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CORONAVIRUS
Auteur : Napi  
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Date :    15-02-2024 17:56:16


www.lavoixdunord.fr/1430478/article/2024-02-14/il-n-avait-pas-pu-dire-adieu-son-pere-pendant-le-confinement-l-etat-condamne
14/02/2024

Il n’avait pas pu dire adieu à son père pendant le confinement : l’État condamné pour faute lourde
Patrice Dupas avait été empêché par les gendarmes d’aller voir son père mourant en avril 2020, ceux-ci estimant qu’il ne s’agissait pas d’une raison valable pour enfreindre le confinement.


L’histoire avait ému la France entière. Habitant en Loir-et-Cher, Patrice Dupas avait pris la route le 4 avril 2020, muni d’une attestation de déplacement, pour voir son père en fin de vie. Mais contrôlé par des gendarmes à l’entrée du pont de l’île de Ré, il avait été verbalisé de 135 euros et avait dû faire demi-tour. Son père était décédé quelques jours plus tard sans qu’il ait pu le voir.


L’histoire avait ému la France entière. Habitant en Loir-et-Cher, Patrice Dupas avait pris la route le 4 avril 2020, muni d’une attestation de déplacement, pour voir son père en fin de vie. Mais contrôlé par des gendarmes à l’entrée du pont de l’île de Ré, il avait été verbalisé de 135 euros et avait dû faire demi-tour. Son père était décédé quelques jours plus tard sans qu’il ait pu le voir.


La porte-parole de la Gendarmerie nationale avait reconnu plus tard que les gendarmes n’avaient « pas perçu le degré d’urgence » du déplacement de M. Dupas. « Il y a eu une véritable incompréhension. C’est malheureux. Nous le regrettons et nous comprenons sa peine », avait-elle dit. L’amende de 135 euros avait été annulée.

L’État ne fera pas appel
Mais Patrice Dupas n’en était pas resté là et avait porté plainte contre l’État. Une action en justice qui lui a donné raison. Le journal Le Parisien indique ce mercredi que le tribunal judiciaire de La Rochelle a établi « la faute lourde de l’État ». Le jugement date du 19 décembre 2023 mais il n’avait pas été médiatisé plus tôt. Patrice Dupas touchera 10 000 euros pour son préjudice.


L’avocat de Patrice Dupas a aussi salué « un excellent jugement ». « L’État vient de nous signifier qu’il ne fera pas appel. Les gendarmes ne se sont pas contentés de faire une bêtise, ils l’ont assumé jusqu’au bout avec une contravention. Claude Dupas n’a pu revoir son fils. Et son fils n’a pu saluer son père une dernière fois », a réagi Me Kévin Gomez au journal Le Parisien.

Auteur : Napi  
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Date :    15-02-2024 18:01:38


"J’ai tapé « gourou et Raoult » sur Google, il y a plus de réponses que pour « science et Le Pen ».
De retour dans l’hémicycle, j’ai défendu la loi contre les dérives sectaires. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que ça n’a pas plu aux extrêmes !"

Olivier Véran, le 14/02/2024

www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/07/08/covid-19-les-essais-de-phase-3-des-vaccins-sont-ils-termines-depuis-des-mois-comme-l-affirme-olivier-veran_6087580_4355770.html
08/07/2021

Covid-19 : les essais de phase 3 des vaccins sont-ils terminés « depuis des mois », comme l’affirme Olivier Véran ?


lemediaen442.fr/la-nouvelle-secretaire-detat-chargee-de-la-ville-sabrina-agresti-roubache-avait-ete-traitee-a-la-chloroquine-par-le-pr-raoult/
15/02/2024

La Secrétaire d’État, Sabrina Agresti-Roubache, avait été traitée à la l’hydroxychloroquine par le Pr Raoult
Sabrina Agresti-Roubache, la Secrétaire d'État chargée de la Ville, avait témoigné en avril 2020 sur BFM TV de son expérience avec la chloroquine. Traitée par le Pr Raoult, elle en disait le plus grand bien. Cette amie très proche de Brigitte Macron avait activé en avril 2020 la visite d’Emmanuel Macron à Didier Raoult au CHU, mais s’était fait taper sur les doigts pour finalement revenir au vaccin comme seul remède.

