« Jouer les Lettres de mon moulin comme si c’était moi qui les avais pensées, imaginées, écrites. Comme si je m’en souvenais. Comme si je les avais vécues. Jouer les Lettres de mon moulin pour qu’elles me ramènent à l’enfance, la mienne et celle de tout le monde. L’enfance de l’art aussi. Voilà, juste ça : des histoires, des paysages, des personnages, des accents. Et un pays. Le mien : la Provence… »
Philippe Caubère
Il est possible d’assister à l’une et/ou l’autre de ces représentation