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CORONAVIRUS
Auteur : Jengar  
1/159

Date :    20-03-2020 09:56:39


BONJOUR
A TOUS ET TOUTES VU LES SOUCIS IMPORTANT GRAVE DE SANTE IL EST BIEN SUR FORTEMENT CONSEILLER DE NE PAS sortir pour se proteger jusqu as nouvel ordre
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LES SORTIES ET ANNULATION

POUR EVITER LES BOULES ROUGES D OVS LOLLLL on efface rien mais on garde l espoir

en esperant intelligence ET SOLIDARITE et espérons que la France deviendra moins C.. MERCI A VS PRENNEZ SOIN DE VS ET VOTRE ENTOURAGE
Auteur : Napi 
2/159

Date :    10-07-2023 21:47:30


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/pr-raoult-contre-ministere-de-la-verite

10/07/2023 55 min.

Pr Raoult contre le ministère de la Vérité : "Il est extrêmement dangereux d’affirmer qu’il y a une connaissance unique"

Dans ce debriefing, nous évoquons les diverses attaques dont l’IHU-Méditerranée et le Professeur Raoult ont fait l’objet depuis 2020 et l'avènement de la crise du Covid. Des attaques "visant à me faire taire", nous déclare-t-il. Des attaques répétitives et bornées, qui passent mal dans l'opinion publique. Y compris dans les cénacles parisiens, dans lesquels l'apparente volonté du gouvernement de nuire à l'image d'un scientifique internationalement reconnu est de plus en plus considérée comme une erreur. On ne peut pas remettre en cause "la liberté de parole des universitaires".

Avant 2020, le cabinet international de conseil en stratégie McKinsey, a réalisé un rapport élogieux de l’outil de recherche que constitue l’IHU-Méditerranée. Un outil qui devait à la fois servir à faire de la science sur les maladies infectieuses et à soigner les patients.

En mars 2020, l’étude Gautret, sur la bithérapie azithromycine + hydroxychloroquine démontre la baisse de la charge virale de patients contaminés par le SARS-CoV-2, certes sur un petit échantillon, mais suffisant pour constituer les débuts d'une solide étude observationnelle et surtout apporter, dans l'urgence, pour un faible coût et sans risque, une solution potentielle à l’épidémie de Covid-19.

Puis, en mai 2020, l’étude frauduleuse du Lancet (rétractée moins de 15 jours après sa publication) donne lieu à un tweet du ministre de la Santé de l'époque, Olivier Véran, qui demande aux instances administratives de tirer les leçons de cette étude, d’une manière bien trop précipitée.

L’inclusion des patients dans les études qui prescrivent l’hydroxychloroquine est alors arrêtée sans être reprise, malgré la fraude établie. La communication de l’IHU et du Professeur Raoult au travers de la chaine YouTube "On a le droit d’être intelligent" n’est pas bien vue du gouvernement, et plus particulièrement du ministre Véran, car elle ne valide par des orientations plus politiques que sanitaires.

"Substrat" scientifique inattaquable
Étant donné que les analyses et la communication du Pr Raoult sont basées sur des données et des éléments scientifiques, il est difficile de l’attaquer sur les éléments de fond, sur la science. Ce "substrat" explique d'après le professeur "pourquoi" il "n'a pas été censuré" des plateformes numériques, en tout cas systématiquement.

Alors, un dispositif visant à le faire taire a été mis en place avec la nomination de François Crémieux à la tête de l’hôpital de Marseille (AP-HM), avec l'obsession fixe de sa part à vouloir mettre le Pr Raoult "sous contrôle".

De son côté, Olivier Véran saisit l’IGAS (Inspection générale des Affaires sociales) d’une mission de "contrôle de l’IHU" le 4 novembre 2021.

La mission menée par sept inspecteurs se passe bien, avec une bonne évaluation de la recherche et du travail de l’IHU. Cependant, le rapport préliminaire de juin 2022 de 500 pages, qui fait état de bon nombre d’opinions, n'est pas fondé qui sur l'analyse objective des données fournies par l’IHU dans un ensemble de documents de plus de 75.000 pages.

Il est normal - et cela est même un droit - qu’un rapport de l’administration puisse être contradictoire. L’IGAS donnait 15 jours seulement au Professeur Raoult pour répondre. Du jamais vu ! Didier Raoult a produit une réponse de 85 pages, que nous publions ce jour.