Internet a de la mémoire… Lors de son intervention sur BFM TV, Sabrina Agresti-Roubache a raconté comment elle avait commencé à ressentir les premiers symptômes du COVID-19 un lundi. Étant asthmatique, elle était particulièrement fragile et souffrait d’énormes symptômes, notamment une sensation de brûlure dans les poumons. Elle avait tous les symptômes classiques : toux, maux de tête, sensibilité à la lumière. Elle a donc décidé de se faire dépister et a reçu la confirmation qu’elle et son mari étaient positifs au virus.

Étant donné la gravité de ses symptômes, elle a été hospitalisée immédiatement et a commencé un traitement à la chloroquine dès le vendredi matin. Heureusement, dès le vendredi soir, elle commençait à se sentir mieux et sa charge virale était en baisse. Le samedi matin, elle allait déjà beaucoup mieux.

Interrogée par la journaliste sur l’amélioration rapide de son état en 24 heures, la Secrétaire d’État chargée de la Ville a déclaré qu’elle ne pouvait pas affirmer catégoriquement que c’était uniquement grâce à la chloroquine, mais que ce qui était sûr, c’est que sa charge virale avait nettement baissé le samedi. Elle n’avait plus de symptômes tels que maux de tête et courbatures, et sa fièvre avait pratiquement disparu. Ses douleurs pulmonaires s’étaient également atténuées.

Le revirement de Sabrina Agresti-Roubache, qui a depuis présenté son projet de loi renforçant la lutte contre les dérives sectaires, met en lumière les jeux de pouvoir et les compromis qui semblent régir les décisions politiques, où les intérêts personnels et les alliances fluctuent selon les circonstances. Cette affaire soulève également des interrogations sur la crédibilité des politiciens et leur capacité à agir dans l’intérêt public plutôt que dans celui des lobbies industriels.

Auteur : EBONYMAY  
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Date :    15-02-2024 22:18:35


"... des interrogations sur la crédibilité des politiciens et leur capacité à agir dans l'intérêt public plutôt que dans celui des lobbies industriels" : tu m'épates, pattes de mouches ! Autrement dit "sans blague" !
Auteur : Napi  
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Date :    21-02-2024 13:03:41


www.francesoir.fr/societe-sante/une-analyse-independante-des-donnees-des-30423-patients-soignes-l-ihu-mediterranee
19/02/2024

Une analyse indépendante des données des 30423 patients soignés à l’IHU-Méditerranée Infection donne des résultats encore meilleurs que ceux initialement annoncés par les équipes de l’IHU


Réunis autour du Professeur Christian Perronne, Valère Lounnas (PhD de chimie théorique appliquée aux protéines et ancien chercheur à l'EMBL-Heidelberg), Pr. Eleftherios Gkioulekas (PhD, School of Mathematical and Statistical Sciences, University of Texas), Dr Marc Rendell, (MD Rose Salter Medical Research Foundation), Dr Alexis Lacout et Xavier Azalbert (économétricien, directeur de la rédaction de France-Soir) ont analysé de manière autonome et indépendante les données des 30 423 patients pris en charge par l’IHUM ( Institut Hospitalo-Universitaire-Méditerranée Infection). Deux faits marquants :

La bithérapie utilisée à l'IHUM diminue de 58 % le passage en soins intensifs et décès, montre l'étude indépendante des données des 30423 patients soignés à l’IHUM.
L'AP-HM, sous la responsabilité de François Crémieux, a donné son accord à l'exploitation des données dans un but de publications scientifiques. Ce qui vient mettre un terme aux affirmations non étayées du Pr Molimard qui a qualifié cette étude "d'essai sauvage".
Le Professeur Perronne déclare :

"L’équipe a fait un travail très précis alliant la rigueur mathématique et méthodologique nécessaire à l’analyse d’une base de données de type Big data avec les compétences cliniques essentielles."

