Film "The Brutalist"
L'histoire, sur près de trente ans, d'un architecte juif né en Hongrie, László Toth. Revenu d'un camp de concentration, il émigre aux États-Unis avec sa femme, pour connaître son " rêve américain ". Prix de la mise en scène, prix de la critique internationale, festival de Venise. 3 Golden Globes : meilleurs film, réalisateur et acteur. 4 BAFTAS : meilleurs réalisateur, acteur, musique et photographie. 10 nominations aux Oscars. La durée du film comprend un entracte de 15 minutes.
Allociné Presse 4.3 Spectateurs 4
Quelques critiques presse
Ce jeu de massacre orchestré par un metteur en scène en pleine possession de ses moyens montre un autre fascisme : l’impérialisme sur la pensée et les corps.
Ce personnage au génie démesuré et visionnaire donne sa forme même au film, récit ample et halluciné, par lequel Brady Corbet prend la mesure d’un destin hors-norme.
Film-fleuve d’une fluidité déconcertante et d’une incroyable densité, "The Brutalist" impose Brady Corbet en cinéaste passionnant, et sa fresque en grand film sur l’Amérique, son mensonge et sa désillusion.
En plus de son passionnant propos et de sa forme exceptionnellement travaillée, le film est servi par la performance saisissante d'Adrien Brody, entouré par une troupe de comédiens et de comédiennes totalement engagés dans cette prouesse cinématographique.
Une magnifique fresque monumentale.
Une fresque américaine ? Oui, mais d’une européenne ambiguïté. Un monument ? Peut-être, mais intimiste. Entre classicisme et modernité, Brady Corbet ne choisit pas et accouche d’un grand, très grand film.
Un film qui ne cède jamais à la facilité sans pour autant négliger une dimension romanesque servie par un casting exceptionnel.
Des films comme ça, on n’en voit pas beaucoup dans sa vie. Un film pareil, on n’en réalise qu’un dans sa vie.
Place G8
Possibilité de boire un verre après