Ne pas se prendre trop au serieux ...mais ...

....Sports variés, footing, balades , rollers , ... evenements culturels... Echanges dans la convivialité...

J écris aussi des poemes ... la nuit : 

L’écureuil et la souris

L'écureuil et la souris se croisaient venus d'horizons distincts
se voyaient au loin l'un dans les arbres l'autre dans les feuilles 
leurs vies rythmées de bons et pirouettes selon leurs instincts 
similaires pelages doux soyeux ils s'observaient du coin de l’œil 

Ils avaient la grâce la silhouette attendrissante et le pas léger
La mignonne petite souris , le soir se mettait en boule s'endormait 
Dans le silence de la nuit l'écureuil s'approchait pour l'observer 
De la douceur de sa muse ses rêves et son regard s'apaisaient 

Elle de jour était admirative en secret de sa vélocité et sa dextérité 
Un soir de pleine lune tout attendri il s'endormit corps contres collés
Au matin souris se réveilla surprise de cette affection toute dévouée 
Elle resta immobile sous ce doux pelage roux pour ne pas l'éveiller 
De ce jour il adorait sa mignoneté avec des yeux toujours émerveillés 

Elle était devenue dans le ciel son étoile unique pleine de lueur
Comme une perle de culture dans son cœur pour partager le bonheur

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L'écorce terrestre est rude, épaisse  
par ses reliefs glacés ses torrides vallons
Au premier abord hostiles à l attention
d une douce lueur pleine de tendresse
que le petit satellite lunaire adresse.

Tel le rayon du soleil, son chemin faisant,
l amour se reflète sur le croissant scintillant
ébrèche à peine cette armure dure et froide

Plus bas le manteau instable et infernal  
embourbe les bises et caresses matinales  
Mais quand la lune se fait belle et pleine
ses ondes et vibrations, enfin parviennent
Au noyau tendre et chaleureux
de notre astre terrien devenant amoureux.

De la délicatesse et de la beauté intérieure

il se nourrit de sa muse qui le rend meilleur

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Lumière...d'automne

La blanche lumière brûlante et estivale
S'estompe et rougit comme refroidit le métal
La bise et rayons du soleil caressent nos joues
Souvenirs et chaleur enivrante reste encore en nous

Les fruits matures se cuivrent en une douce couleur
Nectar et goût du soleil rendent toutes leur saveurs
La végétation se teint en roux flamboyants dégradés
Frisquettes soirées mais les yeux rivés dans les cieux

Reflets des ricochets solaires les nuages me font rêver
Je vole au delà de la ligne d horizon et revois mes aïeux
Je vois ma vie, une aventure un fruit a maturation....
d'une épaisse coquille aux nuances de bruns striés

Abrite la chaleur de la châtaigne et sa chair nourrissante
Convergence sur la noisette de ses lignes rayonnantes
m'inspire de la profondeur de tes yeux... une révélation
Ma poésie et ma sensibilité toujours grandissante…

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Papillon de vie ...

Songes et fantasmes volent, perdus dans la nuit.

Recouverts d'une reluisante poussière qui t'élève...

éphémères et fragiles sont tes ailes et nos rêves.

Tragique et courte destinée est le sort de ta vie

Comme la fée Clochette ressentie vulnérable

Ton cœur à l'ouvrage et générosité sont honorables

Comme le papillon tu portes nos rêves éternels

Vers le ciel ta vie rallonge à chaque battement d'ailes

Vers la lune tu voles dans un faisceau de lumière

ton âme se nourrit de ton ascension, tu te régénères 

Avec Sourire admiratif , Icare t 'observe t'envoler

Là haut, tes cœur corps et esprit se sont dispersés

Consistante et volatile ton âme peut s'évaporer ...

Le papillon de nuit tu deviens scintillant pour toujours

tu as ce dilemme comme nous selon le degré d'amour...

d'être guidé par tes rêves, mais de ton corps prisonnier

Tel un phœnix ses ailes déployées pour l'éternité

Porté par les vents tu m'inspires pensées et poésie...

Une nuit à mon tour je deviendrai papillon de vie

Mon âme en héritage pour mes lucioles adorées...

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Ramifications

Ancre et miroir, il reflète des liaisons invisibles, profondes
Ses points forts inaperçus pourtant si tenaces et durables
Notre insouciance trébuche sur ses racines insoupçonnables
Comme notre esprit où méandres et curiosité se confondent

Dans toutes ses ramifications son âme est diluée par sa sève
Chacune de ses feuilles est un songe qui vers le ciel il s’élève
Dans le silence il s'enracine dans ciel et terre, les maintient liés
Nous devons de la modestie face à sa grandeur et son humilité

Avec persévérance il puise son eau au delà des catacombes
Sa parure magique recycle en oxygène les caresses du soleil
Tels des phœnix, certains sous les flammes ne succombent
Magistrale ou nouée dans le vent, son allure nous émerveille

Généreux de son corps et de ses fruits il est notre source vitale
L’arbre notre parent universel, porteur de notre fragile condition
Depuis ses racines et ses branches, l'homme en est l'extension,
Apaisé sous l'ombre du vieil arbre, ses yeux fixent le vide sidéral

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S.T