Une étude autorisée par l’AP-HM dirigé par François Crémieux

Les patients analysés sont ceux du pôle de maladies infectieuses de l’AP-HM (Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille) soignés à l'IHU-Méditerranée pendant la phase aiguë de l'épidémie (de mars 2020 à décembre 2021). Cette clarification importante permet de resituer les responsabilités des uns et des autres notamment en matière de soins et de recherche clinique. L’AP-HM est donc le responsable administratif des soins, de la collecte des données et de leur utilisation. Et c’est dans cette optique que l’AP-HM, aujourd’hui représentée par son directeur général François Crémieux, a donné son accord pour l’exploitation des données à but de publications scientifiques dans l’intérêt de la science médicale. Les autorisations 2020-151 et 2020-152, que France-Soir a pu consulter, établit que les études des Pr Million et Pr Lagier sur la Covid sont inscrites au registre des activités de traitements de l’AP-HM pour la période du 27 avril 2020 étendue jusqu’au 31 décembre 2021. Ceci est bien sûr une des missions d’un pôle d’expertise internationalement reconnu comme celui de l’IHUM. Ces éléments contredisent les affirmations non étayées du Pr Molimard de l’université de Bordeaux, opposant affiché aux travaux de l’IHU, qui a déclaré sans l’étayer factuellement que ces données constituaient un "essai sauvage". Contactés par France-Soir à plusieurs reprises, François Crémieux et Mathieu Molimard n'ont jamais été disponibles pour répondre à ces points spécifiques.

Les résultats de l’étude indépendante confirment les résultats des chercheurs de l’IHUM

Les données de 30 423 patients, après contrôle par huissier, ont été publiées sur un serveur et téléchargées par l’équipe pluridisciplinaire qui a passé plusieurs mois à les analyser en passant en revue méthodiquement les divers biais potentiels ainsi que tous les facteurs qui peuvent affecter l'évaluation du traitement dans la limite des données fournies. Rappelons que c’est en octobre 2023 que les chercheurs de l’IHU avaient republié leur étude montrant des résultats clairement en faveur des traitements précoces.

Les résultats sont sans appel en faveur des traitements précoces mis en place à l'IHU-Méditerranée (hydroxychloroquine + azithromycine ou azithromycine avec ou sans ivermectine) sur le critère principal d'évaluation combinant transfert en réanimation et décès.

L’efficacité de la bithérapie s'est élevée à 58 % de réduction du risque de passage en soin intensif ou décès.

Il s'agit de la première analyse critique publiée dans une revue à comité de lecture qui vient donc confirmer les résultats obtenus par la publication des chercheurs de l’IHU-Méditerranée.

Résumé de l'article, traduit en français

"Une cohorte de 30 423 patients atteints de covid-19, traités entre mars 2020 et décembre 2021 à l’IHU-Méditerranée Infection de Marseille (France), a été analysée rétrospectivement en termes d'intention de traiter et de facteurs d’aggravation de la maladie, afin de quantifier l’efficacité par rapport au critère d’évaluation composite du transfert en réanimation ou du décès, dans les deux mois (56 jours) suivant l’admission.

Dans la limite des données et des modèles statistiques utilisés, après ajustement pour tenir compte des biais d’échantillonnage, des analyses de régression logistique multivariée ont été effectuées pour déterminer l’efficacité mesurée par un rapport de risque relatif (OR ou odds ratio : rapports de cotes) non ajustés et ajustés pour le sous-ensemble de patients ayant reçu le traitement combiné hydroxychloroquine plus azithromycine (HCQ-AZ) ou aucun traitement spécifique (c’est-à-dire pas d’HCQ, pas d’AZ et pas d’ivermectine) (24 943 patients).

L’azithromycine sans hydroxychloroquine, mais associée à l’ivermectine dans 31,3 % des cas était significativement active en l’absence de traitement spécifique (OR non ajusté = 0,720, IC à 95 % = [0,574 ; 0,905] p = 0,005 et OR ajusté = 0,727, IC à 95 % = [0,608 ; 0,870] p < 0,001).

Les interactions entre la bithérapie (HCQ-AZ) et les covariables du modèle ont été systématiquement explorées. Aucune interaction entre le traitement par HCQ-AZ et la vaccination n’a été détectée. Des interactions favorables statistiquement significatives ont été détectées entre le traitement par HCQ-AZ et le sexe masculin, les catégories d’âge ≥ 50 ans, le variant britannique et lorsque le variant n’a pas été déterminé, l’obésité, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), le cancer et l’immunodéficience, confirmant la grande efficacité de ce traitement précoce. Aucune interaction défavorable statistiquement significative de l’HCQ-AZ avec une autre covariable n’a été détectée.

