◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄    1234   ►►

La société du sans contact
Auteur : Napi  
9/26

Date :    19-09-2023 17:18:02


Suisse
www.rts.ch/info/economie/14300469-face-a-la-diminution-du-cash-certains-commercants-font-le-choix-de-ne-plus-laccepter.html
18/09/2023

Face à la diminution du cash, certains commerçants font le choix de ne plus l'accepter

La pandémie de Covid-19 a bouleversé nos habitudes de paiement: dans les commerces ou les transports publics, on règle de plus en plus par carte bancaire ou application. En Suisse alémanique, plusieurs restaurants ont décidé de bannir totalement le cash, tout comme certaines compagnies de transports publics.
A Zurich, depuis un an, dans le restaurant Kitchen Republic, il n'est plus possible de payer en argent liquide. Pour régler la note, la clientèle doit sortir carte bancaire, application Twint ou tout autre moyen de paiement dématérialisé. Cela ne semble pas faire fuir la clientèle jeune et urbaine, comme en témoigne un client dans le 19h30 dimanche. "Pour moi, ce n’est pas un problème. Je paie de toute façon toujours sans liquide."

Le personnel apprécie lui aussi de ne plus devoir brasser quotidiennement pièces et billets de banque. "C'est plus rapide. C'est plus sûr pour nous et on ne peut pas rendre faux. Le client non plus ne peut pas se tromper", reconnaît la serveuse Lea Gockenbach.

Mesures d'économies
Ce restaurant fait partie d’une grande chaîne alémanique qui compte une trentaine d'établissements. En Suisse, elle est la première à bannir totalement l’argent liquide. Car le cash, ça coûte.

"L'argent liquide a des inconvénients: le processus d’encaissement est beaucoup plus long. Le personnel doit aussi faire un décompte journalier. Il faut tenir un livre de caisse, etc. Bref, il y a beaucoup de frais cachés", explique Manuel Wiesner, chargé de l’innovation chez Familie Wiesner Gastronomie SA.

Ces frais, l'entreprise a voulu les éliminer, car ces dernières années, seuls 5% de la clientèle réglait encore en espèces.

De nouveaux moyens de paiement
Partout en Suisse, les habitudes de paiement changent. Fin 2018, plus de la moitié des transactions dans les commerces se faisaient encore en argent liquide. Aujourd’hui, les deux tiers se font par cartes bancaires et par d'autres moyens dématérialisés.

Pourtant, selon Marcel Stadelmann, chercheur à ZHAW School of Management and Law à Zurich, les commerces qui décident de bannir totalement le cash sont encore rares.

"Le débat public considère encore d'un oeil critique le fait de ne plus accepter d'argent liquide du tout. Il y a aussi diverses initiatives politiques. C'est pourquoi de nombreux commerçants vont encore attendre", relève-t-il.

"Une exigence de la Confédération"
Le canton des Grisons, lui, n’a pas attendu pour supprimer l’argent liquide des transports publics. Depuis quelques mois, sur plusieurs lignes, les usagers sont contraints d’acheter leur billet avec leur Swisspass ou de payer par carte bancaire.

Si certains n'y voient pas d'inconvénient, les personnes plus âgées, elles, ont un peu de mal. "C’est un peu difficile pour nous, les vieilles personnes. Mais Dieu soit loué, j’ai un abonnement général", témoigne l'une d'entre elles.

La seule possibilité pour payer encore en liquide dans le bus, c’est d'acheter une carte multicourses. Reste à voir pour combien de temps, avertit Sascha Streule, responsable service clientèle de Bus und Service AG (GR).

"Le but d’atteindre le sans espèce, ce n’est pas nous qui le fixons. C’est une exigence de la Confédération. En 2035, on ne devrait plus pouvoir acheter de billet en liquide, y compris dans les bus. Ça permet au chauffeur de se concentrer sur la route, de respecter les horaires..."

Dans les transports publics ou les commerces, l’avenir de nos paiements semble donc se diriger vers le tout numérique.
Auteur : Rosalie1334 
10/26

Date :    19-09-2023 17:53:12


Depuis le début de l'année 2020, la Suède est revenue à l'argent liquide.

Pourquoi ?

[ La motivation première de cette loi et donc de ce revirement, est avant tout sociale. l’argent numérique est beaucoup plus ségrégateur.