Cette réponse n’a pas été incluse dans le rapport définitif d’août 2022. Elle n’a pas non plus été fournie au magistrat et aux inspecteurs qui ont dernièrement mené une perquisition à l’IHU. Des procédures cavalières qui ne respectent pas le droit.

Le Professeur Raoult évoque ces sujets dans ce "complot contre la science"  à ses yeux, qui a mené à de nombreuses critiques contre l’IHU dans les médias, ces derniers ayant juste repris le rapport de l’IGAS, sans vraiment y apporter une critique objective.

Le Professeur Raoult appelle à la tenue d'une commission d’enquête parlementaire ou sénatoriale afin de s’assurer, non pas que les ministres "aillent en prison", mais que l’on fasse un véritable retour d’expérience sur la gestion de la crise dans l’intérêt des patients qui ont subi une perte de chance avérée.

Il évoque aussi l’enquête parlementaire en Grande Bretagne ou Boris Johnson est sur la sellette avec des décisions prises "au doigt mouillée" (voir le scandale des LockDown Files).

Auteur : EBONYMAY  
3/159

Date :    11-07-2023 08:36:53


Moi aussi je suis d'accord, plus : je souhaite, que l'on fasse un véritable retour d'expérience sur la gestion de la crise (même si je crains que cela ne soit pas possible)
Auteur : Bigben  
4/159

Date :    11-07-2023 11:20:11


En effet, Fabienne,
--> passe encore que les "autorités" ,
--> sous pression des "scientifiques" ,
--> aient cédé, au début de l'épidémie, à la "panique" ! ...

N.B. : mais que, par la suite,
--> ces gens-là se soient fourvoyés à ce point,
--> en persévérant dans l'erreur manifeste (avec mauvaise foi) ,
--> cela est COUPABLE et demeure hautement REPREHENSIBLE !!!
Auteur : Doune13 
5/159

Date :    13-07-2023 11:00:16


Michèle Rivasi, Twt, 13/07, 10H:

"Le Parlement européen vient d'adopter le rapport de la Commission spéciale COVI, chargée d'examiner la gestion européenne de la pandémie et d'identifier les leçons à tirer pour répondre à de futures crises sanitaires. Sauf que... ce rapport est un échec

Complaisant, non dits sur la mise à l’écart du Parlement européen... Ce rapport semble taillé pour faire plaisir à l’industrie pharmaceutique ! Seul le vote des PPE, S&D et libéraux Renew ont permis son adoption. Les
@GreensEFAont voté contre.@

pbs.twimg.com/media/F05tYrYWYAgIMvJ?format=jpg&name=900x900
pbs.twimg.com/media/F05tbBjXwAEhDkd?format=jpg&name=900x900
Auteur : Napi 
6/159

Date :    15-07-2023 19:17:06


youtu.be/ljZu_rdxsRw
09/07/2023 7 min.36

Covid-19 : sans soin, on survit moins

Pierre Chaillot, statisticien, auteur de COVID-19 : ce que révèlent les chiffres officiels

La crise Covid-19 semble derrière nous, mais les règlements de compte se poursuivent. L’IHU de Marseille et son ancien directeur, Didier Raoult, ont été accusés d’avoir effectué des “expérimentations sauvages”. Personne n’est dupe, il s’agit toujours de faire payer à l’équipe de Marseille la promotion de l'hydroxychloroquine comme traitement pendant la crise. Or les vaccins anti-Covid-19 avaient besoin qu’il n’existe aucun traitement alternatif pour s’imposer sur le marché. Il fallait donc tuer dans l'œuf toute tentative d’apaiser la peur ou de soigner les malades. A ce titre, il y a bien une expérimentation qui a été menée à grande échelle en France : celle de ne pas soigner les malades. Grâce à cette expérimentation réalisée en 2020 et 2021, nous savons dorénavant que moins on soigne les gens et plus ils meurent. De façon très nette, les départements ayant la plus forte baisse du nombre d’hospitalisés sont ceux accusant la plus forte hausse de décès. Dommage pour les participants qui n’étaient pas dans le bon groupe, mais qu’ils se réjouissent, grâce à eux la science progresse.
Auteur : Napi 
7/159

