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Date : 17-08-2024 20:55:17
Patrick
Post6
Un peu pour Fabienne mais surtout beaucoup pour Rosalie.
Rosalie ou quand une vie d'idéologie non questionnée oblitère totalement toute réflexion et toute intelligence.
On ne lui demande pas d'avoir une culture politique mais au moins un minimum de culture historique.
On ne lui demande d'avoir une culture politique de gauche.
On ne lui demande pas pourquoi en 1938 Trotsky fonde la 4ème Internationale en réaction au Komintern ou pourquoi en 1953 Lambert se sépare de la ligne officielle tenue par Mandel, Pablo et Frank.
Quand il n'y a que le néant, il ne reste plus alors au gaucho quand tu le contraries, qu'à hurler « Facho ».
Il devient gonflant qu'à chaque fois que l'on s'oppose à tes assertions et ce quel que soit le sujet de se voir qualifiés ainsi.
Parce qui si personne ne conteste les abominations nazi et plus globalement et celles du fascisme, la gauche depuis la fin de la guerre aux travers de ses médias et de ses intellectuels enterrent systématiquement et soigneusement celles des socialismes.
Plus de 100 millions de morts, ce qui si l'abject pouvait prêter à l'ironie, laisse les nazis loin derrière.
Alors à la rentrée (c'est l'été, j'ai autre chose à foutre et cela me laissera le temps de compulser mes notes prises à l'époque) je vais venir conter régulièrement les abominations de la peste rouge.
On commencera en 1918 une fois la révolution bien amorcée. Et on déroulera au fil des années la longue litanie des horreurs communistes.
Certains seront surpris d'apprendre que le système concentrationnaire en Europe est né en Russie
15 ans avant le premier camp de concentration allemand.
Que la Gestapo s'est très fortement inspirée des méthodes des tortionnaires de la Tchéka.
La Tchéka, la police politique voulue par Lénine.
A sa création il sont 6 commandés par Dzerjinski (Félix de fer) et ont en tout et pour tout pour débuter un camion pourave.
Deux ans après la Tchéka c'est 1 800 000 Morts (tortures, exécutions sommaires), la fameuse « Terreur rouge » ou « Terreur de masse » voulue par Lénine.
D'autres seront surpris d'apprendre que les premiers gazages de masse de civils ne sont pas allemands mais russes (Tambov et le Kronstadt).
On croisera des personnages truculents comme le docteur des poisons ou comme Laventri Béria, Béria dont Staline disait :« J'ai moi aussi mon Himmler ».
Les nazis sont éternellement reponsables de l'ignominie de la Shoah, les communistes de l'Holodomor (littéralement: extermination par la faim) et des 5 millions de morts ukrainiens.
L'invasion de la moitié de la Pologne. Le massacre de Katyn par le NKVD.
Et puis on visitera d'autres pays, le nôtre par exemple, puisqu'on nous serine à longueur de mierdas l'attitude de l’extrême droite française pendant l'occupation, on causera un petit peu de la très active collaboration de la gauche au régime de Vichy.
Régime de Vichy mis en place notamment par les parlementaires de gauche par un vote massif des pleins pouvoirs à Pétain.
Nous partirons sous les tropiques visiter les Barbudos.
Ernesto le boucher de la Cabana dont le portrait a été brandi (par moi aussi d'ailleurs) dans toutes les bonnes manifs « Hasta la victoria siempre ».
Le boucher de la Cabana qui riait quand il exécutait quelques opposants politiques et beaucoup d'innocents. Sans oublier bien-sûr les frères Castro.
La chine, le grand timonier et son inénarrable « Petit Livre Rouge », sa révolution culturelle...... jusqu'aux princes rouges.
Enfin bref il y en aura à raconter....... On terminera par le Cambodge dont le Monde et Libé ont chanté à tue tête les louanges en 1975 de la prise de pouvoir par les frères libérateurs communistes:
bilan des courses, 3/5 de la population Khmer exterminée.
En attendant Rosalie, puisque tu cries encore et toujours « Fachos» et que surtout tu sembles être une très grande spécialiste pour détecter cette idéologie de merde....
Parle-nous donc un peu de Maduro ce facho rouge actuel, parce que si on compte sur Méluche et LFI pour qui le Venezuela était un idéal, pour le faire....
On n'a pas le cul sorti des ronces.
Je recollerai ce pavé chaque fois que je lirai ta rengaine habituelle tout au moins jusqu'à que je commence à raconter:
Once upon a time les soviets...
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