Il implique d’avoir un numéro universel d’immatriculation, un compte en banque, un domicile fixe, ce que n’ont pas les immigrés, les touristes ou les personnes dans des situations de grande précarité.]

numismag.com/fr/2020/03/08/machine-arriere-la-suede-revient-a-largent-liquide/
Auteur : Bigben  
11/26

Date :    20-09-2023 01:48:08


Ceux qui dénigrent le maintien (et regain) de l'usage de la monnaie fiduciaire
--> font, à leur manière, de la cancel culture,
--> par dénonciation d'une pratique "passée de mode" ,
--> avec bête volonté d'ostraciser certains
--> au profit d'autres présentés comme victimes (de quoi, d'ailleurs ? )

P.-S. : maintenant, je doute que les touristes ne puissent pas utiliser leur carte bleue hors de chez eux...
Auteur : Napi  
12/26

Date :    21-10-2023 13:29:48


www.bfmtv.com/crypto/la-bce-avance-sur-l-euro-numerique-en-depit-des-inquietudes-en-matiere-de-vie-privee_AD-202310190307.html
19/10/2023

LA BCE AVANCE SUR L'EURO NUMÉRIQUE EN DÉPIT DES INQUIÉTUDES EN MATIÈRE DE VIE PRIVÉE

Mercredi, la Banque centrale européenne a lancé sa phase d'expérimentation d'un euro numérique, pour une durée de deux ans.
La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé mercredi le lancement de "la phase préparatoire", comportant des tests et expérimentations, de l'euro numérique, conçu comme une réponse à la dématérialisation croissante des paiements et aux cryptomonnaies.

"Nous devons préparer notre monnaie pour le futur", a déclaré la présidente de la BCE, Christine Lagarde, dans un communiqué, à l'issue de deux années d'évaluation du projet. Cette phase "préparatoire" aura elle aussi une durée initiale de deux ans et "ouvrira la voie à une décision future" sur l'éventuelle émission d'un euro numérique.

Le lancement de la phase préparatoire ne constitue donc pas un feu vert à la création d'un euro numérique. Cette décision ne sera envisagée par le Conseil des gouverneurs de la BCE qu'une fois le processus législatif de l'Union européenne achevé. Les autorités européennes - Parlement, Commission, Conseil, Eurogroupe - doivent en effet encore donner à l'euro numérique un statut officiel.

"Nous envisageons l'euro numérique comme une forme numérique d'espèces qui pourrait être utilisée pour tous les paiements numériques, gratuitement, et qui garantirait le plus haut niveau de confidentialité" à une monnaie devant servir au quotidien pour près de 350 millions d'Européens, a souligné Christine Lagarde.
La BCE, qui constate la diminution continuelle des règlements en espèces dans une économie de plus en plus numérique, doit se "préparer à émettre un euro numérique parallèlement aux espèces", a indiqué Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE.

"1984 a eu un peu de retard"

L'euro numérique suscite avant tout des inquiétudes, notamment de la communauté crypto qui s'inquiète d'une atteinte à la vie privée. Gilles Cadignan, le co-fondateur de la société crypto Woleet, avait déclaré dans une interview sur BFM Crypto que "contrairement au cash, on pourra avec les monnaies digitales de banques centrales savoir qui utilise l’argent et pourquoi! 1984 a eu un peu de retard mais nous y voilà pour de bon".

Contrairement à l'euro numérique qui devra faire ses preuves en la matière, les cryptomonnaies, qu'elles soient pseudonymes ou anonymes, permettent aux citoyens de protéger leur vie privée lorsqu'ils effectuent des transactions.

L'euro numérique n'a pas vocation à se substituer aux espèces, a toujours insisté la BCE, qui prépare en parallèle une nouvelle série de billets de banques. La future monnaie virtuelle est aussi prévue pour servir de plateforme permettant aux intermédiaires financiers européens d'offrir des services de paiements disponibles dans toute la zone euro. L'euro numérique se veut une alternative sur un marché européen des paiements par carte dominé par deux acteurs, Visa et Mastercard, dont les cartes ne sont pas elles-mêmes acceptées partout.

