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Infodémie
Auteur : Bigben  
9/45

Date :    07-10-2023 00:07:20


@post 25 : et alors ?
--> ... puisque, apparemment, tu lis mes posts (ça me suffit)
--> et surtout qu'il t'est impossible d'argumenter en opposition !
--> par ailleurs, je préfère rester sans réponse, plutôt qu'avoir celles d'imbéciles...

@post 26 : en effet, Serge,
--> ces propos péremptoires sont scandaleux
--> et ce monsieur semble oublier qu'il n'y a pas eu, pour beaucoup de vaccinés, de "consentement éclairé"
--> dès lors qu'a été imposé le honteux pass vaccinal !
/
Auteur : Napi 
10/45

Date :    07-10-2023 21:40:10


P.27 Patrick !

www.francesoir.fr/opinions-tribunes/effets-indesirables-mortels-du-vaccin-contre-la-covid-19-lettre-de-demande-d
07/10/2023

Effets indésirables "mortels" du vaccin contre la Covid-19 : lettre de demande d’annulation de ma révocation au CNG (ministère de la Santé)
Auteur
Dr Amine Umlil

Le docteur en pharmacie et juriste Amine Umlil a été révoqué le 27 janvier 2023 après avoir lancé plusieurs alertes sur le consentement libre et éclairé, les effets secondaires des thérapies géniques Covid-19 et avoir été auditionné dans le cadre de l’enquête sur les effets secondaires de la vaccination conduite par l’OPECST (Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques).

Ce 3 octobre 2023, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau déclarait sur France-Inter qu’il n’y avait pas d’effets secondaires de la vaccination, une forme d’incitation à la vaccination.

Le Dr Umlil, pharmacien, a donc lancé une alerte supplémentaire au sujet des effets indésirables "mortels" du vaccin Covid-19 et par la même demande l’annulation de sa révocation à travers un courrier recommandé adressé à la directrice du CNG (Centre National de Gestion) qui avait prononcé sa révocation. Il est reproduit ci-après, comme une tribune :



Objet : Arrêté de révocation et alertes sur des effets indésirables mortels du vaccin contre la Covid-19. Nouveaux faits.

Madame la directrice générale du CNG,

Le 4 février 2023, j’ai reçu l’arrêté de ma révocation en date du 27 janvier 2023 qui a été posté le 1ᵉʳ février 2023.

En plus des moyens, qui vous ont été adressés dans mes écritures lors de la procédure disciplinaire engagée par votre prédécesseur (Madame Eve Parier) et dans le cadre des recours introduits auprès du tribunal administratif de Nantes avant et après ma révocation (litige toujours en cours), je vous transmets également et notamment de nouveaux faits.

En effet, l’autorisation de mise sur le marché (AMM) du vaccin contre la Covid-19 admet aujourd’hui, et de façon expresse, que ce vaccin peut tuer :

« Il existe un risque accru de myocardite et de péricardite après vaccination par Comirnaty (…) Elles ont été observées (…) plus souvent chez les hommes plus jeunes (…). Certains cas ont nécessité un soin médical intensif et des cas d’issue fatale ont été observés. »

Ces effets indésirables cardiaques mortels ne sont pas les seuls listés dans l'AMM.

Et pourtant, le ministre de la Santé et de la Prévention, Monsieur Aurélien Rousseau, sous l’autorité duquel vous exercez, continue d’affirmer publiquement que ce vaccin n’a aucun effet indésirable.

Comment un ministre de la Santé et de la Prévention peut-il continuer à appeler publiquement à la vaccination par un produit potentiellement mortel sans informer le public de ce que la loi (au sens large) et les juges (Cour de cassation, Conseil d’État) exigent en matière d’information sur tout médicament, à savoir notamment les effets indésirables normalement prévisibles et en particulier les effets indésirables fréquents, ou graves même exceptionnels ?

