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Le pass... jusqu'à quand ?
Auteur : Bigben  
1/17

Date :    03-02-2022 01:07:13


" Le pass vaccinal restera valide sans limite si vous avez reçu vos trois doses de vaccin, ou deux doses et une infection" , vient d'annoncer, ce soir, Olivier Véran sur BFMTV.
--> ah bon ? ... je croyais qu'on nous avait assuré que ce serait une mesure PROVISOIRE, limitée au temps de l'épidémie !
--> même s'il a parlé (aussi) de fin juillet (?)
Auteur : Napi  
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Date :    14-09-2023 16:50:22


www.lefigaro.fr/nantes/un-medecin-vendeen-convoque-par-le-conseil-de-l-ordre-pour-avoir-delivre-89-faux-passes-sanitaires-20230913
13/09/2023

Un médecin vendéen convoqué par le conseil de l'Ordre pour avoir délivré 89 faux passes sanitaires

L’audience disciplinaire de cet ORL désormais retraité s'est tenue à Nantes, mercredi matin, devant le Conseil régional des Pays de la Loire de l'Ordre des médecins. La décision sera rendue en délibéré d'ici six à huit semaines.

En sortant de son audience, il s'est fait longuement applaudir. Ce mercredi matin, Michel Procureur, ancien ORL à Fontenay-le-Comte, en Vendée, était convoqué devant le Conseil régional des Pays de la Loire de l'Ordre des médecins pour avoir délivré de faux passes sanitaires en période de Covid. Entre 100 et 200 personnes s'étaient rassemblées à Nantes, dans le calme, pour le soutenir. Une dizaine de personnes ont pu pénétrer à l'intérieur de l'établissement le temps de sa convocation, la salle étant limitée en termes de places.


"Le premier faussement vacciné, ce fut moi"
Michel Procureur, ancien médecin ORL en Vendée


Pendant une bonne heure, au fil d'échanges cordiaux, le mis en cause s'est expliqué sur la production de 89 faux passes sanitaires, dont 6 pour du personnel médical. Jusqu'à sa convocation chez les gendarmes début mai 2022 après s'être fait dénoncer. «Le premier faussement vacciné, ce fut moi», a expliqué l'ancien médecin de 64 ans, désormais à la retraite depuis qu'il a arrêté d'exercer. Celui qui comparaissait également pour non-port du masque et prescription d'ivermectine a justifié ses choix par «une incompréhension des choix sanitaires» et des «bienfaits de la vaccination jamais apparus comme évidents». «J'étais terrorisé par ce vaccin», a avancé celui qui avait prêté serment en 1985 en Belgique.

Vêtu d'un tee-shirt gris et d'un pantalon bleu assorti à ses baskets, il a affirmé à plusieurs reprises avoir observé des effets secondaires graves. Dans la salle, il était d'ailleurs entouré pour l'exemple de Philippe Devineau, kiné vendéen lui-même vacciné, dont le fils de 27 ans en bonne santé est mort quatre mois après avoir reçu ses doses. En demandant des détails sur l'autopsie révélant un décès par myocardite, afin de savoir si cela pouvait être lié au vaccin, le médecin légiste leur aurait répondu que «c'est une hypothèse qui n'est pas à écarter». Ils n’auraient pas eu d'autres nouvelles depuis.

«Ce sont simplement ces constatations qui m'ont effrayé et amené à des réactions pas toujours adaptées», a répondu encore le sexagénaire, ému, qui a versé quelques larmes au moment de rappeler qu'il a quitté sa patientèle du jour au lendemain.

Crainte des effets indésirables
«Vous avez des confrères qui ont arrêté d'exercer...», l’a poussé dans ses retranchements le président. Celui qui ne se définit pas comme un «antivax» a indiqué l'avoir fait pour ses enfants, notamment l'une de ses filles fréquentant le domaine médical, et pour des soignants en détresse humaine. «Jamais je ne me serais pardonné d'avoir perdu un enfant ou si ma fille était devenue stérile», a repris celui qui «jure» ne pas avoir monté un business autour de la délivrance de ces passes. En effet, selon le rapporteur, la CPAM lui aurait délivré 955€ pour 177 vaccinations. En réponse, il a assuré qu'il touchait un certain montant pour chaque vaccination effectuée et qu'il rembourserait cette somme.