Sa distribution serait assurée par les banques et fintechs agréées. La BCE s'engage au moment où une centaine de banques centrales dans le monde, notamment de Chine, du Royaume-Uni et des Etats-Unis, travaillent aussi à l'émission de leur propre monnaie digitale. L'institution basée à Francfort craint que la multiplication des monnaies virtuelles, privées ou nationales, puisse saper l'influence de la monnaie unique européenne. "Un euro numérique renforcerait l'efficacité des paiements européens et contribuerait à l'autonomie stratégique de l'Europe", a relevé Fabio Panetta.



www.lequotidiendumedecin.fr/sante-societe/e-sante/lordonnance-numerique-cest-pas-automatique
20/10/2023

L’ordonnance numérique, c’est pas automatique !

Les pouvoirs publics veulent généraliser l’ordonnance numérique chez les médecins de ville et dans les pharmacies début 2025. Objectif : sécuriser la prescription et réduire les fraudes. Mais des obstacles techniques demeurent. Surtout, il faudra convaincre les praticiens de l’utilité de la e-prescription…

C’est l’une des étapes majeures de la transformation numérique du système de santé. Après avoir relooké le dossier médical personnel (DMP) dans le cadre de Mon espace santé, le gouvernement et l’Assurance-maladie souhaitent accélérer le déploiement de l’ordonnance numérique pour sécuriser et accélérer le traitement des ordonnances, en commençant par les médecins et les pharmacies de ville.

Le sujet de la e-prescription est sur la table depuis 2017 mais après plusieurs phases d’expérimentation, les pouvoirs publics veulent changer de braquet. Ils ont l’ambition de généraliser l’ordonnance numérique – nouvelle appellation officielle – à partir de 2025 et affichent deux objectifs ambitieux intermédiaires. Côté éditeurs, ils visent d’ici à fin 2024, 75 % de la part du marché des logiciels ayant passé avec succès les pré-séries, étapes indispensables pour être compatibles à l’ordonnance numérique. Et il faudra qu’au moins 40 000 médecins aient réalisé au moins une e-prescription dans le téléservice « ordonnance numérique » de l’Assurance-maladie d’ici à la fin de l’an prochain. Le but à terme est que les médecins utilisent la e-prescription en routine et puissent glisser leurs ordonnances digitales dans le carnet de santé dématérialisé du patient.
Auteur : Rosalie1334 
13/26

Date :    12-11-2023 20:17:05


Les limites de l'IA :

usbeketrica.com/fr/article/l-onu-a-demande-a-une-boite-d-ia-de-trouver-des-solutions-au-conflit-israelo-palestinien?utm_source=pocket-newtab-fr-fr

[ On ne peut pas se contenter de faire mouliner des millions d’articles et de documents sur la question, il faut aller sur le terrain. Lors d’un séjour en Cisjordanie en septembre dernier, « nous avons rencontré des représentants de l’ONU et d’ONG, et nous nous sommes rendus dans des villages pour constater par nous-mêmes la dynamique de colonisation sur place » ]
Auteur : Napi  
14/26

Date :    17-11-2023 18:50:58


www.commentcamarche.net/securite/protection/29441-identite-numerique-europeenne/
10/11/2023

Identité numérique européenne : un portefeuille universel pour tous les documents officiels

Les instances européennes sont enfin parvenues à trouver un accord pour mettre en place un portefeuille d'identité numérique à l'échelle du Vieux Continent. À la clé, l'accès à tous les documents officiels dans un smartphone !

Alors que notre société devient de plus en plus connectée et que les services administratifs des États se numérisent toujours davantage, l'Union européenne cherche depuis plusieurs années maintenant à mettre en place un portefeuille d'identité numérique européen, dans lequel chaque citoyen pourrait stocker ses documents d'identité (carte d'identité, permis…) et accéder aux services en ligne publics et privée dans toute l'Europe. Pour faire simple, ce serait une sorte d'équivalent européen à France Identité. Les choses se concrétisent enfin puisqu'un accord a été trouvé le 8 novembre 2023 entre les trois grandes instances de l'UE, à savoir la Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l'Europe. Comme annoncé dans un communiqué, le texte prévoit que ce portefeuille d'identité numérique, baptisé EU Digital ID Wallet, puisse être associé à divers documents comme un permis de conduire, un compte bancaire ou des diplômes. Les utilisateurs pourront par ce biais prouver leur identité et communiquer des documents électroniques depuis leur téléphone portable. Ce système doit s'appuyer sur les solutions nationales déjà existantes, comme France Identité, en les rendant interopérables. Un projet des plus ambitieux… Peut-être trop ?

