Son récent disque consacré aux trois dernières sonates du maître viennois hisse à nouveau son jeu « aux portes de la perfection » (Classica). Le pianiste y marie l’élégance du toucher et la profondeur du discours musical. Il ne joue pas Beethoven : il le recrée, ennoblissant d’un écho dramatique la célèbre Sonate « Clair de lune ».