À ses côtés, son fils avocat était présent pour le défendre. Il a souligné que son père avait exercé pendant 36 ans «sans jamais avoir été inquiété». Sur la question des masques, il a justifié le fait que la patiente en question avait des soucis pour se faire entendre d'où l'importance de lire sur les lèvres. Avant d’insister : c'est la «crainte des effets indésirables» qui a poussé son père à agir de la sorte. Pour l'appuyer, le docteur Louis Fouché, figure des anti-passe et fondateur de ReinfoCovid, a déroulé une litanie d'arguments relevant du domaine scientifique, avant d'être prié de raccourcir ses propos en raison d'un programme d'audiences chargé.


Plainte de l'Ordre des Médecins en Vendée
«Il y a eu la loi du 5 août 2021 qui imposait pour les soignants et personnes du milieu sanitaire de se faire vacciner. Il y a eu une mise en place progressive pour respecter ce calendrier de protection vaccinale. À partir du 16 octobre 2021, ceux qui n'étaient pas vaccinés et auraient dû être vaccinés ne devaient plus travailler. La personne qui ne veut pas se faire vacciner et cesse son activité au 16 octobre, et je comprends sa position, a respecté la législation», a commenté Jean-François Morin, le président de l'Ordre des médecins en Vendée, au terme de l'audience à laquelle il a participé en tant que plaignant.

Dans le cas de Michel Procureur, «il a continué à travailler. Les arguments donnés ne sont pas très convaincants, il n'y a pas le respect de la loi. Dire qu'on fait les vaccinations et qu'on ne les fait pas vraiment, et établir des faux passes pour permettre à des personnes de travailler alors qu'elles n’y sont pas autorisées légalement parlant, je ne comprends pas. C'est pour cela que nous avons porté plainte», a poursuivi celui qui s’est dit confronté pour la première fois à une histoire de la sorte. «C'est le seul médecin pour lequel on a l'information qu'il a réalisé de faux passes». Une enquête judiciaire est d’ailleurs en cours pour ces faits et pourrait aboutir à des poursuites pénales en fonction de la tournure qu'elle prendra. «Je risque de la prison avec sursis, une amende et une radiation de l'ordre des médecins», a anticipé Michel Procureur. La décision du conseil de l'Ordre devrait elle être rendue d’ici 6 à 8 semaines.

«Mon père a agi et âme et conscience. Il a défendu des valeurs auxquelles il tenait», a réagi l'une de ses filles, après la convocation. «C'est un combat pour la vérité, la liberté, l'avenir de nos enfants» a partagé Blandine Damour, investie dans les collectifs nantais mettant en garde contre les vaccins autour du Covid-19. Au terme de l'audience, les participants se sont réunis dans un parc où devait se tenir une conférence de presse quelques heures plus tard. Initialement prévu dans une salle de la municipalité de Saint-Herblain, ce rendez-vous avait été reporté dans ce square après un refus de la Ville de la leur mettre à disposition. À Nantes, ils n'étaient pas non plus les bienvenus, comme l'a souligné le premier adjoint à la mairie Bassem Asseh dans un message publié sur X (ex-Twitter) dans l'après-midi : «Les organisateurs n'ont pas informé la municipalité de Nantes qui évidemment ne partage en rien leur vision du monde.»
Auteur : Napi  
3/17

Date :    19-09-2023 17:28:47


odysee.com/@LigneDroiteMatinale:8/michel-procureur:b?r=3sJTmnkPo5RpMrADS9C1CAgPrJ8T9TqL
18/09/2023 15 min.

