Pour quelqu'un qui se targue d'avoir du vocabulaire et le "sens du débat", c'est très élégant. Bravo !

C'est son fondateur Kevin Kelly qui doit apprécier.

[ Protopia, un terme inventé par Kevin Kelly, ce n'est ni une utopie ni une dystopie. C'est plutôt une entreprise qui essaie constamment de s'améliorer, de relever les défis progressivement et dans un esprit de croissance.]

fr.futuroprossimo.it/2023/04/benvenuti-nella-protopia-il-futuro-che-viviamo-gia/

www.youtube.com/watch?v=I5PYzWSwNoc

À propos de mots, une citation bien à propos pour celui qui fuit le débat, mine de rien :

« Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers.

Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela argumentum ad personam pour faire la différence avec l’argumentum ad hominem. »

Schopenhauer

( Les attaques ad hominem et ad personam sont souvent confondues.
Les réponses qui traitent l'intervenant selon ses déclarations sont considérées comme ad hominem, celles qui sont des injures sont ad personam. )

Auteur : Bigben  

réponse : a-t-on encore le droit
--> de dire qu'une "étude" (comme il en fleurit aujourd'hui sur tout et n'importe quoi) est, à nos yeux, futile et dérisoire ? ...

N.B. : j'avais pourtant pris soin, pour atténuer la "sévérité" de ma réaction,
--> d'assortir mon commentaire (post 136) des mots: "mille excuses" !

P.-S. : mais Rosalie, dans sa grande "susceptibilité" ,
--> a dû sans doute considérer que mon jugement s'attribuait... à sa personne ! ...

PATRICKBIGBEN, LE FORUMEUR QUI NON SEULEMENT PAR DEVANT, MAIS EGALEMENT PAR DERRIERE LES POSTS, SAIT FAIRE APPEL A DES "MOTS DE POIDS"! 136

PATRICKBIGBEN, tu écris:
"post précédent = comment enc.ler les mouches dans les formes !"

Malgré tous les reproches qui te sont faits (pas si injustement!) concernant ta "fuite des sujets", force est de reconnaître qu'en filant la métaphore, tu réponds parfaitement au post 136 de ROSALIE.

En effet, un jouisseur de première ou un comparse parfaitement pervers baigneraient dans l'utopie la plus totale en croyant pouvoir profiter de l'arrière-train d'un minuscule muscidé vrombissant ou bien abuser de lui.

D'autre part, si on s'en réfère à la littérature issue des nids-bibliothèques de mouches, il s'avère que celle-ci est totalement dystopique:
- histoires de chocs traumatiques et fatals avec la tapette du cuisinier ou de la ménagère, tous les deux excédés.
- récits d'atterrissages malencontreux et mortels sur des toiles d'araignées gourmandes.
- nouvelles de gazages intempestifs d'ailes jaunes ou même de mouches pacifiques venues rendre visite à la maîtresse et au maître de maison.

Et toi, PATRICKBIBGEN, tu introduis désormais la psychose chez des mouches ayant à redouter le contact écrasant d'un organe humain gonflé à bloc.

Certes, les intellectuelles de l'Académie des Mouches se réjouissent de pouvoir inscrire dans leur dictionnaire génocidaire (ou plutôt des victimes d'un génocide) un verbe en 7 lettres dont toi, PATRICKBIGBEN, tu en as caché une, sans doute pour une passionnante énigme orthographique!

Toutefois rien de protopique dans les lignes qui précèdent.

On notera toutefois que PATRICKBIGBEN se confond en "mille excuses" pour l'évocation de ce "mot de poids" relatant le poids des maux que subiraient ces mouches infortunées.

Telle est cependant la meilleure "expression", à ses yeux, de la "pensée" de PATRICKBIGBEN.

Mais soyons rassurés!
Cet acte, même accompli "dans les formes" (dixit encore PATRICKBIGBEN) est cependant impossible aussi bien dans le fond que dans un fion de mouche!

En tout cas, PATRICKBIGBEN, on te connait maintenant en fabricant d'utopies érotiques et en faiseur de dystopies chez les mouches!

Je suis tombé par hasard sur ce poème de G.DUFAY, "Automne" dans la brochure du théâtre de la Colline à Paris.

En voici un très court extrait (en rapport avec ce topic):
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Nous habillons les mots de pauvres haillons ou de riches parures
Oripeaux et oriflammes pour fracturer les pierres et affirmer notre volonté de vivre
Envers et contre tout
Nous sculptons des vers en nous détournant des monuments de marbre blanc
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Je vous invite à découvrir la suite, magnifique et métaphorique.
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Auteur : Bigben  

@ long post 140 = nouvelle illustration
--> de l'apport "constructif" au débat fourni (bien laborieusement) par cet individu (présumé innocent)
--> dont les "avocates" Rosalie et Fabienne assurent la défense !
--> je ne souhaiterais pas être à leur place avec un tel "client" ! ...

N.B. : peuchère, quelle tâche... ingrate
--> et boudiou, pour le moins ... compliquée !

Post 141 Tu me rappelles de bien bons souvenirs en parlant du Théâtre de la Colline. J'habitais tout près et y étais abonnée.

Quant au reste (les mouches) je constate que Bigben fait concurrence à... Bruno Lemaire dans ses écrits érotiques