Les limites des modèles et leurs implications pour les résultats sont discutées en détail ainsi que les limitations des données de l’IHU.

L’étude conclut : "L’analyse statistique des données de l’IHU-Méditerranée avec les méthodes en vigueur en matière d'évaluation rétrospective du bénéfice d'un traitement a démontré l’efficacité du traitement empirique utilisant une association d’hydroxychloroquine et d’azithromycine, administrée en traitement précoce. La très grande taille de la cohorte observationnelle de patients traités de manière cohérente dans un seul établissement, ainsi que la qualité de l’approche statistique que nous avons utilisée, posent un sérieux défi à ceux qui ont continuellement nié l’efficacité potentielle du traitement à base d’hydroxychloroquine des patients Covid pendant la pandémie. Nous avons confirmé la validité de l’approche en intention de traiter, en cas d’urgence, avec une association de médicaments dont on pouvait raisonnablement penser, au début de 2020, qu’elle avait une efficacité potentielle sur la maladie en question. Ce travail devrait inciter d’autres chercheurs indépendants à mener des analyses plus approfondies, éventuellement avec des méthodes encore plus avancées."

L’association Bonsens.org a financé les frais de publication et un ordinateur à 829 euros pour effectuer les travaux.



Note : Questions posées à Monsieur François Crémieux étaient les suivantes :

Je prépare un article sur la publication sur les 30000 patients traités au CHU de Marseille qui a fait l’objet d’une première publication rétractée et d’une seconde publication par les professeurs de l’IHUM. Le professeur Molimard s’est exprimé dans les médias en expliquant que cette étude aurait nécessité un agrément RIPH1 et déclare « que c’est un essai sauvage ».

1 – Cette étude étant effectuée sur des patients de CHU et donc sous votre entière responsabilité, avez-vous donné l’autorisation pour exploiter cette base de données rétrospectives ? si oui à quelle date ?

2 – Est-ce que l’IGAS vous a interrogé à ce sujet et fait des recommandations à ce sujet ?

3 – Les professeurs de l’IHUM ont été attaqués pour cette étude, est-ce que le CHU prend leur défense en tant que responsable de l’institution AP-HM, l’institution qui les emploie ?

4 – Quand Monsieur Molimard déclare que c’est « un essai sauvage », que pouvez-vous dire à ce sujet ? Etant donné qu’il remet ainsi en cause votre responsabilité et les conclusions de l’IGAS ?

5 – Est-il envisagé par le ministère de la Santé de faire un audit pour répondre à la question député Dupont-Aignan au ministre de la Santé sur la validité des résultats de l’IHU en termes de soins et performance du traitement à l’hydroxychloroquine et azithromycine ?

Ndlr : une version préliminaire de cet article a été publiée ce matin.

Auteur : Napi  
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Date :    25-02-2024 13:06:44


www.francesoir.fr/videos-videos-ne-pas-manquer/pr-perronne-bonsensorg-creee-pour-repondre-aux-fraudes-scientifiques
24/02/2024

Pr Perronne : « BonSens.org créée pour répondre aux fraudes scientifiques par des contre-expertises et des actions juridiques »


Le Professeur Christian Perronne a été invité à la cinquième édition de l’International Covid Summit qui se tient à Washington aux États-Unis du 23 au 25 février 2024.
Hier, lors de la première journée, il a fait une présentation très remarquée sur l’association BonSens.org, dont il est le vice-président. Il a présenté le travail scientifique et juridique de l’association qui contribue à répondre aux nombreux challenges d’intégrité scientifique ainsi qu’aux dérives liberticides apparus depuis 2020.

Le Professeur Perronne a aussi évoqué deux études très importantes, qui viennent juste d’être publiées. L'analyse indépendante des données des patients soignés à l'IHU méditerranée confirme :

-L’efficacité significative de la bithérapie hydroxychloroquine et azithromycine, résultats déjà publiés par l’étude des chercheurs de l’IHU méditerranée (Brouqui et al),
-L’absence d’efficience de la vaccination, politique sanitaire vaccinale mise en place et imposée par le gouvernement.
De nombreux autres scientifiques et juristes internationaux ont évoqué divers aspects de la crise sanitaire et les conséquences de la politique sanitaire dont les effets se sentent encore aujourd’hui.

