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🇪🇺 Unie dans la diversité 
Auteur : Napi  
57/82

Date :    21-07-2025 14:10:22



www.decitre.fr/livres/ou-est-mon-cycle-et-toi-ou-est-le-tien-9782874342059.html

Où est mon cycle ?. Et toi, où est le tien ?
Par :
Mélodie Feron


Résumé

J'ai eu la chance infinie que les femmes me fassent confiance et me confient leur intimité la plus grande à travers ces témoignages. J'écris ce livre comme un devoir de mémoire, pour que nous n'oublions jamais ces années terrifiantes de la Covid, ce à quoi nous avons été obligées, une expérimentation de masse, avant même la fin des études cliniques officielles (prévue en 2023 et 2024). Cette injection forcée qui a détruit la vie de dizaines de milliers d'entre nous, les femmes, en France et dans le monde, et qui avons constaté après 1 ou 2 voire 3 injections notre cycle menstruel totalement perturbé.
Hémorragique, extrêmement douloureux ou absent, notre cycle et nos corps ne nous appartenaient plus. Certaines ont même, douleur immense, perdu leur âme de femme, de mère voire leur utérus... La souffrance individuelle, émotionnelle, cette détresse, a retenti douloureusement pour chacune, et au-delà, à travers leur vie de couple, leur vie sexuelle, leur vie sociale et leur désir de maternité parfois anéanti.
C'est un drame personnel, immense, aux conséquences psychologiques incalculables. Je souhaite que nous nous unissions, et qu'ensemble, nous les femmes, nous reprenions la souveraineté de notre corps qui à travers les âges nous a trop souvent été enlevée. La grande découverte de cette triste aventure est cette force qui nous unit, loin de tout cliché, les unes aux autres. Nous sommes symboles de chaleur et de Vie, celle que nous construisons pour nos enfants au jour le jour ou que nous donnerions demain.
Au-delà de mon propre vécu, ce livre est une recherche de justice et de vérité. Je veux rendre la parole aux femmes, à leurs souffrances, et mettre en lumière leur solitude pour qu'elle cesse. L'histoire d'Où est mon cycle, c'est notre histoire à toutes, ni seules, ni folles, dans une société malade où l'économie et l'accumulation de richesses superflues passe avant le futur et malheureusement avant ce qui doit être la première évidence : la Vie.

Auteur : Napi  
58/82

Date :    14-08-2025 21:12:26


www.disclose.tv/id/33ahwmd0xk/
09/08/2025

La « loi sur la liberté » des médias de l’UE autorise l’arrestation de journalistes si « l’intérêt public » le justifie


La loi européenne sur la liberté des médias est désormais en vigueur dans tous les États membres de l’UE. Cette législation vise à protéger la liberté de la presse et le secret des sources.


Cependant, les articles 3 (b) et 4 (c) de la loi autorisent l’arrestation de journalistes si un « intérêt public » impérieux le justifie au cas par cas.


« Les États membres ne prennent aucune des mesures suivantes... détenir, sanctionner, intercepter ou inspecter les fournisseurs de services de médias »... à moins qu’elle ne « soit justifiée au cas par cas par une raison impérieuse d’intérêt général ».

La nouvelle loi contient également de nombreuses dispositions qui appellent à l’action contre la « désinformation » présumée. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a déclaré : « Une presse libre et indépendante est un pilier essentiel de notre démocratie. »


La loi comprend des dispositions de surveillance pour les crimes graves, tels que le « terrorisme et le racisme ». Il impose une coopération entre les organismes de réglementation nationaux pour « lutter contre la désinformation ».


