Auteur : Bigben  

... et aller me chercher noise sur des accents omis sur des lettres ... CAPITALES !
--> c'est vous dire la MESQUINERIE... et le NIVEAU !!
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Et pour la prétérition, voici un échantillon :


Je ne vous dirai pas que Bigben est pédant, hargneux et coléreux.
Ce serait injuste, sans doute, de souligner son goût immodéré pour les disputes et son besoin constant d’avoir le dernier mot.
Je ne mentionnerai pas non plus sa volonté farouche de régner en maître, de dominer chaque sujet, comme s’il détenait seul la vérité universelle. Non, vraiment, je ne dirai rien de tout cela — ce n’est pas mon genre de médire.

Auteur : Alessa  

🦒🦒🦒🦒🦒🦒🦒

Auteur : Bigben  

@post 71 : pour ce portrait...
--> que je pense fidèle (et non flatteur) , puisqu'il est bien spécifié que les reproches qu' "on" pourrait m'adresser relèvent purement de la... médisance.

N.B. : ce n'est pas donné à tout le monde de savoir manier l'ironie,
--> surtout à l'écrit (où cette dame aurait sans doute besoin de ponctuer sa phrase d'un point d'ironie -- comme il existe des points d'exclamation ou d'interrogation)

Auteur : Bigben  

Je viens de tomber par hasard sur le post 69
--> où la Rosalie se raille de mon étourderie (d'ordre paragrammatique) d'avoir parlé d'"agenda" en lieu et place d'"addenda" (mot dont cette dame m'a longuement reproché l'emploi -- selon elle, abusif) ...
--> eh bien, c'est l'occasion pour moi de lui apprendre (en toute simplicité) que ces deux mots sont de morphologie analogue :
--> = tous les deux sont des gérondifs latins, à la forme accusatif neutre pluriel :
- agenda, issu du verbe "agere" , et signifiant : choses à faire,
- addenda, issu du verbe "addere" , et signifiant : choses ajoutées dont on doit prendre connaissance comme précisions complémentaires.

P.-S. : ... vanitas vanitatum !

Post 74
Pour apporter mon petit scrupulum à l'information pédagogique de Patrick
et enrichir la latino-gaucho.

Mon souvenir de la 1ere déclinaison:
Rosalie Rosalie Rosaliam
Rosaelie Rosaeli Rosalie
Rosaelie Rosaelie Rosaslie
Rosalierum, et cetera.

Un très beau texte de Raymond Devos à déguster sans modération :

"C'est terrible.
Je suis bien obligé de le reconnaître :
Je suis raciste.
Je viens de m'en rendre compte en mettant en route ma lessive du jour.
J'ai séparé le blanc des couleurs.
Affligeant.
Et dire que j'agis ainsi depuis des années !
Et circonstance aggravante, avec une lessive qui lave plus blanc que blanc.
C'est pathétique.
Comme Monsieur Jourdain dans un autre domaine, j'étais raciste sans le savoir.
Du coup, je suis d'une humeur noire.
Ça ne va pas arranger les choses.
Oh, je savais que je ne suis pas blanc comme neige.
J'ai connu des périodes noires.
Dans un précédent emploi, on m'avait donné carte blanche.
Résultat, j'ai monté une caisse noire.
Quelque temps plus tard, alors que j'étais déjà connu comme le loup blanc, j'ai travaillé au noir.
Découvert, j'ai essayé de montrer patte blanche, mais j'ai été placé sur liste noire.
Et comme disait le chanteur, noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir.
Alors que faire ?
Pour sûr, j'avais mangé mon pain blanc.

Je dirais bien que j'ai pleuré à l'arme blanche, mais ça serait de l'humour noir.
Alors dans la glace, je me suis regardé dans le blanc des yeux.
Pas question de me retrouver dans une misère noire.
L'avenir restait une page blanche. Inutile de voir tout en noir !
Je pouvais sortir blanchi de tout ce sombre passé.
Finis les noirs projets !
Je serais désormais plus blanc que neige !
Finie la série noire.
Et patatras, voilà que je me découvre raciste.
Mais c'était cousu de fil blanc.
Je dois être la bête noire de quelqu'un, c'est sûr.
Tout de même, ce sera un jour à marquer d'un caillou blanc.
Bon, je ne vais pas tout peindre en noir.
D'autant que c'est bientôt la semaine du blanc !

Inutile de broyer du noir.
Ni de me faire des cheveux blancs.
Allez, je vais me servir un petit noir.
Et puis non, plutôt un petit blanc.
Avec un morceau de chocolat noir.
Et un peu de fromage blanc ça me remontera.
Tiens, il commence à faire nuit noire.
Je vais regarder un vieux film en noir et blanc.
Chouette, c'est une version originale, sous-titrée !
Si, c'est écrit dans le programme. Noir sur blanc.

Dans la continuité !
On l'appelait :
La Tête de nègre...
Maintenant on l'appelle '' Meringue chocolat, ou tête de choco ".
Ouf ! Ils n'ont pas changé le nom du champignon Tête de nègre, ni le Cap Nègre.
On aurait pu aussi se demander s'il est bien « correct » de se taper une religieuse, un Congolais, un Jésuite, un Diplomate, un Financier ?
Je ne vous parle pas de la fameuse Forêt Noire qu’il faudra bientôt appelerforêt sombre !
La SPA va sans doute un jour nous interdire de manger les langues de chats."
Raymond Devos

L'autre.......les autres

Auteur : Tolt  

Il savait parler à des niveaux qui, de nos jours, cependant pas si éloignés de ceux où Monsieur Devos nous réjouissait, pas grand monde est apte à comprendre, interpréter, analyser les degrés ce qui est écrit ci-dessus