Au lieu de continuer de faire cette promotion, le ministre de la Santé et de la Prévention aurait dû actionner l’une des dispositions de la loi (article L.1111-2 du code de la santé publique) : faire rappeler toutes les personnes vaccinées par ce produit afin de porter à leur connaissance l’existence d'un risque cardiaque potentiellement mortel afin d’anticiper sa réalisation, c’est-à-dire avant de nouveaux décès. En effet, cet article L.1111-2 du code de la santé publique dispose :

« Lorsque, postérieurement à l’exécution des investigations, traitements ou actions de prévention, des risques nouveaux sont identifiés, la personne concernée doit en être informée, sauf en cas d’impossibilité de la retrouver. »

« Sauf en cas d’impossibilité de la retrouver »… Ce texte aurait pu ajouter : « ou si elle est déjà morte ».

D’ailleurs, ledit ministre de la Santé et de la Prévention se présente comme étant professeur d’histoire. Il devrait donc s’intéresser à l’histoire de la protection du consentement par notre corpus juridique (textes nationaux, européens et internationaux) depuis le code de Nuremberg.

Ce ministre de la Santé et de la Prévention méconnaît également cette obligation d’information lors des deux campagnes médiatiques actuelles concernant d’autres médicaments : vaccin GARDASIL9® ; BEYFORTUS®.

Eu égard aux dispositions de l’article 40 du code de procédure pénale, il vous appartient, me semble-t-il, d’alerter le ministère public de tout agissement susceptible de vicier le consentement des personnes humaines dans le domaine du médicament notamment ; agissements qui sont de nature à porter atteinte à la dignité de la personne humaine. Il vous revient également de l’alerter sur tout comportement visant à faire obstacle à l’exercice de l’obligation d’information et du devoir d’alerte qui pèsent sur un pharmacien.

Toute personne humaine a le droit de savoir que ce vaccin peut tuer. Désormais, vous êtes parfaitement informée en votre qualité de nouvelle directrice générale du CNG.

Ces effets indésirables cardiaques graves étaient connus avant l’engagement de cette procédure disciplinaire et avant la décision de ma révocation prise, avant votre arrivée au CNG, par la directrice générale par intérim (Madame Christel Pierrat).

La « peine de mort professionnelle » – termes utilisés par mon avocat devant le tribunal administratif de Nantes pour qualifier cette révocation – est fondée, selon votre arrêté, sur mon prétendu manquement aux devoirs de « réserve », de « neutralité » et d’« obéissance hiérarchique » ; devoirs auxquels je ne suis pas soumis en ma qualité de pharmacien bénéficiant d’une indépendance professionnelle et sur lequel pèsent des obligations d’information et d’alerte. Le CNG a tiré, à tort, ces ʺdevoirsʺ du code de déontologie des médecins visé par ledit arrêté de révocation ; alors que je suis pharmacien et que le CNG n’est pas compétent pour apprécier d’éventuels manquements au code de déontologie des médecins ou à celui des pharmaciens. Le pharmacien, tout comme le médecin, bénéficie aussi d’une large liberté d’expression dans le cadre des débats portant sur des sujets d’intérêt général comme celui de la santé publique.

Donc selon le CNG, qui admet pourtant par écrit que mes compétences sont unanimement reconnues et qu’elles ne sont pas remises en cause, pour pouvoir continuer à exercer mes fonctions au centre hospitalier de Cholet en ma qualité de pharmacien des hôpitaux praticien hospitalier, j’aurais dû me taire et contribuer à cacher au public l’existence de ces effets indésirables mortels ; alors même que je suis responsable dans cet hôpital public de la pharmacovigilance depuis 2002, de la coordination de neuf vigilances sanitaires depuis 2007, et du centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) depuis 2010 qui est destiné notamment audit public.

Les complices de mes détracteurs sont nombreux. Mais, il n’y a rien de plus puissant qu’une vérité qui se met en marche, certes tardivement. Tôt ou tard, ils auront des comptes à rendre devant la justice.

Je suis viré d’une façon que le CNG n’aurait pas osé appliquer à un chien ; pour avoir fait mon travail et révélé le véritable visage de la communication utilisée par les autorités sanitaires et politiques dans le but de promouvoir ce vaccin. Pour avoir témoigné lors de l’enquête menée par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) à la demande de la commission des Affaires sociales du Sénat, suite à une pétition citoyenne. Cet organe parlementaire bicaméral (composé de députés et de sénateurs), créé par la loi, a confirmé l’intégralité de mes alertes et analyses proposées.