COVID : un médecin poursuivi pour avoir fourni 89 faux pass sanitaire
- Dr. Michel Procureur
Auteur : Napi  
4/17

Date :    10-12-2023 15:44:57


www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2023-12-08/qu-est-ce-que-le-passeport-carbone-qui-pourrait-bientot-regir-nos-deplacements-d3c7048a-c1df-4ee2-b791-2a3a12e18703
08/12/2023

Qu’est-ce que le passeport carbone, qui pourrait bientôt régir nos déplacements ?
Ross BENNETT-COOK, conférencier invité à l’école d’architecture et des villes et à l’université de Westminster.

Face à l’urgence climatique, de nombreuses voix se font entendre pour réclamer une régulation des trajets polluants. Un universitaire britannique décrypte la piste d’un passeport carbone.

L’été 2023 a marqué un tournant pour l’industrie du voyage. À la fin du mois de juillet, les arrivées de touristes internationaux dans le monde ont atteint 84 % des niveaux d’avant la pandémie. Dans certains pays européens, comme la France, le Danemark et l’Irlande, la demande touristique a même dépassé son niveau prépandémique.

C’est peut-être une excellente nouvelle sur le plan économique, mais il est à craindre que ce retour au statu quo n’ait déjà des conséquences désastreuses sur les plans environnemental et social.

L’été 2023 a été marqué par des vagues de chaleur record dans de nombreuses régions du monde. Les gens ont dû fuir les incendies de forêt en Grèce et à Hawaï, tandis que des alertes météorologiques extrêmes ont été émises dans de nombreuses destinations de vacances populaires telles que le Portugal, l’Espagne et la Turquie. Les experts ont conclu à la responsabilité du changement climatique dans ces conditions météorologiques extrêmes.

Le tourisme fait partie du problème. Le secteur du tourisme génère environ 10 % des émissions de gaz à effet de serre à l’origine de la crise climatique.

Les effets négatifs du tourisme sur l’environnement sont devenus si graves que certains suggèrent que des changements radicaux dans nos habitudes de voyage sont inévitables. Dans un rapport de 2023 sur l’avenir des voyages durables, le voyagiste Intrepid Travel a proposé l’idée de « passeports carbone » pour aider l’industrie du tourisme à survivre.

Un quota annuel

L’idée du passeport carbone repose sur l’attribution à chaque voyageur d’un quota annuel de carbone qu’il ne peut pas dépasser. Ces quotas permettent ensuite de « rationner » les déplacements.

Ce concept peut sembler extrême. Mais l’idée de quotas de carbone personnels n’est pas nouvelle. Un concept similaire – appelé « échange personnel de droits d’émission de carbone » – a été discuté à la Chambre des communes du Royaume-Uni en 2008, avant d’être abandonné en raison de sa complexité apparente et de la possibilité d’une résistance de l’opinion publique.

L’empreinte carbone annuelle moyenne d’une personne aux États-Unis est de 16 tonnes, l’un des taux les plus élevés au monde. Au Royaume-Uni, ce chiffre s’élève à 11,7 tonnes, soit plus de cinq fois le chiffre recommandé par l’accord de Paris pour maintenir l’augmentation de la température mondiale en deçà de 1,5 °C. (En France, celle-ci est du même ordre de grandeur, ndlt)

Pas plus d’un Londres – New-York par an

Au niveau mondial, l’empreinte carbone annuelle moyenne d’une personne est plus proche de quatre tonnes. Mais pour avoir les meilleures chances d’empêcher la hausse des températures de dépasser les 2 °C, l’empreinte carbone mondiale moyenne doit baisser à moins de deux tonnes d’ici à 2050. Ce chiffre équivaut à environ deux vols aller-retour entre Londres et New York.

Le rapport d’Intrepid Travel prévoit que les passeports carbone seront utilisés d’ici 2040. Cependant, plusieurs lois et restrictions ont été mises en place au cours de l’année écoulée, ce qui suggère que nos habitudes de voyage sont peut-être déjà sur le point de changer.