Emmanuelle Darles et Vincent Pavan représentent aussi la France à cette conférence internationale. Leurs présentations sont prévues pour le dimanche 25 février 2024 au matin.

Auteur : Napi  
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Date :    27-02-2024 21:04:32


www.francesoir.fr/opinions-tribunes/christian-perronne-ics-5-un-tournant-le-retour-de-la-lumiere-et-la-liberte
27/02/2024

Christian Perronne : ICS-5 et Sénat US, un tournant, le retour de la lumière et la liberté.


Chers amis,

Mon séjour à Washington s’achève, mais quel séjour !

Après ces années de ténèbres, de corruption, de manipulation, de diffusion d’articles médicaux et scientifiques frauduleux, de suppression des libertés, de mesures autoritaires totalement illégales, de contrôle des médias et de censure généralisée, de destruction méthodique de la santé, des hôpitaux, de l’économie, du potentiel industriel, de l’agriculture, de l’éducation, de l’armée, de la diplomatie, de la culture, des valeurs familiales, la lumière et la vérité se propagent sur la planète. Les peuples s’éveillent et ne lâcheront rien.

Les deux jours du congrès de l’International Crisis Summit (cinquième édition, ICS-5) ont mis au grand jour les mesures terribles prises contre les peuples du monde. Les échanges ont été très riches.

La France était dignement représentée par Emmanuelle Darles (chercheuse en informatique) et Vincent Pavan (mathématicien de haut niveau) qui ont fait deux exposés remarquables sur les publications frauduleuses et les méthodes utilisées pour la fabrication de fausses données.

J’ai eu le plaisir de retrouver des médecins américains exceptionnels combattants de la première heure, devenus amis, Pierre Kory, Harvey Rich, Meryl Nass (qui a été accusée de désinformation puis radiée pour avoir sauvé des vies) et Ryan Cole (médecin anatomo-pathologiste qui a effectué un grand nombre d’autopsies chez les victimes décédées des pseudo-vaccins Covid-19, pour en démontrer la dangerosité). Le Dr Simone Gold, pionnière de la résistance, a témoigné. Le professeur australien, Raphael Lataster, a exposé les techniques de désinformation et de création d’infox, particulièrement utilisées par les fact-checkers.

Le témoignage des routiers canadiens qui ont subi une violence inouïe et à qui on a bloqué les comptes bancaires était poignant. Des médecins et autres soignants, des parlementaires, des policiers (notamment un policier du renseignement de la Police Montée canadienne), d’anciens militaires, des journalistes, qui ont eu un immense courage de résister à la tyrannie et qui ont été victimes de cette répression terrible, ont pu raconter le cauchemar qu’ils ont vécu.

Le témoignage d’un routier canadien d’origine roumaine, qui avait connu dans sa jeunesse la tyrannie communiste de Ceaucescu, et qui pensait ne plus jamais revoir ça, a été très émouvant. Il a été battu sévèrement et blessé pour avoir simplement manifesté pacifiquement contre le passe sanitaire obligatoire. Il a été exposé les techniques de manipulation des populations, de lavage de cerveau, de propagande, dignes d’un film de science-fiction. Les techniques de fraude financière ont été abordées.

Des parents ont témoigné, certains en larmes, en évoquant la mort de leur enfant quelques jours après l’inoculation expérimentale. Des statistiques sur les effets secondaires et la mortalité liés aux pseudo-vaccins ont été montrées, notamment par le Dr Jessica Rose, experte canadienne ayant analysé la base de données des effets secondaires VAERS. Les avocats ont rappelé que l’injection forcée de produits expérimentaux était totalement illégale et contraire à toutes les conventions internationales, assimilable à un crime contre l’humanité. La médaille que portaient les juges lors du procès de Nuremberg a été exposée.

Le Dr Malone a présenté la mainmise de la CIA sur le monde. Mon ami et avocat suisse alémanique, Phillip Kruse a démontré de façon remarquable la menace extrême pour nos démocraties du projet de Traité de l’OMS qui supprimerait le pouvoir des états. L’OMS ayant changé la procédure pour que ce vote puisse être adopté à la majorité simple des pays, il y a un énorme risque que ce traité soit adopté en mai prochain.