Je suis révoqué sans aucune base légale.

Révoqué sans préavis ; je n’ai même pas pu récupérer mes affaires personnelles (livres, etc.) restées dans mon bureau au centre hospitalier de Cholet.

Et je ne parle pas de la direction du centre hospitalier de Cholet qui m’a qualifié, auprès de Pôle Emploi de « Ressortissant hors UE et EEE » ; après que vos prédécesseurs aient affirmé par écrit au tribunal administratif de Nantes que j’étais nommé à « titre probatoire » (période d’essai) depuis 2004. Alors que j’ai toujours été français en arrivant à l’hôpital de Cholet dans lequel j’ai été nommé à « titre permanent » (titulaire) depuis 2005 par le ministre de la Santé ; et que le même CNG (vos prédécesseurs) m’a adressé ensuite mes avancements d’échelons en tant que titulaire.

Par la présente, et a minima, je vous demande donc de bien vouloir annuler l’arrêté de ma révocation d’une part, et de procéder à la réparation statutaire intégrale et à la réparation des dommages injustifiés subis d’autre part. Et cela sans délai, dès réception de la présente demande.

Dans l’attente de votre réponse,

Je vous prie de bien vouloir recevoir, Madame la directrice générale du CNG, l’expression de mes salutations distinguées.



Docteur Amine UMLIL

Pharmacien – Juriste (droit de la santé)
Auteur : Bigben  
11/45

Date :    09-10-2023 00:38:24


Comme le dit Jo (sur un autre topic) , en évoquant des "baltringues" (= shame on them ! ) ,
--> à propos de ces "scientifiques" de l' ANM qui ont pu autoriser cette vaccination !
--> ils ne méritent qu'une chose (malgré leurs repentirs qui devraient les pousser à démissionner -- si, du moins, ils ont une ... conscience) :
--> être virés sous peu et (dans quelque temps) passer en jugement, comme leurs "pareils" durant la période historique dite de l' "épuration" !
Auteur : Rosalie1334 
12/45

Date :    09-10-2023 14:06:01


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La suite ( savoureuse ) :

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Ne soyez pas moutruches ou mougeons 🐑
et faites chauffer votre carte bancaire ! 💳
Auteur : Bigben  
13/45

Date :    09-10-2023 14:52:29


@post qui précède : pour les "mougeons, moutruches et muselières" ,
--> petite précision (que dame Rosalie, dans sa grande "objectivité" , omet de signaler) : les prêcheurs de bonne parole (pro gouvernementale) , lors de leurs différentes interventions publiques, sont, EUX AUSSI , ... "défrayés" pour leur déplacement
--> et la répétition étant un élément de pédagogie,
--> je me vois dans l'obligation de reproduire mon dernier post :
Comme le dit Jo (sur un autre topic) , en évoquant des "baltringues" (= shame on them ! ) ,
--> à propos de ces "scientifiques" de l' ANM qui ont pu autoriser cette vaccination !
--> ils ne méritent qu'une chose (malgré leurs repentirs qui devraient les pousser à démissionner -- si, du moins, ils ont une ... conscience) :
--> être virés sous peu et (dans quelque temps) passer en jugement, comme leurs "pareils" durant la période historique dite de l' "épuration" !
/
Auteur : Napi 
14/45

Date :    11-10-2023 14:05:26


youtu.be/a_DJd_D4Sec?feature=shared
10/10/2023 40 min.

Vaccins : les mensonges du gouvernement continuent !

Avec Jean-Loup Izambert, journaliste d’investigation, auteur de “Tous vaccinés, tous en danger”
Et Mélodie Feron, fondatrice du collectif “Où est mon cycle ?”
Auteur : Napi 
15/45

Date :    12-10-2023 18:07:50


www.francesoir.fr/societe-sante/nouvelle-dose-plainte-rousseau-ministre-de-la-sante-suite-ses
12/10/2023

Nouvelle dose de plainte pour le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, suite à ses propos mensongers

Le 6 octobre 2023, le professeur Perronne et Xavier Azalbert, directeur de la rédaction et de la publication de France-Soir déposaient plainte à la CJR (Cour de justice de la République) contre le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, à la suite de ses propos mensongers sur France Inter le 3 octobre selon lesquels il n’y aurait pas d’effets secondaires de la vaccination Covid-19.

