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Infos perso |
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Prénom : Marie-Ange Sexe : Femme Situation : Célibataire, avec enfant(s) Date de naissance : 16 Jan 1967 (57 ans) Localisation : 13ème arr. |
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Son petit mot |
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Voilà, 10 ans d'OVS en ce mois de février 2019. C'est loin, mais cela semble hier ! Et dire qu'un mois avant, je ne connaissais même pas l'existence de ce site et je n'aurais jamais imaginé me retrouver dans ce schéma là !!! C'est vrai que tout juste séparée après 17 ans de vie commune, mes amis étant tous en couples, je me demandais ce que j'allais bien devenir ! 😊 Je me souviens de ma toute première sortie, c'était au Trolley Bus. J'avais pris mon courage à deux mains pour contacter deux nanas qui habitaient le 13ème et leur proposer de les récupérer au passage, dont une avec qui je suis restée en contact. C'était le début de l'aventure Ovésienne, avec son lot de découvertes, de franches rigolades, et de peines aussi (c'est comme au travail, faut pas mélanger amours et OVS 😀).
Oh musique, alliée de tout âge ! De ma vie tu es le témoignage. De toi je fais bon usage. Avec ou sans grand tapage.
Quand mon âme se décourage, Qu’en moi la tourmente se propage, Ton air doux comme un présage D’un refrain la peine tu dégages.
Tu me transportes par-delà les nuages M’envoies vers d’inconnus rivages. Mais toujours de beaux voyages, Avec toi pour unique bagage.
Tu peux me causer des ravages Et tout aussitôt réparer les dommages. De tes accords je suis l’otage Dont j’en ignore tous les rouages.
Juste à l’écoute de ce bruitage, Avec mes oreilles comme arbitrage Ecrire des pages et des pages De tous les maux que tu soulages.
Parfois tu exhortes ma rage Quand je perds tout courage Que ma voie prend des virages La sono à fond comme amorçage.
Et là, la révélation, le mirage ! Ta mélodie, mon sauvetage Enfin épargnée du naufrage Il est temps de redevenir sage.
Oh musique mon vert pâturage ! Quand j’emprunterai le passage Qui m’amènera au sarcophage De ton chant fais-moi ombrage.
L'AMOUR AU TEMPS DU CORONA
Effet secondaire du virus : l’occasion de revoir ses priorités dans la frénésie contemporaine. Nous partageons à cette occasion un beau texte de Raffaele Morelli, psychiatre et président fondateur de l’Institut de médecine psychosomatique de Riza. « Je crois que le cosmos a sa façon de rééquilibrer les choses et ses lois, quand celles-ci viennent à être trop bouleversées. Le moment que nous vivons, plein d’anomalies et de paradoxes, fait réfléchir… Dans une phase où le changement climatique, causé par les désastres environnementaux, a atteint des niveaux inquiétants. D’abord la Chine, puis tant d’autres pays, sont contraints au blocage ; l’économie s’écroule, mais la pollution diminue de manière considérable. L’air s’améliore ; on utilise un masque, mais on respire… Dans un moment historique où, partout dans le monde, se réactivent certaines idéologies et politiques discriminatoires, rappelant avec force un passé mesquin, un virus arrive, qui nous fait expérimenter que, en un instant, nous pouvons nous aussi devenir les discriminés, les ségrégués, ceux qu’on bloquent aux frontières, qui amènent les maladies. Même si nous n’y sommes pour rien. Même si nous sommes blancs, occidentaux, et que nous voyageons en première classe (= complexe de toute puissance) Dans une société fondée sur la productivité et la consommation, dans laquelle nous courons tous 14 heures par jour après on ne sait pas bien pourquoi, sans samedi ni dimanche, sans plus de pause dans le calendrier, tout à coup, le «stop» arrive. Tous à l’arrêt, à la maison, pendant des jours et des jours. À faire le compte d’un temps dont nous avons perdu la valeur, dès qu’il n’est plus mesurable en argent, en profit. Sait-on seulement encore quoi en faire ? Dans une période où l’éducation de nos propres enfants, par la force des choses, est souvent déléguée à des figures et institutions diverses, le virus ferme les écoles et nous oblige à trouver des solutions alternatives, à réunir les mamans et les papas avec leurs propres enfants. Il nous oblige à refaire une « famille ». Dans une dimension où les relations, la communication, la sociabilité, se jouent essentiellement dans ce non-espace du virtuel des réseaux sociaux, nous donnant l’illusion de la proximité, le virus nous enlève la proximité, celle qui est bien réelle : personne ne doit se toucher, pas de baisers, pas d’embrassades, de la distance, dans le froid du non-contact. Depuis quand avons-nous pris pour acquis ces gestes et leur signification ? Dans un climat social où penser à soi est devenu la règle, le virus nous envoie un message clair : la seule manière de nous en sortir, c’est la réciprocité, le sens de l’appartenance, la communauté, se sentir faire partie de quelque chose de plus grand, dont il faut prendre soin, et qui peut prendre soin de nous. La responsabilité partagée, sentir que de nos actions dépendent, non pas seulement notre propre sort, mais du sort des autres, de tous ceux qui nous entourent. Et que nous dépendons d’eux. Alors, si nous arrêtons la « chasse aux sorcières », de nous demander à qui la faute et pourquoi tout ça est arrivé, pour nous interroger plutôt sur ce que nous pouvons apprendre, je crois que nous avons tous beaucoup de matière à réflexion et à agir. Parce qu’avec le cosmos et ses lois, de manière évidente, nous avons une dette excessive. Il nous le rappelle au prix fort, avec un virus.
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