Le transport aérien premier pollueur

Entre 2013 et 2018, la quantité de CO2 émise par les vols commerciaux dans le monde a augmenté de 32 %. Certes, les améliorations en matière d’efficacité énergétique réduisent lentement les émissions par passager. Mais une étude de 2014 a révélé que, quels que soient les efforts déployés par l’industrie pour réduire ses émissions de carbone, ils seront contrebalancés par la croissance du trafic aérien.

Pour que les réductions d’émissions aient un effet significatif, les prix des billets devraient augmenter de 1,4 % par an, ceci afin de décourager certaines personnes de prendre l’avion. Or, en réalité, les prix des billets sont en baisse.

Certains pays européens commencent à prendre des mesures pour réduire les voyages en avion. En Belgique, depuis le 1er avril 2023, les passagers des vols court-courriers et des avions les plus anciens sont soumis à des taxes plus élevées afin d’encourager d’autres formes de voyage.

Moins de deux mois plus tard, la France a interdit les vols intérieurs court-courriers lorsque le même trajet peut être effectué en train en deux heures et demie ou moins. On s’attend à ce que l’Espagne fasse de même prochainement.

Un projet similaire pourrait également voir le jour en Allemagne. En 2021, un sondage YouGov a révélé que 70 % des Allemands soutiendraient de telles mesures pour lutter contre le changement climatique si des parcours alternatifs par train ou par bateau étaient disponibles.

Les croisières aussi visées

Le transport aérien n’est pas le seul à être sous le feu des critiques. Une enquête menée en 2023 par la Fédération européenne pour le transport et l’environnement a révélé que les navires de croisière rejettent quatre fois plus de gaz sulfuriques – dont il est prouvé qu’ils provoquent des pluies acides et plusieurs affections respiratoires – dans l’atmosphère que l’ensemble des 291 millions de voitures en circulation en Europe.

De telles statistiques ont contraint les destinations touristiques européennes à prendre des mesures contre l’industrie des croisières. En juillet, le conseil municipal d’Amsterdam a interdit aux bateaux de croisière d’accoster dans le centre-ville afin de réduire aussi bien le tourisme que la pollution, une initiative qui a fait ses preuves ailleurs.

En 2019, Venise était le port européen le plus pollué, en raison du grand nombre de bateaux de croisière. Mais elle est tombée à la 41e place en 2022 après l’interdiction faite aux grands navires de croisière d’entrer dans les eaux de la ville, ce qui a permis de réduire de 80 % la pollution atmosphérique à Venise provenant des navires.

Changer de destination

Le rapport d’Intrepid Travel souligne également que le changement climatique aura bientôt un impact non seulement sur la façon dont nous voyageons, mais aussi sur là où nous voyageons. Les températures brûlantes diminueront probablement l’attrait des destinations balnéaires traditionnelles, incitant les touristes européens à rechercher des destinations plus fraîches pour leurs vacances d’été, telles que la Belgique, la Slovénie et la Pologne.

Plusieurs agences de voyages ont signalé une augmentation sensible des réservations de vacances vers des destinations européennes plus fraîches comme la Scandinavie, l’Irlande et le Royaume-Uni pendant la saison haute de l’été 2023.

Quelle que soit la solution, changer nos habitudes de voyage semble inévitable. Des destinations du monde entier, de Barcelone à la Riviera italienne en passant par l’Everest, appellent déjà à limiter le nombre de touristes pour lutter contre la foule et la pollution.

Les vacanciers doivent se préparer à modifier leurs habitudes de voyage dès maintenant, avant que ce changement ne leur soit imposé.

La version originale de cet article a été publiée dans The Conversation.

Auteur : EBONYMAY  
5/17

Date :    10-12-2023 18:34:58


Et alors, t'en penses quoi ?
Auteur : Manguepulpeuse 
6/17

Date :    10-12-2023 18:59:00


Et toi, t'en penses quoi toi ?
Auteur : Bigben  
7/17

Date :    10-12-2023 19:01:45


Cha, ché ben vrai, Olivier !
Auteur : EBONYMAY  
8/17

Date :    10-12-2023 21:11:28


C'est pas moi qui ai posté. Ce type de communication demande un minimum d'explications, gros malins.

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