En outre, il sera établi des « listes nationales » répertoriant les propriétaires et les adresses des médias, comme le prévoit l’article 6. Malgré son intention de renforcer la liberté des médias, ses détracteurs affirment qu’il pourrait restreindre davantage le journalisme sous couvert de protection.




youtu.be/d6V2-CQg-8Q?si=PhGFdu0ZaJ6D3n54
13/08/2025 1h

« Cette loi ouvre la porte à une censure totale ! » - Régis de Castelnau


Sensé améliorer la protection des journalistes et de leurs sources, le European Media Freedom Act ouvre au contraire la porte à une plus grande censure et une meilleure surveillance des journalistes. Un décryptage juridique signé Régis de Castelnau sur cette nouvelle loi liberticide bruxelloise

Auteur : Bigben  
59/82

Date :    14-08-2025 21:23:18


@post ci-dessus : Serge, "ils" envoient le bouchon de plus en plus loin,

--> signe qu'en fait ces gens qui nous gouvernent sont sur la défensive (et n'ont surtout pas la conscience tranquille) !
/
Auteur : Rosalie1334 
60/82

Date :    27-08-2025 19:56:50


"Il est du droit souverain de l'UE et de ses États membres de réglementer les activités économiques sur notre territoire dans le respect de nos valeurs démocratiques", a déclaré la porte-parole de l’exécutif européen, Paula Pinho.

Trump menace l'Europe de nouvelles représailles si la "Tech" américaine est touchée par les règlements et les amendes.

www.touteleurope.eu/economie-et-social/numerique-donald-trump-menace-de-sanctions-les-pays-qui-discriminent-la-tech-americaine/
Auteur : Napi  
61/82

Date :    25-09-2025 18:22:38


euractiv.fr/news/la-mediatrice-europeenne-enquete-sur-les-sms-echanges-entre-von-der-leyen-et-macron-au-sujet-de-laccord-ue-mercosur/
23/09/2025

La Médiatrice européenne enquête sur les SMS échangés entre von der Leyen et Macron au sujet de l’accord UE-Mercosur


La Médiatrice européenne Teresa Anjinho a ouvert mardi 23 septembre une enquête sur un échange de SMS entre la présidente de la Commission et le président français au sujet de l’accord commercial controversé conclu par l’UE avec les pays du Mercosur.


Cette décision fait suite à une plainte déposée par un journaliste du site d’investigation Follow The Money, après que sa demande d’accès à un message échangé entre les deux présidents en 2024 a été ignorée pendant 15 mois, avant d’être finalement rejetée.

La Médiatrice enquêtera sur la manière dont la demande d’accès a été traitée par l’exécutif de l’UE.

La Commission a déclaré qu’elle n’avait pas pu identifier le message en question, et ce malgré des « recherches exhaustives ». Elle a également expliqué que le SMS avait été envoyé via l’application mobile de messagerie instantanée Signal avec le mode « messages éphémères » activé, et qu’il n’était donc plus stocké sur le téléphone d’Ursula von der Leyen.

Cette affaire rappelle celle du « Pfizergate », dans le cadre de laquelle le New York Times a contesté le refus de la Commission de divulguer les SMS échangés entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, pendant les négociations des contrats de vaccins contre la Covid-19. En mai, la Cour de justice de l’UE a jugé que la Commission n’avait pas fourni d’explication « plausible » pour justifier son rejet de cette demande.

À la suite de la plainte au sujet du SMS avec Emmanuel Macron, l’organisme de surveillance des institutions et organes de l’UE a demandé à rencontrer les services de la Commission avant la mi-octobre 2025 et a requis des documents internes ayant trait à la manière dont la demande d’accès a été traitée.

L’accord UE-Mercosur, conclu fin 2024 après 25 longues années de négociations, est l’accord commercial le plus important et le plus controversé signé par la Commission à ce jour. S’il entrait en vigueur, il créerait une zone de libre-échange de plus de 700 millions de personnes. Toutefois, il s’est heurté à plusieurs reprises à une opposition farouche de la part des organisations d’agriculteurs, en particulier en France, et des mouvements écologistes de l’ensemble du bloc.

Début septembre, la Commission a approuvé le projet d’accord avec le bloc sud-américain et a lancé le processus de ratification du texte. Pour répondre aux inquiétudes des Européens, elle a promis de mettre en place de garanties pour les agriculteurs de l’UE.