EU Digital ID Wallet : un accord enfin trouvé
Le portefeuille d'identité numérique est bien plus qu'un simple dossier comprenant différents documents. "Outre le stockage sécurisé de leur identité numérique, le portefeuille permettra aux utilisateurs d'ouvrir des comptes bancaires, d'effectuer des paiements et de conserver des documents numériques, tels qu'une version mobile du permis de conduite, une ordonnance médicale, un certificat professionnel ou un billet de transport", explique ainsi la Commission européenne. De plus, il permettra aux citoyens du Vieux Continent de s'affranchir de l'identification sur les grandes plateformes numériques listées par le DSA, comme Apple, Google, Amazon ou Facebook, souvent requise pour accéder à certains services. Les géants du numérique n'auront d'autre choix que de se plier au protocole mis en place par l'Union européenne. " Les services privés qui sont légalement tenus d'authentifier leurs utilisateurs devront accepter le portefeuille d'identité numérique de l'UE pour se connecter à leurs services en ligne", explique le Conseil de l'UE.

Le commissaire européen au Numérique, Thierry Breton, s'est réjoui de l'accord, saluant "un pas de géant et une première mondiale". "Grâce au portefeuille d'identité numérique européen, tous les citoyens de l'UE pourront disposer d'une identité numérique sécurisée tout au long de leur vie", s'enthousiasme-t-il sur X (anciennement Twitter). De son côté, la ministre espagnole de l’Économie Nadia Calviño s'est félicitée de l'accord trouvé : "Il s'agit d'une avancée essentielle pour que l'Union européenne devienne une référence mondiale dans le domaine numérique, en protégeant nos droits et nos valeurs démocratiques".

Certaines craintes ont toutefois été exprimées concernant la confidentialité des données, d'autant plus que le portefeuille numérique permettra non seulement de payer, mais aussi de garder une trace de toutes les transactions, et même d'interagir avec d'autres portefeuilles. L'Union européenne se veut rassurante à ce sujet.  "Le portefeuille respectera pleinement le choix de l'utilisateur de partager ou non ses données personnelles. Il offrira le plus haut degré de sécurité certifié indépendamment selon les mêmes normes, et les parties pertinentes de son code seront publiées en open source pour exclure toute possibilité d'utilisation abusive, illégale, de suivi, de traçage ou d'interception gouvernementale." Il sera même possible de signaler un mauvais usage de ces données directement sur l'EU Digital ID Wallet.

Calmons cependant nos ardeurs, car ce portefeuille numérique risque de ne pas arriver de sitôt. Pour rappel, la proposition initiale avait été présentée en juin 2021 par la Commission européenne. Le texte doit maintenant être adopté par le Parlement européen et par le Conseil pour entrer en vigueur. Il faudra ensuite attendre vingt-quatre mois suivant l'acte d'exécution pour que les États proposent à leurs citoyens le EU Digital ID Wallet.
Auteur : Rosalie1334 
15/26

Date :    28-11-2023 20:37:27


Vous souffrez de solitude ?🧸

Robot LOVOT Groove assistance à la personne bien être.

[ LOVOT réagira à vos humeurs, et fera tout son possible pour vous combler de joie et vous redynamiser. Ce n’est peut-être pas une créature vivante, mais LOVOT réchauffera votre cœur. LOVOT est né pour une seule raison : être aimé de vous. ]

6.352,00 € TTC .. gloups ! 🤭

www.leobotics.fr/comparateur-robot/robot-de-service-robot-divertissement-jouet-domestique-art-livre/robot-domestique-maison-service-aspirateur-piscine-tondeuse-laveur/robot-bien-etre/robot-lovot-groove-assistance-a-la-personne-bien-etre/
Auteur : Bigben  
16/26

Date :    29-11-2023 02:45:08


Rien de très nouveau :
--> depuis cette pratique japonaise (dont j'ai oublié le nom, consistant, il y a plus de vingt ans, à soigner, depuis son tél mobile, une icône informatique d'animal de compagnie)
--> ou encore l' Aibo (chien-robot de chez Sony) ,
--> toutes ces inventions nipponnes ( ... ni mauvaises) sont conçues PAR et POUR une société aux mœurs TRES différentes des nôtres...

◄◄    1234   ►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »