"Unie dans la diversité" : C'est la devise du drapeau européen depuis l'année 2000.
2020 : L'Europe dans le doute : croissance économique en berne, dette souveraine problématique, crise des migrants et Brexit.
Mais, la pandémie et le conflit Ukraine/Russie ont exigé une coordination et un resserrement politique.
2021 : pour la première fois de son histoire, l'Europe a émis de la dette commune pour faire face aux crises. La solidarité du Nord et du Sud s'est imposée. En même temps, la guerre d'Ukraine a rapproché l'Europe occidentale de l'Europe orientale.
2024 : les élections européennes bouleversent le paysage politique en France mais la composition du Parlement européen ne remet pas en cause la place des deux principales formations :
le Parti Populaire Européen ( PPE) avec 189 sièges ( +13) : la droite du Parlement
et le parti des Socialistes et Démocrates ( S&D) avec 136 sièges (-3) : la gauche du Parlement.
Le groupe Conservateurs et Réformistes Européens avec 83 sièges (+14 ) enregistre une bonne croissance pendant que les Libéraux et Écologistes ( Renew Europe : RE) perdent 21 sièges et n'ont plus que 81 députés.
Pour Bruno ALOMAR ( ancien haut fonctionnaire européen) la démission de Thierry BRETON est une nouvelle expression de l'affaiblissement de la France au sein de l'Union.
La France est devenue le "maillon faible" dont on n'écoute plus la voix en raison de la gestion critique de ses finances publiques.
Encore un passif qui s'ajoute au bilan de notre président MACRON.
Ben, ce serait t'y pas que "les choses" (la situation) a changé ces derniers temps ?
Au fait, la "démission" de Thierry Breton est la conséquence des "magouilles" (intrigues, accommodements, tripotages, etc.) entre Ursula Von Der Leyen et Macron pour remplacer celui-ci par "le stagiaire" Stéphane Séjourné (que Macron tenait absolument à placer).