Il faut saluer la présence de trois députés européens fantastiques que je connais bien, Christine Anderson (Allemagne), Cristian Terhes (Roumanie) et Rob Roos (Pays-Bas) qui, avec une poignée de collègues à Bruxelles et à Strasbourg, se battent comme des lions pour défendre nos libertés au sein du Parlement européen. Pour survivre, les démocraties doivent impérativement rétablir l’indépendance du Parlement, de la justice et des médias et refuser la tyrannie supranationale de l’OMS.

La table ronde organisée au Sénat des États-Unis, dans la célèbre salle Kennedy, diffusée en direct dans le monde entier, a été d’une richesse incroyable. Beaucoup de professions étaient représentées, y compris des anciens repentis de la finance ou de l’industrie pharmaceutique qui ont pu dévoiler les manipulations cachées. J’étais fier d’y représenter la France.

J’ai été frappé d’entendre de la part de nombreux participants américains, européens, canadiens, mexicains et australiens qu’ils avaient beaucoup d’admiration pour les résistants français, qu’ils considèrent comme des combattants de la première heure dans cette crise covido-ubuesque.

Beaucoup d’experts de pays étrangers comptent sur nous pour montrer la voie. Ils m’ont dit que :

"La France devait reprendre son rôle de pays des lumières."

Lors de cette table ronde, j’ai exposé les données fausses ou carrément frauduleuses dans les publications scientifiques et comment nous les dénonçons, avec mes amis de l’association BonSens.org, en publiant des réponses ou des contre-expertises dans les journaux médicaux internationaux référencés. J’ai aussi parlé des menaces et des sanctions exercées contre les médecins dissidents et de la censure dans les médias de grands chemins, mais aussi sur les réseaux sociaux. J’ai terminé en exposant la volonté des autorités de supprimer nos libertés médicales et scientifiques.

J’ai remercié chaleureusement le Sénateur Ron Johnson et le Dr Robert Malone, organisateurs de la table ronde, pour leur engagement fantastique pour faire éclore la vérité.

Cette table ronde au Sénat américain, par sa qualité et sa diffusion mondiale, représente pour moi un tournant magnifique vers le retour de la lumière et de la liberté.

Washington, le 26 février 2024

Christian Perronne

Auteur : Napi  
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Date :    08-03-2024 13:24:46


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-avec-le-senateur-americain-ron-johnson-il-faut-se-battre-contre
07/03/2024 26 min.

Débriefing avec le sénateur américain Ron Johnson : “Il faut se battre contre le cartel Covid pour que la vérité émerge “


DEBRIEFING - Le sénateur Johnson a été très actif dans l’évaluation de la pandémie de Covid aux Etats-Unis. Le lundi 26 février 2024, se tenait au Sénat américain, une table ronde réunissant des scientifiques et juristes du monde entier pour évoquer ce que tient à cacher le cartel du Covid.

Dans ce débriefing, Ron Johnson revient sur ces quatre heures de meeting où se sont succédé les présentations des meilleurs scientifiques mondiaux et où ont été abordés des sujets tels que les traitements précoces, les effets secondaires de la vaccination, la fraude scientifique, les politiques sanitaires ainsi que les nouvelles dispositions juridiques du traité de l’OMS et l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires en France.

Auteur : Napi  
24/139

Date :    14-03-2024 14:10:08


www.covid-factuel.fr/2024/03/12/la-plus-grosse-etude-financee-pour-demonter-linefficacite-de-livermectine-ny-parvient-pas/
12/03/2024


La plus grosse étude financée pour démontrer l’inefficacité de l’ivermectine n’y parvient pas.
Docteur Gérard Maudrux


CONCLUSIONS

Une étude montée avec tout ce qu’il faut pour rendre l’ivermectine peu efficace, démontre qu’elle est efficace. Ils ont échoué à démontrer le contraire.
Pour arriver à présenter des conclusions contraires aux constatations, il faut une étude randomisée et de bons biostatisticiens.
Pour avoir la vérité, il faut revenir aux études observationnelles, sans conflits d’intérêts.

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