Auteur : Napi  
62/82

Date :    03-10-2025 17:57:16


brusselssignal.eu/2025/10/cover-up-ep-leadership-blocks-committee-of-inquiry-into-ec-chiefs-vaccine-deal/
01/10/2025

La direction du Parlement européen bloque la commission d’enquête sur l’accord sur les vaccins du chef de la Commission européenne


Les demandes d’ouverture d’une enquête sur l’accord controversé de Pfizer impliquant la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ont été rejetées à Bruxelles.

L’organe directeur du Parlement européen a rejeté l’appel à la formation d’une commission chargée d’examiner l’engagement de 35 milliards d’euros de von der Leyen pour les vaccins de la société américaine, tout en retenant ses échanges de SMS avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla.

Sous la direction du Parti autrichien de la liberté (FPÖ), 182 eurodéputés ont soutenu la formation d’une commission.


Parmi les partisans figuraient deux membres slovènes du Parti populaire européen, tous membres du groupe Patriotes pour l’Europe, ainsi que des membres de l’Europe des nations souveraines (ESN), des éléments des Conservateurs et réformistes européens (ECR) et quelques eurodéputés indépendants.

Avec 182 eurodéputés favorables, ils ont atteint le quorum de 25 % du nombre total d’eurodéputés nécessaires pour former la commission.

Malgré cela, la Conférence des présidents, le gouvernement corps du Parlement européen, composé des présidents des groupes politiques et du président du Parlement européen, a rejeté l’appel.

Ils ont refusé d’inscrire la motion à l’ordre du jour, ce qui signifie qu’elle ne pouvait pas être mise aux voix.

« Tant pis pour la transparence et la démocratie à Bruxelles », a déclaré l’eurodéputé FPÖ Gerald Hauser à l’issue de la décision.

Il a accusé les partis de l’establishment de continuer à « bloquer l’obligation de rendre des comptes » et d'« enterrer l’affaire ».

Hauser a fait valoir que l’accord sur les vaccins de von der Leyen, conclu par SMS, contournait toute surveillance de l’Union européenne.

Il a noté que, malgré une décision de la Cour de justice de l’UE ordonnant la divulgation des messages, von der Leyen a refusé, attaquant plutôt ceux qui appellent à la transparence.

Lors du débat parlementaire sur la motion de censure du 7 juillet, Von der Leyen a évité la plupart du temps les critiques de ses opposants. Elle est cependant passée à la contre-offensive contre ce qu’elle a appelé les « extrémistes » politiques.

Plutôt que d’aborder les messages controversés et encore cachés entre elle et Bourla, la présidente de la CE a qualifié les eurodéputés opposés à elle d'« anti-vaccins » et d'« apologistes de Poutine ».

Auteur : Napi  
63/82

Date :    18-10-2025 14:29:44


youtu.be/4AKk2tlbn7c?si=qcJ7e361jZGK6TM5
14/10/2025 14 min.38

L’UE veut censurer des recherches sur les effets indésirables !
Emmanuelle Darles
Docteure en informatique et enseignante-chercheuse

🚨L’Agence européenne des médicaments ordonne l’effacement de toutes les données sur les effets indésirables liés aux vaccins contre le Covid :

🤐« La prochaine étape, c’est de nous mettre un scotch sur la bouche ? On ne sait même pas si tout cela est légal. »

⁉️« Qu’est-ce qu’on cherche à cacher finalement ? Ça pose vraiment des questions de transparence. »

Emmanuelle Darles alerte sur la décision de l’Agence européenne des médicaments d’effacer l’ensemble des données concernant les effets indésirables des vaccins anti-Covid.



youtu.be/bYQCZ_zNskU?si=wdRxfcznthdszrMw
16/10/2025 13 min.25

Effets secondaires : quand Bruxelles veut effacer les traces
Vincent Pavan
Chercheur en mathématiques à l’Université d’Aix-Marseille

