ou au FMI ! )

N.B. : pour traduire son mécontentement face à ses dirigeants, le sarcasme est ce qui reste à un peuple,
--> et c'est préférable à la violence de rues (encore qu'il en constitue parfois le ferment) ! ...

Auteur : DALIGALA57  

Pourquoi le RN et pas Zemmour ?

En ce qui concerne notre Président, après une période d'une année démontrant que le RN nuit aux intérêts des français, et avec un parlement ingérable, il démissionnera et pourra se représenter (Avis favorable du conseil d'Etat et du Conseil Constitutionnel).

Pendant cette année, les serviteurs du Capital, à travers les massmédias mainstream, continueront de rabâcher que la gauche est violente, totalitaire, antisémite, ...comme à l'époque du maccarthysme : pas touche au Capital !

Des poutous, mon BigDoudouBientôtEnTenueKaki

Auteur : Bigben  

Mon cher Dalicagou,
--> rien n'est moins sûr que ton hypothèse (= espoir de sauver le soldat Macaron par une démission suivie d'une nouvelle candidature dans la foulée) : l’article 6 de la Constitution dispose que "le président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs" . Issue d’une révision constitutionnelle de 2008, la limitation du nombre de mandats à deux avait d’abord été écartée par Jacques Chirac en 2000, avant d’être reprise par Nicolas Sarkozy. Elle s’inspire de l’exemple américain (là-bas aussi le mandat présidentiel est le seul pour lequel une limitation de son exercice dans le temps est prévue) , mais aussi de Constitutions européennes où le président de la République est élu au suffrage universel direct (Autriche, Finlande, Pologne, Portugal)
--> certes, j'en conviens, en 2022, le Conseil d'État avait autorisé le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, à se représenter une troisième fois -- parce que l'un de ses deux mandats n'avait duré que quatre ans, au lieu de cinq, et qu'il est écrit, dans la loi organique de Polynésie française, que le président de l'archipel "ne peut exercer plus de deux mandats de cinq ans successifs".
--> or, NUANCE DE TAILLE, la Constitution nationale, à ce sujet, stipule que "le Président ne peut exercer plus de deux mandats successifs de cinq ans"
... Comme quoi l'ORDRE DES MOTS peut avoir son importance !!!
N.B. : : mais, apparemment, rien ne l'empêche de se représenter... en 2032... s'il le souhaite !

P.-S. : toutefois,
--> après s'être gaussé (et avoir profité) du RENONCEMENT de son prédécesseur à se représenter à la Présidence de la Nation,
--> quel aveu de faiblesse (et quelle honte) ce serait pour le freluquet d'avoir à DEMISSIONNER de la magistrature suprême !!!
--> sans doute son couple ne résisterait pas à pareille fâcheuse aventure ! ...
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Le débat hier soir moins intéressant que le premier.
Les intervenants n'ont fait que se répéter par rapport au premier débat, notamment ATTAL et BARDELLA puisque FAURE n'a fait qu'une émission.

BARDELLA exaspérant avec son jeu de mains qui parasitent son discours.
Son conseiller en communication devrait revoir sa copie.
Une erreur importante : "les éoliennes ne stockent pas l'énergie". Faux.

ATTAL toujours crispé et tendu. On comprend que l'enjeu soit important mais trop de tensions nuisent à sa prestation.

FAURE moins percutant que BOMPARD mais tout aussi posé et maître de son discours, malgré les interruptions intempestives de BARDELLA.

Beaucoup de promesses : construction de nouvelles centrales nucléaires opérationnelles dans dix ans, plus de profS, plus de policiers .. oui mais puisque les caisses sont vides? où trouver tout l'argent ? Cette question vaut pour tous les partis.

( EDF évalue à 67,4 milliards d'euros les coûts de son programme de construction de six nouveaux réacteurs nucléaires en France )

Auteur : EBONYMAY  

Merci André.