Dans un tweet daté du 8 octobre, le ministre de la Santé récidivait. Non seulement il confirmait ses propos, mais surtout, il commettait une fake news puisque ce n’est pas France-Soir qui l’attaque, mais Xavier Azalbert, directeur de la rédaction.


Choqués par les propos du ministre de la Santé, de nombreuses victimes d’effets secondaires de la vaccination et/ou représentants de collectifs de victimes, ou d’association, ont déposé ce 12 octobre une plainte à la CJR. BonSens avait proposé d'aider les parties qui voudraient porter plainte et elle annonce cette nouvelle plainte.

Les faits reprochés au ministre sont les mêmes que ceux de la plainte de Christian Perronne et Xavier Azalbert, à savoir l’infraction de tentative d’escroquerie au consentement à la vaccination par une personne dépositaire de l'autorité publique dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, faits prévus et réprimés par les articles 121-5, 313-1 et 313-2 du code Pénal.

Les plaignants considèrent que "l’affirmation s’avère fallacieuse" au regard des informations scientifiques disponibles dans de nombreux pays et des documents officiels des autorités sanitaires française et européenne. Me Protat avait d’ailleurs déclaré le 6 octobre à France-Soir. "En prétendant qu’il n’y a pas d’effets secondaires à la vaccination contre la Covid-19 alors que des centaines de milliers de cas sont répertoriés en France, dont 25 % graves, le ministre de la Santé a employé des manœuvres frauduleuses."

Le professeur Delfraissy, ancien président du Conseil scientifique, confirmait que le ministre Aurélien Rousseau "avait tort de dire qu’il n’y avait pas d’effets secondaires de la vaccination contre la COVID-19" ce 7 octobre dans C l'hebdo sur France 5.

A ces propos viennent s’ajouter les déclarations de l’ONIAM (Office national d'indemnisation des accidents médicaux) aux questions de la sénatrice LR Muller-Bronn à propos des effets secondaires – 91 victimes des effets secondaires de la vaccination auraient déjà été indemnisées. Un fait que ne peut ignorer le ministre de la Santé.


L’OPECST avait reconnu l’existence d’effets secondaires

Un élément important de la plainte : Les collectifs Où est mon cycle ?, Verity France, Navigants libres et Sage-femmes clés ont été auditionnés par l’enquête parlementaire diligentée par l’OPECST (Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques).

Le 24 mai 2022, l’OPECST conduisait une audition publique, diffusée sur la chaine Public Sénat, aux fins de restituer l’ensemble des témoignages reçus avant de remettre ses conclusions. Lors de cette audition, les intervenants de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) ont indiqué notamment "avoir été surpris par le nombre de déclarations d’effets indésirables sur les cycles menstruels de la vaccination contre le Covid-19".

Le rapport intermédiaire de l'OPECST du 9 juin 2022 reconnaît l’existence des effets secondaires suite aux auditions des représentants de l’ANSM.

Cependant, un élément critique apparait dans la plainte que France-Soir a pu consulter : Me Protat a fait consigner les propos des auditions de certains plaignants par huissier. Un document clé qui montre que l’OPECST et les autorités étaient bien au courant et ne peuvent ignorer l’importance des effets secondaires.

Les contrats, un autre élément clé de la plainte, que le ministre ne peut ignorer

Au cours de l’année 2021, l’Union Européenne (UE) a conclu des contrats d’acquisition de vaccins contre la Covid-19 avec les fabricants de vaccin (Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janseen). Ces contrats ont été conclus pour la France par l’établissement Santé publique France qui est sous la tutelle du ministère de la Santé.

Le ministre de la Santé a donc connaissance des clauses des contrats. Notamment sur les doutes sérieux sur l’efficacité et l’innocuité des vaccins.

A ce jour, l’UE et la France se refusent à révéler ces contrats au public, malgré les actions de nombreuses personnes et associations. Cependant, il a été possible de connaître le contenu des contrats de Pfizer-BioNtech avec le Brésil et la République sud-africaine, le contrat de cette dernière ayant été récemment rendu public par une décision de justice dont le docteur en droit Olivier Frot a fait l’analyse. Il n’hésite pas à déclarer : "Un contrat aussi favorable à l'industriel, cela me paraît anormal."

