Auteur : Bigben  

Perso, j'ai eu la chance de séjourner (à demeure)
--> en plusieurs endroits de France (et du monde) ...
--> à une époque (pas si lointaine) , le tourisme était considéré comme une manne financière qu'il fallait encourager et faire prospérer par tous les moyens...
--> puis une sélection s'est opérée ( "haut de gamme" ) pour contrer celui dit "de masse" (jugé moins rentable) ...
--> aujourd'hui, nous allons vers une "exécration" des touristes, vus comme davantage une "plaie" pour les résidents qui se plaignent de la surenchère du coût de la vie sur place (surtout du parc immobilier local -- en raison des locations "saisonnières" dues à la multiplication de réseaux sur plateformes informatiques) !

P.-S. : je crois que cette tendance a vu le jour
--> en Corse (xénophobie à l'encontre des "continentaux" accusés de faire perdre son "identité" à la population autochtone) , suivie par le rejet des habitants des Baléares (excédés par la multiplication de nombreux excès de "visiteurs" qui se croient tout permis en vacances) -- mouvement qui s'est vite propagé ailleurs !

Auteur : Maryane  

Les vacances en France l'été c'est très cher et puis on a la mer ici, je privilégie les vacances à l'étranger hors saison, moins cher, pas de gosses qui hurlent et de beaux lieux à découvrir

La fréquentation de la restauration traditionnelle a bien baissé cet été.
La profession s'inquiète.

www.lefigaro.fr/conso/les-clients-consomment-moins-pourquoi-les-francais-boudent-les-restaurants-cet-ete-20250814

La suppression souhaitée par Bayrou des deux jours fériés ne fait pas du tout les affaires de la profession.
En Normandie notamment, les parisiens vont en masse passer des weekends fériés (lundi de Pâques souvent).
Le 11 novembre semblerait préférable.

Auteur : Bigben  

Pour lui donner une meilleure visibilité, qu'on me pardonne de reproduire mon dernier post (certes, à portée plus générale sur la question, me semble-t-il)
" Perso, j'ai eu la chance de séjourner (à demeure)
--> en plusieurs endroits de France (et du monde) ...
--> à une époque (pas si lointaine) où le tourisme était considéré comme une manne financière qu'il fallait encourager et faire prospérer par tous les moyens...
--> puis une sélection s'est opérée ( "haut de gamme" ) pour contrer celui dit "de masse" (jugé moins rentable) ...
--> aujourd'hui, nous allons vers une "exécration" des touristes, vus de plus en plus comme une "plaie" par les résidents qui se plaignent de la surenchère du coût de la vie sur place (surtout du parc immobilier local -- en raison des locations "saisonnières" dues à la multiplication de réseaux sur plateformes informatiques) !

P.-S. : je crois que cette tendance a vu le jour
--> en Corse (xénophobie à l'encontre des "continentaux" accusés de faire perdre son "identité" à la population autochtone) , suivie par le rejet des habitants des Baléares (excédés par les nombreux et divers excès de "visiteurs" qui se croient tout permis en vacances) -- mouvement qui s'est vite propagé ailleurs, en France (Bretagne, Alsace... ) et dans le monde (Pérou, Irlande... ) !
"
P.-S. : sans parler, en revanche, des habituels abus commerciaux ( "coups de massue" ) :
www.capital.fr/economie-politique/attrape-touristes-des-internautes-dezinguent-certains-restaurants-de-bord-de-mer-1517487

Le surtourisme et le changement climatique vont-ils obliger les gens à faire du « microvoyage » ?

Voyager à moins de 500 km c’est plus économique et souvent plus écologique (se passer de l’avion.)

Voyager près de chez soi peut être tout aussi dépaysant que partir à l’autre bout du monde : Il faut savoir être attentif à ce qui nous entoure et découvrir ce qu’on ne voyait pas d’habitude.

On ne s’embarrasse ni de passeport, ni de valises lourdes, ni de préparations sophistiquées ou à risque.

« Ce type de voyage, parce qu’il ne s’inscrit pas dans la logique des circuits touristiques classiques et parce qu’il se déroule dans les limites d’un périmètre familier – loin de l’exotisme associé aux voyages lointains – offre une voie de passage privilégiée vers la mise en contact avec la réalité.

Dit autrement : il nous permet d’éprouver notre présence au monde et de nous sentir pleinement vivant. »

www.jean-jaures.org/publication/lage-du-microvoyage-voyager-autrement-a-lheure-du-surtourisme/