Date :    25-07-2023 21:01:01


"J'ai toujours été d'accord avec les déclarations de Didier Raoult, pas toujours sur la forme, mais sur le fond, il a raison, y compris sur la vaccination. Quand il a dit qu'elle ne protégeait pas de la transmission et qu'il fallait la réserver aux personnes à risque, il avait raison, et personne ne contredit cela maintenant. Actuellement, il y a de gros problèmes avec la vaccination dont personne ne parle. L'IHU n'a pas fait d'études mais il y a eu des embolies, des myocardites chez les jeunes. Et plus tard, on n'en sait rien, c'est une expérimentation en pratique. Comme pour tout
médicament, ce qui compte c'est le rapport bénéfice-risque. Or, pour les jeunes, il n'est pas favorable. Dès qu'on a vu que le vaccin n'empêchait pas la transmission, il aurait fallu le réserver aux gens à risque. À moins de 50 ans, on a eu zéro mort à l'AP-HM."
Professeur Philippe Brouqui, IHU M.I., le 23/07/2023


"C’est nous les gentils !
Comment imaginer que nous soyons insultés, menacés, poursuivis, diffamés par des gens qui s’improvisent experts, se ridiculisent dans des discours dont la trace est inscrite dans internet ?
Croyez-vous que les gens officiellement payés par l’industrie pharmaceutique soient plus crédibles que nous ?
Pourquoi les 35000 personnes traitées à l’IHU ne se plaignent pas ? Ni les 250000 qui se sont fait tester ? Ni les milliers qui s’y sont fait vacciner ?
Pourquoi F. Cremieux en réponse à ce fantastique effort permis par des centaines de bénévoles a-t-il voulu tout détruire du seul site international de Médecine de Marseille ?
Est-ce pour effacer l’échec de la gestion de Paris en 2020 ?
J’ai donné mon avis sur France Soir. https:// francesoir.fr/videos-les-debriefings/pr-raoult-contre-ministere-de-la-verite La justice est en marche et les plaintes contre lui s’accumulent !
Je vois depuis le début de cette crise le 5ème ministre de la santé, j’espère qu’il retrouvera le bon sens qui lui évitera les revers de l’histoire.
A mardi pour ma prochaine conférence !"
Professeur Didier Raoult, le 23/07/2023
youtu.be/IOKy7eG2_w0
Outils & Découvertes - Partie 1
25/07/2023 26 min.
Auteur : Napi 
8/159

Date :    31-07-2023 21:13:45


lepointcritique.fr/2023/07/19/quand-pfizer-relayait-en-mars-2020-la-premiere-etude-dirigee-par-le-pr-raoult/
19/07/2023

Quand Pfizer relayait en mars 2020 la première étude dirigée par le Pr Raoult
Pfizer et Moderna ont été choisis en 2020 par l’administration américaine pour apposer leur label sur des vaccins développés par le Pentagone. On le sait aujourd’hui, ce fut l’argument utilisé par Pfizer lors de son procès contre l’auditrice Brook Jackson. Sur quel critère a-t-il été sélectionné ? Une réponse est suggérée avec la découverte de ce document qui révèle que le laboratoire qui détient le monopole de la production d’azithromycine savait en mars 2020 qu’elle était efficace contre le COVID lorsqu’elle est associée à l’hydroxychloroquine.

Que fait un laboratoire lorsque émerge une pandémie contre laquelle l’un de ses produits est efficace ? Il se frotte les mains et en fait l’éloge. Que fait-il en revanche lorsqu’on lui propose de commercialiser à la place un « vaccin innovant » dont le prix de vente est sans commune mesure et dont – cerise sur le gâteau –, il n’a pas un centime à débourser pour son développement, son placement commercial et ses éventuels frais juridiques si par malheur ce produit s’avérait toxique ou mortel ? Il arrête de maintenir à jour les études démontrant qu’il est efficace, a fortiori si cette efficacité compromet la mise sur le marché précoce de ce vaccin.

Voici en substance l’histoire de l’azithromycine, commercialisée par Pfizer sous le nom de Zithromax®, racontée par deux documents diffusés par le laboratoire et par deux communiqués issus d’officines françaises dont l’indépendance est aujourd’hui remise en question : l’Agence nationale du médicament et des produits de santé (ANSM) et la Société française de pharmacologie et de thérapeutique (SFPT).