💉 « Pendant quelques années, on a fait pas mal de statistiques sur les effets indésirables des vaccins en utilisant les données de l’Agence Européenne du Médicament et d’UVARs, il y en avait 1 toutes les 100 injections, ce qui est effrayant ! Aujourd’hui, nous avons reçu une lettre très menaçante nous demandant d’effacer nos résultats sur les effets indésirables. »

Vincent Pavan révèle avoir reçu une lettre menaçante de l’Agence européenne des médicaments, lui demandant expressément de retirer les résultats de ses études sur la dangerosité des vaccins contre le Covid.



www.politico.eu/article/eu-funds-pension-systems-budget-legal-protests/
17/10/2025

L’UE envisage de retenir des fonds provenant de pays qui ne réparent pas les systèmes de retraite

Bruxelles craint que le vieillissement de la population européenne ne provoque des crises budgétaires si les pays membres ne s’attaquent pas aux systèmes de retraite non viables.


La Commission européenne envisage de lier la réforme des retraites aux versements en espèces du prochain budget de 2 000 milliards d’euros de l’UE, alors qu’elle tente de protéger les finances des pays membres d’une crise démographique imminente.

Trois hauts responsables de l’UE ont déclaré à POLITICO que les branches législatives économiques et financières de l’exécutif européen cherchaient à renforcer les systèmes de retraite publics des pays en recommandant des politiques d’épargne-retraite à chaque pays.

Si les capitales de l’UE ignorent ces recommandations par pays, elles risquent de ne pas obtenir leur pleine part du budget de l’UE sur sept ans à partir de 2028.

Auteur : Napi  
64/82

Date :    22-10-2025 13:43:26


elucid.media/politique/un-super-etat-virtuel-pour-les-multinationales-le-nouveau-projet-fou-de-bruxelles
20/10/2025

Un super-État virtuel pour les multinationales : le nouveau projet fou de Bruxelles


La Commission européenne planche sur la création d’un 28e État membre totalement fictif, qui pourrait être doté de son propre droit des sociétés, droit des faillites et droit du travail. Toutes les entreprises européennes pourraient opter pour ce régime alternatif à la place de leur législation nationale. Il s’agit ni plus ni moins de créer un droit fédéral des affaires taillé sur mesure pour les multinationales – un potentiel État virtuel du dumping réglementaire, pour le plus grand bonheur de nos patrons. Un projet sans équivalent au monde, qu’aucune entreprise n’a obtenu, pas même aux États-Unis sur leur propre territoire. Un paradis fiscal, juridique et social virtuel, sous drapeau européen, pourrait-il être proposé par la Commission en 2026 ? Des États s'y opposeront-ils ? On vous explique tout !


La Commission est en passe de doter le capitalisme européen d’une arme de destruction massive contre les droits sociaux, la plus redoutable de l’histoire – devant l’euro et le libre-échange – qui anéantirait toute perspective de progrès social. Son nom de code : « 28e régime ».

Vous n’en avez pas entendu parler ? C’est normal : ce projet reste largement inconnu du grand public. Pourtant, à Bruxelles, le 28e régime est sur toutes les lèvres. Il circule dans les cabinets d’avocats et de lobbyistes, et a été repris par les plus hautes instances de l’UE : Enrico Letta l’a évoqué dans un rapport en avril 2024, Mario Draghi en a parlé dans un rapport en septembre 2024, et Ursula von der Leyen l’a même annoncé officiellement dans son discours sur l’état de l’Union du 10 septembre 2025 : « Pour les entreprises innovantes, nous préparons le 28e régime… ».

