1 / sur le conflit ukrainien (qui devait être réglé en 24 heures s'il était élu ).
Pas d'avancée majeure. Le président semble être du côté de l'Ukraine mais pas de Zelinsky.
Pour le moment, c'est Poutine qui garde le contrôle.
À Gaza, Netanyahu continue à faire ce qu'il veut au mépris des lois internationales élémentaires.
2 / Sur l'OTAN. Les menaces de désengagement favorisent un réarmement européen : un plan sur cinq ans.
3 / Sur la guerre commerciale : protectionnisme agressif mais reculs devant les impératifs du marché boursier ( la Chine détient de la dette américaine)
4 / Sur le Groenland et le canal de Panama : des obsessions trumpiennes toujours en cours.
Un sondage du 28 avril donne 55% d'Américains non satisfaits. Popularité en baisse notable.
Donald se prépare à signer des contrats avec ses "amis" du golfe.
Netanyahou s'inquiète : "Le meilleur ami qu'Israël ait jamais eu à la maison blanche" ne l'a consulté ni pour les Houthis au Yemen, ni pour le nucléaire en Iran.
[ Trump n’est pas « pro » ou « anti » qui que ce soit, il est... pro-Trump.]
[ C’est «un avertissement» et «un appel à l’action».
Marci Shore, Timothy Snyder et Jason Stanley sont professeurs américains à l‘université de Yale (Connecticut), et tous trois des spécialistes reconnus de l‘histoire de l’autoritarisme et de la rhétorique fasciste.
Dans une vidéo à la tonalité grave publiée sur le New York Times, ils expliquent s’exiler en raison du danger que Donald Trump et son administration font peser sur la démocratie aux Etats-Unis. ]