Mars 2020 : Pfizer annonce que l’association d’azithromycine et d’hydroxychloroquine est efficace et sûre contre le COVID-19
Le 25 mars 2020, le laboratoire publie un communiqué dans lequel il annonce les résultats d’un essai clinique [1] mené par une équipe de chercheurs français démontrant que l’azithromycine associée à l’hydroxychloroquine est efficace contre le COVID-19. Ça ne s’invente pas, l’étude en question, à laquelle Pfizer a offert un boulevard, est celle menée par l’IHU Méditerranée Infection et dirigée par le Pr Raoult. Elle est aujourd’hui à nouveau sous les feux des projecteurs, la SFPT et un groupe de médecins – dont le Pr Karine Lacombe et le Dr Jérôme Barrière – exigeant pour la énième fois sa rétractation au motif que cette étude aurait ouvert la voie au scepticisme à l’égard des vaccins et donc nui à la vaccination :

« Récemment, un groupe de chercheurs français a divulgué les résultats d’une étude indépendante en France explorant l’utilisation de l’hydroxychloroquine chez 20 patients pour le traitement potentiel de la maladie COVID-19 [2]. Parmi ces 20 patients, six ont également reçu le produit de Pfizer, l’azithromycine (Zithromax®). Dans cette étude, la proportion de patients avec une guérison virologique après 6 jours (comme indiqué par des tests PCR négatifs) était plus élevée chez les 20 patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine par rapport aux 16 témoins. Le taux de guérison le plus élevé a été observé chez ceux qui ont également reçu de l’azithromycine – ces six patients ont tous obtenu une guérison virologique. À la lumière de ces résultats préliminaires, et comme Pfizer interprète les données dans le contexte de recherches antérieures sur d’autres maladies infectieuses, la société souhaite partager des informations supplémentaires qui pourraient faciliter l’exploration plus approfondie de cette combinaison. »

Pfizer, 25/03/2020. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/news/ZithroComboStatement.pdf
Le document détaille également les résultats de deux études cliniques conduites par Pfizer visant à « explorer l’utilisation d’une combinaison à dose fixe d’azithromycine et de chloroquine dans des essais de traitement [3] et de prévention [4] du paludisme en Afrique ». Le laboratoire dit avoir observé :

une bonne tolérance et une efficacité de l’azithromycine-chloroquine au moins équivalente à un autre traitement antiparasitaire (méfloquine), un antipaludique de synthèse mais aux multiples contre-indications en raison notamment d’effets secondaires majeurs d’ordre psychiatrique, hépatique ou néphrologique. La liste établie par le Vidal est vertigineuse et permet de comprendre pourquoi le laboratoire a cherché à évaluation une solution thérapeutique alternative : contre-indication absolue en cas d’antécédents hépatiques ou psychiatriques (convulsions, dépression, psychose, idées suicidaires, psychose, schizophrénie, trouble anxieux généralisé et plus généralement toute maladie psychiatrique), précautions dans plusieurs cas (insuffisance rénale, hépatique, diabète, épilepsie, autre vaccination concomitante…), notamment la grossesse et l’allaitement, mais également – c’est ennuyeux – lors de la prise d’un traitement préventif du paludisme ;
un profil de sécurité acceptable en prévention chez la femme enceinte, avec une posologie et de durée de traitement évaluée par le laboratoire. Autrement dit, l’hydroxychloroquine ne serait pas toxique selon Pfizer pour le fœtus qui la recommande chez la femme enceinte ou allaitante.
« De plus, une étude sur le traitement préventif de l’infection palustre chez la femme enceinte n’a pas atteint ses critères d’évaluation d’efficacité prédéfinis, mais l’association d’azithromycine 1 000 mg et de chloroquine 620 – mg par jour pendant 3 jours avait un profil de sécurité acceptable sur la base des données recueillies chez 1 446 femmes enceintes en Afrique subsaharienne. »

Pfizer, 25/03/2020. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/news/ZithroComboStatement.pdf
Le communiqué rapporte par ailleurs les résultats de deux essais cliniques randomisés de grande ampleur ayant confirmé l’absence de cardiotoxicité de la combinaison d’hydroxychloroquine et d’azithomycine chez des patients atteints de lourdes comorbidités dont le profil correspond à ceux des sujets à risque de COVID-19 :