Alors, de quoi s’agit-il au juste ? En clair, ce 28e régime consisterait à créer ex nihilo un cadre juridique fédéral optionnel, englobant les principaux pans du droit des affaires (sociétés, faillites, fiscalité, travail). Théoriquement, la souveraineté des États serait préservée, puisque ce régime n’entraînerait pas la suppression des lois nationales – chaque entreprise restant libre de ne pas y souscrire. Mais qui peut croire qu’une entreprise refusera le cadre le plus souple et avantageux jamais conçu ? L’objectif assumé est en effet que ce 28e régime soit plus favorable que tous les droits nationaux existants réunis. S’il tient ses promesses, l’adoption massive de cette « option » rendrait de fait caducs les droits nationaux (obsolètes par abandon). En pratique, on obtiendrait un véritable droit fédéral unifié des affaires, sans le dire ouvertement.

[...]


Le dernier jour de la consultation, de nombreuses organisations patronales, la plupart basées à Bruxelles, se sont manifestées en faveur du projet et notamment la plus puissante d’entre elle, la table ronde des industrielles (ERT). On peut aussi trouver les commentaires de DigitalEurope, SME United, de eBay, de Deutsche Börse Group, de la confédération des entreprises suédoises et bien sûr de EU-Inc à l’origine de l’initiative.

Du côté français, parmi les contributions notables figurent celles de la CPME (organisation patronale des PME) et du Cercle Montesquieu (club de juristes d’entreprise proche du Medef) – deux fervents soutiens de la proposition. Le Cercle Montesquieu estime même qu’il faudrait aller beaucoup plus loin dans l’harmonisation du droit des affaires, en couvrant des pans plus larges que le projet actuel.

Au final, une écrasante majorité des répondants se prononcent en faveur du 28e régime. Fait notable, un consensus se dégage pour refuser que le 28e régime soit instauré par une directive européenne (ce qui exigerait une transposition dans chaque État, avec le risque de divergences supplémentaires). Or la Commission, dans son questionnaire, laissait entendre qu’elle privilégiait justement la voie de la directive – tout comme le Parlement européen dans son rapport préliminaire. Ce choix procédural pourrait donc devenir un point de friction à l’avenir.


Des syndicats et des partis de gauche aux abonnés absents

L’autre enseignement frappant de cette consultation, c’est l’absence quasi totale des syndicats et de la gauche politique dans le débat. Seulement deux syndicats ont contribué publiquement : la confédération allemande DGB, ainsi que la confédération danoise (the Danish Trade Union Confederation), qui ont vivement dénoncé un projet menaçant les droits des salariés. La DGB rappelle qu’au début des années 2000, le statut de Société Européenne (SE) (voir plus haut) avait été massivement utilisé pour priver les salariés allemands de ce droit (dans 83 % des cas, les entreprises ayant adopté le statut SE l’ont fait pour esquiver la participation des employés).

Mis à part ce cri d’alarme venu d’outre-Rhin, c’est le silence radio du côté des travailleurs. Aucune contribution des grands syndicats français (pas un mot de la CGT, de la CFDT, de FO ou de la CFTC), pas davantage de réactions officielles des partis de gauche. Pendant ce temps, le patronat, lui, s’est bien mobilisé : comme on l’a vu, le Medef (via BusinessEurope), France Digitale, la CPME, le Cercle Montesquieu et consorts ont répondu présents à la consultation et multiplié les réunions avec Bruxelles.

Pour être juste, signalons qu’au niveau européen, la Confédération européenne des syndicats (CES) a réagi dès mars 2025, en rejetant fermement l’idée d’inclure des dispositions de droit du travail dans un 28e régime. La CES a prévenu qu’elle s’opposerait à tout dispositif qui permettrait de contourner les protections sociales existantes, le droit du travail national ou les conventions collectives au prétexte d’un régime optionnel supplémentaire.

Plus inquiétant encore : aucun responsable politique de premier plan ne semble disposé à monter au front. L'eurodéputée macroniste Valérie Hayer et le vice-président exécutif pour la prospérité et la stratégie industrielle de la Commission européenne, Stéphane Séjourné peuvent même se vanter tranquillement sur les réseaux sociaux du lancement du 28e régime, sans rencontrer la moindre contradiction.

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