Olivier Frot confirme dans son interview pour France-Soir que ces deux contrats, rédigés de manière identique, affirment le manque de certitude du fabricant lui-même quant à l’efficacité et l’innocuité de son produit, pour lequel il transfère l’intégralité de la responsabilité liée à des effets secondaires à l’État acheteur.

Par exemple, l’article 2.1.b (approvisionnement du produit) stipule que :

"L’acheteur reconnaît et accepte que les efforts de Pfizer pour développer et fabriquer (…) le produit sont ambitieux par nature et sujets à des risques et incertitudes significatifs (…). Le produit pourrait ne pas être à succès pour des raisons techniques, cliniques, réglementaires, de fabrication, expédition, stockage ou tous autres défis ou échecs."

De même, à l’article 5.5 : "Reconnaissance par l’acheteur : (…) l’acheteur reconnaît ci-après que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus".

Comme le confirme Olivier Frot : "La responsabilité du fait des effets secondaires est transférée aux États (article s2 et 9 du contrat sud-africain, c’était déjà le cas dans le premier contrat de la Commission européenne, signé en novembre 2020, article I.12)."

Une demande de France-Soir à l’UE pour faire la transparence sur tous les contrats concernant les vaccins Covid-19 qui mène à une pétition

Au nom du droit que les citoyens ont de connaitre la vérité, Xavier Azalbert, directeur de la rédaction de France-Soir, a demandé à la Commission Européenne de faire la transparence sur TOUS les contrats de vaccins contre le Covid-19. Cette dernière s’y est refusée.

Il a décidé de faire appel et a lancé une pétition qui a déjà reçu plus de 27 000 signatures. Sa demande est justifiée conformément au devoir numéro un de la charte de déontologie du journalisme (dite charte de Munich) à savoir : "Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité."


Un horizon très obscur pour Aurélien Rousseau

Mélodie Féron, fondatrice du collectif Où est mon cycle, joint ce jour déclare :

"L’intervention d’Aurélien Rousseau est scandaleuse, c’est de la désinformation délibérée et de la malhonnêteté. Il méprise les victimes des effets secondaires, il est donc de la responsabilité des collectifs et des associations représentant les victimes de réagir fermement à ses propos. L’association BonSens nous en a donné l’opportunité et nous l'avons bien entendu saisie".

De son côté, Fréderic Beltra, Président de Vérity France, explique que :

"Depuis maintenant trois ans, des propos incertains, volontaires ou pas, ont été diffusés dans les médias, de façon souvent complaisante en faveur de la politique sanitaire du tout vaccin. Les propos sont tenus par des personnes à qui on n'oppose aucun contradicteur. La décision de participer à cette plainte est avant tout pour mettre un point final à ces attitudes et montrer qu'à partir de maintenant, nous réagirons systématiquement et de manière juridique à tout manquement aux principes de la loi et de la déontologie".

Pour Me Protat avocate : "Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau ne pouvait donc pas ignorer les travaux publics et officiels de l’OPESCT, qui sont des écritures publiques d’un point de vue juridique, ni leurs résultats."

Et elle rappelle que « les contrats européens restent couverts par le secret au niveau de la Commission, mais le ministre en a eu connaissance ! »

Et elle ajoute : "Si les autorités décident de l’ignorer, c’est une faute. En communiquant tel qu’il l’a fait, le ministre démontre, soit son ignorance de faits avérés et donc son incompétence, soit qu’il a volontairement menti, cherchant par là même à lancer bel et bien la nouvelle campagne de vaccination. »

L’horizon juridique s’obscurcit pour le ministre de la Santé qui, à ce jour, n’a toujours pas reçu de soutien de la Première ministre.

Ces deux plaintes ne semblent pas les dernières puisque d’autres collectifs et associations ont d’ores et déjà déclaré vouloir aussi porter plainte.
Auteur : EBONYMAY  
16/45

Date :    12-10-2023 19:44:06


Louis Fouché c'est un poème : et dire que "tous ces gens" nous disaient naïfs, bêtas, moutons, soumis et j'en passe !

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