« De plus, des patients âgés de sexe féminin et masculin présentant des comorbidités importantes ont été étudiés dans de grands essais randomisés pour la prévention des événements cardiovasculaires dans les études WIZARD [[v]] et ACES [5[vi]], et bien que le critère d’évaluation principal n’ait pas atteint l’efficacité préspécifiée, le profil de sécurité était conformément aux études antérieures plus petites publiées pour des indications approuvées dans une population avec un profil d’âge et des comorbidités similaires à la population atteinte de la maladie COVID-19 qui serait la plus à risque de résultats graves. »

Pfizer, 25/03/2020. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/news/ZithroComboStatement.pdf
Sur quelles bases se fondent donc aujourd’hui l’ANSM, la SFPT et l’ensemble des sociétés savantes qui accusent l’IHU Méditerrannée d’avoir conduit un essai thérapeutique sauvage, qu’elles accusent d’être à l’origine d’une mortalité que l’on ne retrouve nulle part dans les bases de pharmacovigilance, mais uniquement dans une étude douteuse sponsorisée par la SFPT, et jamais revue par les pairs ? Avant elles, sur quelles données le Lancet a-t-il maintenu une tribune produite par un professeur de l’AP-HP persistant à incriminer la cardiotoxicité de l’hydroxychloroquine malgré la divulgation de la fraude sur laquelle reposaient ces accusations et le démenti du laboratoire qui aurait probablement le plus à gagner que cette toxiicité soit avérée ?

Juin 2020 : Pfizer produit un second communiqué dans lequel il désavoue l’azithromycine
Oui mais, c’était avant… Trois mois plus tard, quelques semaines après le lancement des essais cliniques de son vaccin (23 avril 2020), Pfizer publie un nouveau communiqué dans lequel il confirme des tensions de production liées à l’explosion de la demande mondiale en Zithromax® et annonce le lancement d’un programme permettant de garantir l’approvisionnement des États. Il précise dans ce texte que son médicament ne dispose pas d’autorisation de mise sur le marché pour le traitement du COVID-19 et que ni l’efficacité ni l’innocuité de l’azithromycine n’ont été établies à ce jour dans cette indication :

« Le traitement empirique de la pneumonie par l’azithromycine est souvent indiqué pendant que le diagnostic de COVID-19 est en cours. Zithromax n’est pas approuvé pour traiter la COVID-19 ou d’autres infections virales, et l’innocuité et l’efficacité de l’azithromycine, seule ou en association avec d’autres traitements, n’ont pas encore été démontrées chez les patients atteints de COVID-19. »

Pfizer, 05/06/2020. https://www-pfizer-com.translate.goog/news/announcements/ready-respond-pfizers-zithromaxr-program-covid-19?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp
Que s’est-il passé entre-temps ? Pourquoi les études préliminaires n’ont-elles pas été jugées suffisantes par le laboratoire alors qu’elles représentent un nombre infiniment plus important de données que celles qui ont été collectées avant de libérer les vaccins ? Pfizer a-t-il poursuivi son évaluation de l’azithromycine comme il s’y était engagé ?

L’objectif du précédent communiqué était en effet parfaitement clair :

« Pfizer souhaite mettre en évidence ces études publiées pour faciliter les efforts de recherche supplémentaires visant à étudier l’azithromycine en combinaison avec d’autres agents pour atténuer la maladie COVID-19. La société a engagé des ressources pour qu’une équipe technique effectue une analyse des données pertinentes au sein de Pfizer et publiées dans la littérature évaluée par des pairs et prévoit de partager ces informations alors que nous explorons les prochaines étapes pour Pfizer et nos partenaires dans l’évaluation plus approfondie des thérapies combinées avec l’azithromycine. »

Pfizer, 25/03/2020. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/news/ZithroComboStatement.pdf
Chacun se doute de la réponse mais ce revirement à 180 °C soulève une autre question : est-ce parce que Pfizer savait parfaitement que l’azythromycine était sûre et efficace et qu’elle aurait pu changer le cours de la pandémie qu’il a pu bénéficier d’un contrat aussi lucratif et d’une immunité juridique totale en cas de dommages causés par les injections ? Est-ce pour cette raison que le Pentagone l’a choisi (le contrat a été formalisé en juillet 2020), et qu’il s’est plié à ses conditions ?

Quel laboratoire aurait en effet choisi de sacrifier un produit qu’il estime « essentiel », dans un contexte pandémique où son efficacité et son innocuité ont été démontrées pour se lancer dans le développement aléatoire d’un vaccin sans une contre-partie financière et juridique hors norme ?

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