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Poésies et Poètes
Auteur : Bigben  
241/293

Date :    24-04-2024 15:55:44


(@post précédent : la citation est attribuée à Michel Quoist, prêtre et sociologue, 1921-1997, que je ne connaissais pas)

"Au moins une fois par jour, accordez-vous la liberté de penser et de rêver pour vous-même."
(Albert Einstein)
Auteur : Lavandin13 
242/293

Date :    24-04-2024 15:56:29


Moi c'est celle ci que j' adore

« Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine… mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue. »
Auteur : Bigben  
243/293

Date :    24-04-2024 16:45:07


( post précédent =citation célèbre, signée encore du même Einstein !
--> retour à la poésie (topic) )

Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :
Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.

Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l'amour infini me montera dans l'âme,
Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la nature, heureux comme avec une femme.

(Arthur Rimbaud, titre : "Sensation" , 1870)
Auteur : Lavandin13 
244/293

Date :    24-04-2024 16:48:30


oui je poste ce que je veux , comme je veux , occupez vous de vous et de vos pauvres citations et propositions de jeux
Auteur : Shangai  
245/293

Date :    24-04-2024 19:50:36


Auteur : Lavandin13 
246/293

Date :    24-04-2024 20:38:39


Le Soir
Alphonse de Lamartine
Le soir ramène le silence.
Assis sur ces rochers déserts,
Je suis, dans le vague des airs,
Le char de la nuit qui s’avance.

Vénus se lève à l’horizon ;
À mes pieds l’étoile amoureuse
De sa lueur mystérieuse
Blanchit les tapis de gazon.

De ce hêtre au feuillage sombre
J’entends frissonner les rameaux :
On dirait autour des tombeaux
Qu’on entend voltiger une ombre.

Tout-à-coup, détaché des cieux,
Un rayon de l’astre nocturne,
Glissant sur mon front taciturne,
Vient mollement toucher mes yeux.

Doux reflet d’un globe de flamme,
Charmant rayon, que me veux-tu ?
Viens-tu dans mon sein abattu
Porter la lumière à mon âme ?

Descends-tu pour me révéler
Des mondes le divin mystère,
Ces secrets cachés dans la sphère
Où le jour va te rappeler ?

Une secrète intelligence
T’adresse-t-elle aux malheureux ?
Viens-tu, la nuit, briller sur eux
Comme un rayon de l’espérance ?

Viens-tu dévoiler l’avenir
Au cœur fatigué qui t’implore ?
Rayon divin, es-tu l’aurore
Du jour qui ne doit pas finir ?

Mon cœur à ta clarté s’enflamme,
Je sens des transports inconnus,
e songe à ceux qui ne sont plus :
Douce lumière, es-tu leur âme ?

Peut-être ces mânes heureux
Glissent ainsi sur le bocage :
Enveloppé de leur image,
Je crois me sentir plus près d’eux !

Ah ! si c’est vous, ombres chéries !
Loin de la foule et loin du bruit,
Revenez ainsi chaque nuit
Vous mêler à mes rêveries.

Ramenez la paix et l’amour
Au sein de mon âme épuisée,
Comme la nocturne rosée
Qui tombe après les feux du jour.

Venez !… mais des vapeurs funèbres
Montent des bords de l’horizon :
Elles voilent le doux rayon,
Et tout rentre dans les ténèbres.

Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques
Auteur : Bigben  
247/293

Date :    25-04-2024 00:07:05


Voilà l'avant-dernière intervention de "Lavandin" (post 248) : "oui je poste ce que je veux , comme je veux , occupez vous de vous et de vos pauvres citations et propositions de jeux" (sic)
--> ben non, madame, le forum interdit de... faire n'importe quoi,
--> comme proposer, à deux reprises, des citations "favorites" (philosophico-humoristiques) au beau milieu de cette rubrique consacrée aux "poésies et poètes" ,
--> car c'est faire peu de cas des autres participant(e)s !!!

P.-S. : Jackie aussi s'est étonnée de cette remarque et a dû la trouver déplacée (cf. post 249)

Comme un chevreuil, quand le printemps détruit
L’oiseux cristal de la morne gelée,
Pour mieux brouter l’herbette emmiellée
Hors de son bois avec l’aube s’enfuit,

Et seul, et sûr, loin de chien et de bruit,
Or sur un mont, or dans une vallée,
Or près d’une onde à l’écart recelée,
Libre folâtre où son pied le conduit :

De rets ni d’arc sa liberté n’a crainte,
Sinon alors que sa vie est atteinte,
D’un trait meurtrier empourpré de son sang :

Ainsi j’allais sans espoir de dommage,
Le jour qu’un œil sur l’avril de mon âge
Tira d’un coup mille traits dans mon flanc.

Pierre de Ronsard (premier livre des "Amours" , 1552 )


Auteur : Lavandin13 
248/293

Date :    25-04-2024 07:55:03


Cesse de tout corriger , ceci n'est pas ton rôle
Relis le poème de Lamartine : je suis dans les règles
Pfffffffffffffffffff

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